Henri Louis Joseph Michel Nomy, né à Saint-Brieuc le 4 juin 1899 et mort à Toulon le 2 août 1971, Officier de Marine, Pilote de l'Aéronautique navale et Résistant Français.
Intègre l'École Navale en juin 1917 et en sort Enseigne de Vaisseau de 2e classe en mars 1918.
Capitaine de Frégate en janvier 1940, il devient en mars Commandant de la Base d'Aéronautique Navale de Berck d'où partiront en mai les flottilles de bombardement en piqué de l'aéronavale qui se sacrifièrent pour lutter contre l'avancée allemande. Nomy se bat alors vaillamment mais doit se replier sur Boulogne où il prend la tête d'un des derniers îlots de résistance. Fait prisonnier le 23 mai, il obtient pour ce fait de guerre deux citations à l'ordre de l'armée.
Libéré en juin 1941, il est nommé en octobre commandant de la base aéronavale de Port-Lyautey au Maroc et revient en France en juin 1942 où il prend part aux réseaux de résistance avant de rejoindre en août 1943 l'Afrique du Nord où il est aussitôt promu capitaine de vaisseau et est envoyé à l'état-major d'Alger en tant que sous-chef chargé de l'aéronautique navale qu'il reconstitue.
Sous-chef d'état-major général (juillet 1947), inspecteur général de l’Aéronautique Navale (septembre 1949), Vice-Amiral (janvier 1950), inspecteur des Forces Maritimes et d'Aéronavales (octobre 1950), il est nommé chef d'état-major général de la marine en octobre 1951 (à 1960) puis Vice-Amiral d'Escadre en décembre 1951. Il joue alors un rôle capital dans la reconstitution de la flotte.
Intègre l'École Navale en juin 1917 et en sort Enseigne de Vaisseau de 2e classe en mars 1918.
Capitaine de Frégate en janvier 1940, il devient en mars Commandant de la Base d'Aéronautique Navale de Berck d'où partiront en mai les flottilles de bombardement en piqué de l'aéronavale qui se sacrifièrent pour lutter contre l'avancée allemande. Nomy se bat alors vaillamment mais doit se replier sur Boulogne où il prend la tête d'un des derniers îlots de résistance. Fait prisonnier le 23 mai, il obtient pour ce fait de guerre deux citations à l'ordre de l'armée.
Libéré en juin 1941, il est nommé en octobre commandant de la base aéronavale de Port-Lyautey au Maroc et revient en France en juin 1942 où il prend part aux réseaux de résistance avant de rejoindre en août 1943 l'Afrique du Nord où il est aussitôt promu capitaine de vaisseau et est envoyé à l'état-major d'Alger en tant que sous-chef chargé de l'aéronautique navale qu'il reconstitue.
Sous-chef d'état-major général (juillet 1947), inspecteur général de l’Aéronautique Navale (septembre 1949), Vice-Amiral (janvier 1950), inspecteur des Forces Maritimes et d'Aéronavales (octobre 1950), il est nommé chef d'état-major général de la marine en octobre 1951 (à 1960) puis Vice-Amiral d'Escadre en décembre 1951. Il joue alors un rôle capital dans la reconstitution de la flotte.