Voilà un sujet que j'ai eu plaisir à relire : normal pour le sécuritard que j'ai été.
Il faut savoir que de nos jours (et cela depuis au moins 1986) quelques exercices sécurité à la mer sont dit "exercice majeur" et peuvent durer 6 à 8h00.
Ces exercices sont effectués suivant un scénario écrit (enfin... oui enfin car lorsque l'on faisait un exercice avant c'était soit le Second à la mer, soit l'Officier de Garde à quai qui décidaient au gré de leur fantaisie... difficile de réagir quand on a pas un minimum d'éléments).
Les appareils générateurs de fumée froide sont une excellente aide pédagogique, le maquillage des faux blessés, les pancartes accrochées donnant des infos sur l'état du blessé ou l'état d'une porte ou cloison, l'évacuation réelle vers des endroits extérieurs du bord sécurisé et tout ça dans un même souci maintenir le flotteur et mettre à l'abri le personnel.
Vous comprenez pourquoi lors de tels exercices il faille un scénario écrit à l'avance... quand je pense qu'il a fallu attendre prés de 40 ans après la fin de la 2ème guerre mondiale.
Qu'est ce que j'ai pu râler lorsqu'un officier de garde menait un exercice à quai sans cohérence, par contre à bord mon premier poste à responsabilité comme patron sécu (1973) j'utilisais déjà ce système du scénario, le cipié avait du mal à accepter mais le CSD (et surtout le pacha) étaient pour.
Il faut savoir que de nos jours (et cela depuis au moins 1986) quelques exercices sécurité à la mer sont dit "exercice majeur" et peuvent durer 6 à 8h00.
Ces exercices sont effectués suivant un scénario écrit (enfin... oui enfin car lorsque l'on faisait un exercice avant c'était soit le Second à la mer, soit l'Officier de Garde à quai qui décidaient au gré de leur fantaisie... difficile de réagir quand on a pas un minimum d'éléments).
Les appareils générateurs de fumée froide sont une excellente aide pédagogique, le maquillage des faux blessés, les pancartes accrochées donnant des infos sur l'état du blessé ou l'état d'une porte ou cloison, l'évacuation réelle vers des endroits extérieurs du bord sécurisé et tout ça dans un même souci maintenir le flotteur et mettre à l'abri le personnel.
Vous comprenez pourquoi lors de tels exercices il faille un scénario écrit à l'avance... quand je pense qu'il a fallu attendre prés de 40 ans après la fin de la 2ème guerre mondiale.
Qu'est ce que j'ai pu râler lorsqu'un officier de garde menait un exercice à quai sans cohérence, par contre à bord mon premier poste à responsabilité comme patron sécu (1973) j'utilisais déjà ce système du scénario, le cipié avait du mal à accepter mais le CSD (et surtout le pacha) étaient pour.