Engagé volontaire à 17 ans le 21 01 1948 à Strasbourg, direction Mimizan et le 1er avril en route pour l'EME Querqueville (centre Dixmude).
1ére compagnie, matricule 156, numéro qui remplace le nom tout au long du stage.Baraquement QM Anquetil, chambrée de 60 hamacs et caissons, en fond de batiment lavabos eau froide type abreuvoir, pas de wc ceux ci étant à l'extérieur.Donc batiment de 60 apprentis engagés et 60 autres logés dans un autre batiment identique abritant 60 mousses le tout formant la compagnie.
J'en arrive à mon nouveau sujet.
Nous étions répartis, pour la durée du stage d'électricien,au réfectoire par table de huit, c'était immuable.
La nourriture était mangeable....... mais servie dans une gamelle double .... La boisson huit quarts de cambusard buvable, servi dans un bidon de deux litres.Nous y voilà!
A l'EME, cétait une tradition, à la table on faisait "le coup du bidon".Cela se passer un samedi midi, donc service du samedi et le lendemain service du dimanche.
Il s'agissait que le bidon de deux litres soit bu par un seul apprenti pendant le temps du repas.Chaque rationnaire devait y passer.J'ai renoncé me sentant incapable de faire ce coup alors qu'à chaque repas j'échangais mon quart de pinard pour un quignon de pain, un dessert ou un morçeau de fromage.
Mais alors dans quel état se trouvait le "récipiendaire", nous étions jeunes de 17 à 20 ans, pas habitués à boire une telle quantité de vin.Le chemin de repli, c'était le hamac , la tablée s'occupait du malade car il appelait raoul avec des fusées et des éclaboussures.......les gradés fermaient les yeux.Le samedi suivant le manège recommençait. :cherry:
1ére compagnie, matricule 156, numéro qui remplace le nom tout au long du stage.Baraquement QM Anquetil, chambrée de 60 hamacs et caissons, en fond de batiment lavabos eau froide type abreuvoir, pas de wc ceux ci étant à l'extérieur.Donc batiment de 60 apprentis engagés et 60 autres logés dans un autre batiment identique abritant 60 mousses le tout formant la compagnie.
J'en arrive à mon nouveau sujet.
Nous étions répartis, pour la durée du stage d'électricien,au réfectoire par table de huit, c'était immuable.
La nourriture était mangeable....... mais servie dans une gamelle double .... La boisson huit quarts de cambusard buvable, servi dans un bidon de deux litres.Nous y voilà!
A l'EME, cétait une tradition, à la table on faisait "le coup du bidon".Cela se passer un samedi midi, donc service du samedi et le lendemain service du dimanche.
Il s'agissait que le bidon de deux litres soit bu par un seul apprenti pendant le temps du repas.Chaque rationnaire devait y passer.J'ai renoncé me sentant incapable de faire ce coup alors qu'à chaque repas j'échangais mon quart de pinard pour un quignon de pain, un dessert ou un morçeau de fromage.
Mais alors dans quel état se trouvait le "récipiendaire", nous étions jeunes de 17 à 20 ans, pas habitués à boire une telle quantité de vin.Le chemin de repli, c'était le hamac , la tablée s'occupait du malade car il appelait raoul avec des fusées et des éclaboussures.......les gradés fermaient les yeux.Le samedi suivant le manège recommençait. :cherry: