En mission dans les îles : fourrier, scout, charpentier, assembleur soudeur.
Lorsque l'on débarque en Polynésie surtout pour la troisième fois on ressent tout d'abord une grande joie, celle de retrouver des lieux familiers et des amis laissés là quelques années plus tôt.
Après les premiers temps occupés par la prise en charge des nouvelles fonctions attachées à l'affectation on s'aperçoit que soirées et week-ends laissent un peu de temps libre.
Alors parce que j'ai des enfants qui déjà en métropole faisaient partie d'un mouvement scout nous les avons réinscrit à PIRAE.
Nous les avons accompagné un peu et on arrive ainsi à participer à la vie du groupe.
Finalement on prend un peu plus de responsabilités jusqu'à ce que la place étant vacante faute de volontaire, j'en ai pris la direction.
Une façon comme une autre en donnant son temps libre de vivre plus profondément de merveilleux souvenirs de jeunesse.
C'est ainsi que j'ai pris en charge (avec l'accord tacite d'ALPACI et de mon chef de service), le groupe scout mixte de PIRAE d'un effectif de près de 120 enfants et ados.
Pour le coup plus de temps disponible mais au contraire de longues réunions de formations ou de fonctionnement, des week-ends sur le terrain au contact des jeunes.
Mais d'un autre côté que de satisfaction avec des enfants en provenance des quartiers de Tenaho, celui de Nahuata en passant par cet autre de Hamuta.
Dans le mouvement scouts ils retrouvent un peu de joie de vivre et l'épanouissement nécessaire à une adolescence qui ne s'annonçait pas très brillante et qui pour certains les menaient à traîner dans la rue à la recherche d'actes que bien souvent la loi réprouve.
C'est ainsi que lors de l'été 1983 je me suis retrouvé sur le quai d'embarquement à MOTU UTA à destination de Rangiroa dans un rôle de charpentier - couvreur, et l'été 1984 comme électricien, maçon et assembleur-soudeur (mon premier métier avant mon engagement marine).
Lorsque l'on débarque en Polynésie surtout pour la troisième fois on ressent tout d'abord une grande joie, celle de retrouver des lieux familiers et des amis laissés là quelques années plus tôt.
Après les premiers temps occupés par la prise en charge des nouvelles fonctions attachées à l'affectation on s'aperçoit que soirées et week-ends laissent un peu de temps libre.
Alors parce que j'ai des enfants qui déjà en métropole faisaient partie d'un mouvement scout nous les avons réinscrit à PIRAE.
Nous les avons accompagné un peu et on arrive ainsi à participer à la vie du groupe.
Finalement on prend un peu plus de responsabilités jusqu'à ce que la place étant vacante faute de volontaire, j'en ai pris la direction.
Une façon comme une autre en donnant son temps libre de vivre plus profondément de merveilleux souvenirs de jeunesse.
C'est ainsi que j'ai pris en charge (avec l'accord tacite d'ALPACI et de mon chef de service), le groupe scout mixte de PIRAE d'un effectif de près de 120 enfants et ados.
Pour le coup plus de temps disponible mais au contraire de longues réunions de formations ou de fonctionnement, des week-ends sur le terrain au contact des jeunes.
Mais d'un autre côté que de satisfaction avec des enfants en provenance des quartiers de Tenaho, celui de Nahuata en passant par cet autre de Hamuta.
Dans le mouvement scouts ils retrouvent un peu de joie de vivre et l'épanouissement nécessaire à une adolescence qui ne s'annonçait pas très brillante et qui pour certains les menaient à traîner dans la rue à la recherche d'actes que bien souvent la loi réprouve.
C'est ainsi que lors de l'été 1983 je me suis retrouvé sur le quai d'embarquement à MOTU UTA à destination de Rangiroa dans un rôle de charpentier - couvreur, et l'été 1984 comme électricien, maçon et assembleur-soudeur (mon premier métier avant mon engagement marine).