Et, n'oubliez pas vos masques , grrrr !


Bon, personnellement je préfère les shorts et robes







Plus calme dans cette rue en fin de marché !


J'entends le loup, normal rue des bonnes femmes


J'aime beaucoup ces arcades avec des magasins à l'abri des intempéries

La fontaine du piloris



Retour vers le marché couvert

Comptoir Irlandais, j'aime tout du sweat shirt au whiskey


Objectif repéré entre les gouttes de pluie !

Mon ami zoom à du mal avec le masque et l'imperméable !

Crêperie ok

Mais je n'aime pas trop Mamie Bigoude

Les marrons me font penser à l'hiver dans les rues de Paris

Et les noix me paraissent cirées


Je croise Marie Christine qui a acheté les clémentines (ultra sèches et sans goût)
Comme souvent on se promène chacun de notre coté avec un point de rendez vous mais, au moins à la Réunion on achetait des samoussas pimentés

Parapluie asiatique sans doute !

Passage devant le Bunker, musée visité lors de la réunion ACB de la Rochelle/Rochefort de juin 2018






Retour aux halles

Bistrots à l'abri des parasols en guise de parapluie !

Entrons dans les halles au moins je serais à l'abri de la pluie

L'allée poissonnerie

Plus grand marché qu'à Lorient mais franchement plus cher !

Le kg d'huitres creuses 2€ plus cher, normal on est chez les riches charentais maritimes



Belles langoustines mais glacées que je n'achète jamais, que du vivant en ce moment à 13€ à Lorient

Science fiction méditerranéenne mais eux ils ont le soleil et la chaleur à la belle saison !

Au Palais des Viandes, moins mon truc, chacun ses goûts bien sur

Coté charcuterie, pani problem pour moi et Marie Christine

Triperie, j'aime bien

Rôtisserie aussi

Zoom sur la rôtisserie

N'oublions pas d'affiner les fromages, spécialité française

12H20, plus que 10 minutes avant de retrouver Marie Christine !


C'est ici que Charly en escale à la Pallice,venait s'approvisionner en picrate

Non me dit il, vin de précision sans bromure comme à l'école des Mousses hier en 1966

Marie Christine en tenue de plongée intégrale
On a pris cette rue pour être protégé de la pluie et des vents violents !




L'histoire de la Rochelle en 5 panneaux !






Mis en service en 1927, le pont Scherzer, dit pont du Gabut à La Rochelle va être rénové en profondeur. Le pont levant devant le bassin des Chalutiers est complètement démonté cette semaine (2017). Un chantier colossal avec 170 tonnes à déplacer. Plus de 8 mois de travaux jusqu'en Juin 2020. heu.. ils sont en retard, saleté de covid !


L'aquarium, on y va demain dimanche, pluie prévue on sera bien à l'intérieur

Un bel appartement, super bien placé dans le vieux la Rochelle


Le mieux que je puisse faire sous la pluie !


Étonnante, cette structure autour du pont Gabut


Inutile de vous dire que j'ai essuyé mon APN de nombreuses fois
Pour info, 4 heures de préparation les amis !

Embarquons, pourvu que je n'ai pas le mal de mer

Non, France 1 c'est après !

Ce chalutier construit en 1969 par les Ateliers et Chantiers de Dieppe a été commandé par Jean-Claude Menu, Armateur de l’Association Rochelaise de Pêche à Vapeur (ARPV). « L’Angoumois est le deuxième pêche arrière que j’ai fait construire » explique-t-il. « Il a été précédé par le Saintonge. Je voulais des chalutiers de 38 mètres pêche arrière avec rampe et entrepont. Cette disposition n’existait alors que sur les navires de 55 à 65 mètres. Les chantiers de Dieppe ont accepté de les réaliser. Ils se sont révélés d’excellents bateaux. D’ailleurs avec l’Angoumois, je n’ai jamais eu de pépin ».
De 1969 à 1978, le chalutier va travailler au nord, à l’ouest de l’Espagne, et à l’ouest du Portugal jusqu’à la latitude des Berlingues. À l’automne cependant, l’Angoumois fréquentait les eaux du sud Irlande.

Si elle fait partie de l'équipage de France 1, j'embarque

Passons plage avant !

En 1984, Jean-Claude Menu décide de se séparer de l’Angoumois. « C’est le dernier bateau que j’ai conservé. Je l’ai vendu à un armement grec, mais le gouvernement a refusé le visa et a subventionné la SARMA qui l’a racheté ». Joseph Puillon se souvient très bien du chalutier car il en a été le patron de 1970 à 1978 :
C'est mon voisin à Groix et nous pêchons tous les deux à Locmaria avec nos canots
Je découvre son passé mais je savais qu'il avait une maison et avait navigué à la Rochelle
J’ai commandé le Saintonge, ensuite je suis passé sur l’Angoumois. En même temps on a quitté l’Espagne pour le Nord. On allait travailler dans les eaux du Nord Irlande et de l’Ouest Ecosse. On pêchait toujours du poisson blanc (merlu, merluchon, dorade) mais il était en diminution. Quand les Espagnols sont arrivés avec leurs palangriers, ils nous ont barré la route et on a été chassé de toutes les zones de pêche. À partir de là, on a ramassé surtout du divers (morues, lieux noirs, etc.). En mai 1986, un palangrier Espagnol aborde l’Angoumois et coupe ses deux funes, tout le train de pêche, chalut, câbles et panneaux sont perdus, un acte de piraterie qui restera impuni.

Les vieux voiliers vu du haut !

Vie à bord - Douze hommes pour quinze jours,
L’Angoumois partait pour des marées de quinze jours,
Deux jours et demi pour atteindre les lieux de pêche.
L’équipage se composait de douze hommes : un patron, un second, un chef mécanicien, un graisseur, un maître d’équipage, un cuisinier, quatre matelots et un novice ou mousse. Originaire de Groix, Joseph Puillon a commencé comme mousse à 14 ans et a obtenu son brevet de patron à 24 ans. Rochelais depuis 1965, il a toujours navigué à la pêche industrielle et a terminé sa carrière sur le Force 17.
Quand on était en route, il y avait un officier de quart et un matelot de passerelle, mais en pêche j’étais à la passerelle de 6 heures à minuit et encore minuit et 6 heures je me relevais à chaque virage de chalut. L’Angoumois était à la vente le lundi, puis à la marée suivante le mercredi. Entre deux marées, trois jours d’arrêt. L’hiver on se rapprochait 24 heures à l’avance pour arriver à temps. En janvier 1986, on a essuyé un ouragan (force 12), on est resté 80 heures à la cape. Il y avait de quoi avoir peur.

Et devant le remorqueur Saint Gilles


Et la belle Notre Dame des Flots



Grande plage avant dépouillée !

Suivant les marées, l’Angoumois débarquait entre 25 et 50 tonnes de poissons. En 89, il avait encore débarqué 620 tonnes, en 90, 460 tonnes (avec arrêt de deux mois) et en 91, 200 tonnes jusqu’à sa panne fin avril. La position de la Rochelle, au fond de la Gascogne est un désavantage pour aller pêcher dans le Nord. « Par rapport à un Concarnois, un chalutier rochelais perd 40 heures par marée, soit 10 coups de chalut, ce qui représente 30 jours de production en moins par an », explique Yves Hédant, directeur de la SARMA. « Les 38 mètres n’ont pas été conçus pour le Nord et manquent un peu de protection et de capacité de cale ». Ces conditions difficiles ont été un des facteurs du déclin de la pêche industrielle rochelaise.

Le canot major du Duperré vue de la plage avant de l'Angoumois





Attention, femmes masquées !




Le treuil du chalut

Montons à la passerelle

Jolie barre à roue mais pas celle des photos d'avant sans poignées !



Important sur un bateau de pêche, le sondeur


Les boules de couleurs pour la décoration sans doute



Le coin du tactac

Tu connais Michel ?

Allo la terre, allo.... allo

Commande moteur

Radar un peu bas je trouve, sur nos bateaux gris il était à bonne hauteur

Decca, système de radio navigation hyperbolique






Le dernier Commandant sans doute




La chambre du commandant

Sur le panneau on voit la barre à roue de l'époque et, finalement les boules de couleurs étaient bien présentes !




Panneaux divergents pour augmenter l'ouverture du chalut

Après la visite de l'Angoumois, le canot major du Dupérré puis le remorqueur Saint Denis
A suivre

pas la même radio

on entrait sur le côté et non par l'arrière

les divergents

plage arrière ,on entrait par le côté sur la gauche de la photo (on y vois une personne)


la plage avant



le compas magnétique ,les boules vert et rouge ,je pence que c'est pour corriger le magnétisme (des personnes de ce forum pourront confirmer ou infirmer merci)

vitesse moteurs

style chadburn

la ?? pas dan la même position que ce que Alain nous montre

tableau d'éclairage comme nous avons connu dans la Marine

ca je ne m'en souviens plus

sale à manger



une sale à manger


une autre sale à manger


à suivre)
J-M

Puis vu de la plage avant de l'Angoumois



Nous descendons la rampe pour le voir de plus près

Canot major en vue

Un peu de verdure dans ce monde marin



Il est bien rénove ce canot major

Je ne sais comment se nomme cette barre transversale qui sert au gabier arrière pour se maintenir debout avec sa gaffe ?


Pas beaucoup de place pour le bosco

Détails

Pour nos amis mécanos

Avant et arrière


Ne pas oublier que l'équipage est généralement en tenue blanche l'été ou en escale chaude, bonjour la propreté des pantalons contre le moteur


Et on le met où le mécano



Jolie ligne

Même chose (guidon ?) pour le gabier avant et sa gaffe !
C'est beau mais avec du clapot dur dur de se maintenir, ah la tradition !


Quittons le canot major du Duperré pour visiter le remorqueur Saint Gilles