Au premier trimestre 1959, j'étais embarqué sur "le Normand", nous avions quitté très tôt TOULON car nous devions embarquer des torpilles vers 7h00 du matin a l'arsenal de saint Tropez.
Nous étions au large de l'ile de Porquerolle quand nos radars repérèrent un bateau immobile tous feux éteints.
Il lui fut demander d'allumer ses feux, ce qu'il fit.
A peine après l'avoir dépassé, il reteignit ses feux.
Notre pacha le capitaine de corvette WASSILIEF dit "popof"était un impulsif.
Il nous fit faire demi tour et de son propre chef arraisonna le bateau.
L'équipe de fouille qui se rendit à bord découvrit qu'il était en train de mouiller des bidons d'alcool de 50 litres, il en était bourré !
Nous abandonnâmes les torpilles pour le ramener à Toulon et il fut confié aux douanes
Nous eûmes droit à une prime versée par les douanes et proportionnelle à la solde.
Comme maistrancier assimilé à un QM2, j'ai touché 80F ce qui multiplia par 1,5 ma solde de fin de mois qui n'était que de 165F.
Nous étions au large de l'ile de Porquerolle quand nos radars repérèrent un bateau immobile tous feux éteints.
Il lui fut demander d'allumer ses feux, ce qu'il fit.
A peine après l'avoir dépassé, il reteignit ses feux.
Notre pacha le capitaine de corvette WASSILIEF dit "popof"était un impulsif.
Il nous fit faire demi tour et de son propre chef arraisonna le bateau.
L'équipe de fouille qui se rendit à bord découvrit qu'il était en train de mouiller des bidons d'alcool de 50 litres, il en était bourré !
Nous abandonnâmes les torpilles pour le ramener à Toulon et il fut confié aux douanes
Nous eûmes droit à une prime versée par les douanes et proportionnelle à la solde.
Comme maistrancier assimilé à un QM2, j'ai touché 80F ce qui multiplia par 1,5 ma solde de fin de mois qui n'était que de 165F.