par Qui se souvient des missions SAR faites par les escorteurs d'escadre dans le sillage des PA ?
Sur le Vauquelin en 62/63, nous effectuions les missions SAR (fonction de Pédro) en manoeuvre aviation de nuit car, à cette époque, les hélicoptères n'avaient pas la capacité à voler de nuit et, en tout cas, pas la capacité de transition automatique (mise en stationnaire automatique sur un pilote par exemple).
Le Vauquelin se plaçait dans le sillage du PA très, très près, à la route aviation et à la même vitesse (ça bougeait pas mal) et les plongeurs du bord étaient équipés et en alerte sur le pont parés à se mettre à l'eau.
Au CO, je me souviens des quarts devant l'IPT (Indicateur panoramique de Télémétrie) - les détecteurs de ma génération devraient connaître - l'oeil rivé sur le marqueur de télémétrie (une main sur l'alidade et l'autre sur la manivelle actionnant le marqueur) et annonçant à l'officier détecteur la distance qui devait rester constante. J'imagine qu'à la passerelle le personnel devait également être aux aguets pour ne pas rentrer dans l'arrière du PA.
De plus si un avion avait un ennui, nous étions aux premières loges pour le recevoir sur le pont.
Est-ce que les rapides faisaient aussi ce genre de missions ?
Sur le Vauquelin en 62/63, nous effectuions les missions SAR (fonction de Pédro) en manoeuvre aviation de nuit car, à cette époque, les hélicoptères n'avaient pas la capacité à voler de nuit et, en tout cas, pas la capacité de transition automatique (mise en stationnaire automatique sur un pilote par exemple).
Le Vauquelin se plaçait dans le sillage du PA très, très près, à la route aviation et à la même vitesse (ça bougeait pas mal) et les plongeurs du bord étaient équipés et en alerte sur le pont parés à se mettre à l'eau.
Au CO, je me souviens des quarts devant l'IPT (Indicateur panoramique de Télémétrie) - les détecteurs de ma génération devraient connaître - l'oeil rivé sur le marqueur de télémétrie (une main sur l'alidade et l'autre sur la manivelle actionnant le marqueur) et annonçant à l'officier détecteur la distance qui devait rester constante. J'imagine qu'à la passerelle le personnel devait également être aux aguets pour ne pas rentrer dans l'arrière du PA.
De plus si un avion avait un ennui, nous étions aux premières loges pour le recevoir sur le pont.
Est-ce que les rapides faisaient aussi ce genre de missions ?
bon ma carrière dans la royale n'a été que de 1 an 2 mois et 18 jours de sam … 
c'est l'intitule du sujet qui prete a confusion, la mission des escorteurs etait "Rescue" et non pas Search and Rescue (SAR)
