C'est faire injure à l'amiral Nelson que de dire de telles choses.
Nelson n'a jamais eu les jambes arrachées par un boulet, mais a été abattu par une balle de mousquet tirée depuis la grande hune du Redoutable.
Insinuer que le second et l'amiral étaient amants est totalement irréaliste.
Lorsque l'on s'intéresse un tant soit peu à la carrière d'Horatio Nelson, on sait qu'il était l'amant de la femme du représentant de la reine auprès de la cour de Naples, Lady Hamilton.
Cette liaison (dont naquit une fille Horatia), explique en grande partie son insistance à naviguer en Méditerranée... à nos dépends.
C'est le commandant du Victory (Hardy) qui a assisté à ses derniers instants, près de l'infirmerie du deuxième pont en compagnie de son secrétaire particulier.
L'endroit (non photographiable) à bord est symbolisé par une plaque de cuivre sur laquelle apparaissent les noms de ceux qui ont assistés l'amiral dans ces derniers instants.
Un tableau célèbre au même endroit témoigne de cette scène.
Enfin, l'affaire du tonneau : après Trafalgar, le Victory a du se remettre en état avant de rallier l'Angleterre.
Pour être sur que la dépouille de l'amiral arriverait en bon état de conservation pour les funérailles nationales prévues sur la Tamise (en décembre 1805, je crois), celle ci fut "immergée" dans un tonneau de rhum.
Tout ceci est vérifiable à Portsmouth dans les divers musées dédiés au Victory, à Trafalgar et à Nelson.
J'ai eu la chance de séjourner une journée complète en avril 08 sur le site, réalisant ainsi la promesse faite de rendre hommage à H Nelson à mon départ de la marine, (c'était le surlendemain).
Alors un peu de respect pour un des plus grands chefs d'escadre de tous les temps.
Nelson n'a jamais eu les jambes arrachées par un boulet, mais a été abattu par une balle de mousquet tirée depuis la grande hune du Redoutable.
Insinuer que le second et l'amiral étaient amants est totalement irréaliste.
Lorsque l'on s'intéresse un tant soit peu à la carrière d'Horatio Nelson, on sait qu'il était l'amant de la femme du représentant de la reine auprès de la cour de Naples, Lady Hamilton.
Cette liaison (dont naquit une fille Horatia), explique en grande partie son insistance à naviguer en Méditerranée... à nos dépends.
C'est le commandant du Victory (Hardy) qui a assisté à ses derniers instants, près de l'infirmerie du deuxième pont en compagnie de son secrétaire particulier.
L'endroit (non photographiable) à bord est symbolisé par une plaque de cuivre sur laquelle apparaissent les noms de ceux qui ont assistés l'amiral dans ces derniers instants.
Un tableau célèbre au même endroit témoigne de cette scène.
Enfin, l'affaire du tonneau : après Trafalgar, le Victory a du se remettre en état avant de rallier l'Angleterre.
Pour être sur que la dépouille de l'amiral arriverait en bon état de conservation pour les funérailles nationales prévues sur la Tamise (en décembre 1805, je crois), celle ci fut "immergée" dans un tonneau de rhum.
Tout ceci est vérifiable à Portsmouth dans les divers musées dédiés au Victory, à Trafalgar et à Nelson.
J'ai eu la chance de séjourner une journée complète en avril 08 sur le site, réalisant ainsi la promesse faite de rendre hommage à H Nelson à mon départ de la marine, (c'était le surlendemain).
Alors un peu de respect pour un des plus grands chefs d'escadre de tous les temps.