whaouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu
j'ai mes photos de 78/79 a la meme place ,sous la chapelle;LOLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL

J'ai retrouvé dans mes archives une photo prise en octobre 1954, avec sur la droite mon copain AVRIL et sur la gauche mon copain SOUFFEZ. Vous pouvez remarquer mon beau bleu de chauffe tout neuf. On y voit le fronton à l'entrée de l'EAMF à l'envers, puisque qu'en façade extérieure contrairemant à la photo montrée précédemment qui était surement une symétrie si on se réfère à la barre qui masque le mot SCAPHANDRIERS. On aperçoit la guérite à droite (à gauche en entrant dans l'école). Je me souviens y avoir monté la garde avec un fusil sans cartouche. J'ai fait une extraction et appliqué une symétrie pour qu'il soit possible de lire correctement (dans le fond, le Faron, mais inversé latéralement) :

Bonjour,

Beau travail, avec quel logiciel as-tu fait cela ?

Amicalement.

Papenguerun.

Pour PAPENGUERUN :

Je suppose que tu t'adresses à moi pour le logiciel.
En fait j'ai utilisé PhotoFiltre qui est gratuit sur le Net et avec lequel on peut faire beaucoup de choses. Il est moins sophistiqué que Photoshop, mais est suffisant pour la plupart des choses qui sont utilisées pour publier sur le forum. Maintenant, il faut apprendre à s'en servir et découvrir les subtilités qu'il propose. De plus, un certain nombre de modules supplémentaires (plugins) sont disponibles sur le site http://www.photofiltre.com

Saint Mandrier.

L'hôpital qui ferma ses portes en 1936 ne s'appelait pas "Hôpital Saint Louis" et ne fut pas construit en 1669.

Un peu d'Histoire de ma Région,
La presqu'île de St Mandrier, aux temps les plus reculés, était formée de trois îles rapprochées devenues au cours des siècles "l'Isle de Sépet". Les Phéniciens, les Rhodiens, les Ligures, les Celto Ligures, les Massadiens, les Romains s'y arrêtèrent.
L'origine du nom de la commune remonte au VIème siècle lorsque Mandrianus et Flavianus, deux illustres soldats saxons de l'armée des Ostrogoths, baptisés par St Cyprien, prêtre de Toulon, vinrent se réfugier sur l'isle de Sépet où ils vécurent jusqu'à leur mort.
Six Fours, La Seyne, l'Isle de Sépet ne formaient alors qu'un seul territoire. Du VI ème au XI ème siècle, cette ïle n'était qu'un ensemble de fermes. Sa renommée provenait de la présence sur ses terres d'une tour phocéenne transformée en chapelle en 566 et de la chapelle Saint Honorat avec son prieuré, datant de 1020.
En 1657, La Seyne obtient son indépendance communale avec bornage des terrains s'étendant jusqu'à la presqu'île de Sépet, car notre île était devenue presqu'île grâce à la formation de l'isthme des Sablettes. Le village appelé aussi le "Cros Saint Georges" commence à prendre forme et devient alors une section de la commune-mère La Seyne. A cette même date (1657), afin de protéger les pays contre la propagation des maladies contagieuses
un lazaret sera créé où les navires provenant des lieux suspects étaient mis en quarantaine.
En 1670 on construisit "L'INFIRMERIE ROYALE SAINT LOUIS"
remplacée en 1818 par "L'HÔPITAL MARITIME de SAINT MANDRIER", construit par les bagnards tout comme l'ensemble des forts, batteries, bassins de Toulon. Le Bagne à Toulon n'avait été créé par hasard. Auparavant les convicts étaient à Marseille sur les galères.Celles ci furent ensuite transférées à Toulon.
Tout au long du 18ème siècle la vie de Saint Mandrier va être intimement liée aux évènements se déroulant dans la rade.
Le XIXème siècle sera le siècle des grands travaux:

- Forts et batteries
- Mausolée de l'Amiral Latouche-Tréville
- Hôpital maritime avec la Chapelle des "bagnards" ou plus tard la
la Chapelle des Mécaniciens.
- Le sémaphore.
- fabrique de tuiles et briques

Au début du XXème siècle, les habitants mènent une vie paisible. Le village verra la création de l'Etablissement du Creusot, de l'Aviation, puis la construction des réservoirs à mazout au lazaret. On assistera à l'installation des batteries de 340 et au développement des différentes écoles.
L'hôpital Maritime de Saint Mandrier fermera en 1936 pour laisser la place à l'Ecole des Mécaniciens et des Chauffeurs de la Flotte.
Pendant l'occupation, les Allemants perceront un tunnel qui traversera la presqu'île sous le site de l'école.
En 1950, Saint Mandrier accédera à son indépendance et deviendra alors une commune à part entière.

C'est un lieu chargé d'histoire.

Avec toute cette documentation concernant Saint-Mandrier, tout l'équipage va se passionner pour l'Histoire.
J'ai connu le tunnel percé par les Allemands. En 1954-55, il y avait une petite voie ferrée dans ce tunnel, qui leur servait, entre autres, à faire transiter des sous-marins de poche pour les mettre à l'eau directement vers le large. Je me souviens qu'il y en avait encore un sur son berceau que nous pouvions toucher en allant faire notre Hébertisme matinal.

A présent ce tunnel est la liaison entre le CIN Nord et le CIN Sud.

moi j'étais aux arpètes de avril 76 à mars 77, 3B3, mais ,je ne me souviens plus du nom de la promotion, j'ai une photo de promo mais je ne sais pas comment l'insérer dans le texte, si quelqu'un peut m'aider, merci d'avance

il y avais une chose qu on faisait cest le quart au cimetiere des italiens.tout en haut.il y avait une porte

Roland
Nous sommes plusieurs de la "cuvée" ici. Il y a Georges Ségalen, Jean Postic, moi même :scratch: peut être d'autres. Tu regarde les matricules au fur et à mesure et tu verras. Moi j'étais de la 3A2, mécagéné mais j'ai viré ma cuti en novembre 82 :oops: , mais pas de regrets...

Pour les photos, il faut lire les "dictatels pour les nuls" en entête du forum, fait comme moi, j'imprime celui qui m'interesse et après c'est plus facile pour faire la manip en lisant au fur et à mesure :pirat: .

roland maillot a écrit:Moi j' étais aux arpètes de avril 76 à mars 77, 3B3, mais je ne me souviens plus du nom de la promotion, j' ai une photo de promo, mais je ne sais pas comment l' insérer dans le texte, si quelqu' un peut m' aider, merci d' avance

Bonsoir Roland.
Te voici parmi nous, nous étions donc au GEM à la même période, et la promotion mars 76 est D' ESTIENNE D' ORVE.

(On s' est " vu " sur Copain d' Avant).

Jean-François, de la même cuvée, t' a indiqué pour les photos.
Je suis preneur, car je n' ai pas retrouvé les miennes.

Voici un insigne de l' EAMF que m' a adressé notre camarade Gilbert DUFRÊCHE, Maistrancier "Machine" promo 1952-53, et ce que j' en ai fait :



De cette manière il est possible de le mettre en surimpression sur une photo, ou une image et lui affecter une ombre portée.

En rassemblant toutes les connaissances et compétences des camarades de l' équipage ayant fréquenté ces lieux, nous allons peut-être pouvoir constituer une sorte d' encyclopédie de la " faculté de mécanique " de la Marine.
J' emploie le terme " faculté ", car tous les niveaux de qualification y furent représentés, de l' apprentissage au brevet supérieur.
Sans vouloir négliger le nombre important d' officiers mariniers, y compris supérieurs, combien d' anciens arpètes ont terminé leur carrière avec des grades d' ingénieurs mécaniciens ?
Je crois que le chiffre n' est pas négligeable !

michels jean-françois a écrit:Roland
Nous sommes plusieurs de la "cuvée" ici.
Il y a Georges Ségalen, Jean Postic, moi même :scratch: peut être d' autres.
Tu regarde les matricules au fur et à mesure, et tu verras.
Moi j' étais de la 3A2, mécagéné mais j' ai viré ma cuti en novembre 82. :oops:
Mais pas de regrets ...

Salut
Je me souviens de Postic, ça me dit quelque chose, par contre Segalen est un nom tellement répandu parmi les marins qu' il m' en faudrait un peu plus.
Je vais aller voir le didacticiel pour les nul, ça va m' aider à mettre quelques photos.
A+

Oups ! :oops:
Bien sûr, que je me souviens de Segalen.

Il en a t' il un qui connaît cette chanson :
- Polytechnique ou la Sorbonne
- Ce sont des écoles assez bonnes
- Mais quand à celle des Mécanos
- Pour y entrer faut être idiot
- T' as p' têt raison oui mais voilà, quand j' t' aurai dit tu comprendras
- La première fois que je l' ai vue
- Elle dormait à moitié nue
- Dans la châleur de l' été
- Près du port de Saint Mandrier
- Trois sales gueules de sacco madame
- Trois sales gueules de sacco

C' est sur l' air " d' un petit coquelicot " de Mouloudji, et elle date de 70, c' est mon frangin qui à fait les arpètes cette année là, qui me l' avait apprise.

Roland
Il faisaient partie du Bagad St Mandrier à l' époque avec d' autres de "l a cuvée ", et nous devions certainement être en admiration devant leurs prestations.
Pour voir les autres, tu vas dans le post " Musique ", et puis dans " Bagad St Mandrier ", et tu pourras même aider à compléter le post de Georges, en mettant des noms sur ces visages qui te seront peut être familier ...

Oui je me souviens du Bagad, le bon plan pour éviter le poste de propreté, c' était être musicien, si en plus on était breton on devenait les rois du pétrole.

Il y avait aussi les joueurs de fifre avec les Tambourinaires, les mocos aussi avaient trouvé le filon pour ne pas faire le poste de propreté.

Moi le poste de propreté, c' était dans le bureau de l' assistante sociale dans le bâtiment off.
Supeeeeerrrrr ...

Il y a aussi tous ceux qui bien qu' ayant fréquenté les Arpètes n' ont pas fait carrière dans la Marine et ont réalisé un brillant parcours dans le civil, après avoir repris des études qui n' avaient rien à voir avec la mécanique.

La Marine mène à tout à condition d' en sortir, ce fut le cas, entre autres pour Bernard Giraudeau devenu comédien talentueux et aujourd' hui a rejoint le "corps" des Écrivains de la Marine.

Sans aller jusque là, d' autres se sont affirmés dans des différents métiers.

Je suis rentrer au arpètes le 15 février 1971, j' étais de corvée en cuisine.
Le jeudi, il y avait corvée de peluches, et après ont allaient donner à manger au cochons.
En 72 au BE, j' ai été affecté au salon de coiffure, ( à L' Ébauche ), cela m' a rendu service sur mes affectations a venir.

Dit donc Dominique, je ne me souviens pas t' avoir confier ma tète, j' ai peut être bien fais, tu aurais peut être massacré la tète du taulier.
Non je rigole, ce n' est pas ton genre.