C'est sur, en plus il fera sans doute plus beau qu'à Vence aujourd'hui.

Pour manger sur l'île, il y a les barquettes : Plat à emporter dans une barquette, 4 à 6 euros.
Il y a beaucoup d'endroits, sur l'île pour acheter des barquettes, pas chère, copieuses.

A St Denis, ne pas manquer d'aller faire un tour sur le Barachois, avec ses camions-restaurants pour une énormes assiettes de poulet/Frites, ou un pain bouchons gratiné (demi baguette avec bouchons spécialité réunionnais, des frites et une bonne couche de fromage, sans oublié la mayo et tout ça passé au grill, ou autre cuisine traditionnelle, pour moins de 6 euros.

Honnêtement, moi j'ai pris pas mal de kilos à La Réunion, et je ne regrette pas, j'ai mangé de tout.
Ce que j'aime le plus, les achards arrosés de sauce légèrement vinaigrée et jus de citron, et le Rougail saucisses, que du bonheur.

Pour Momo
Dans le secteur du Barachois, mon préféré c'est la cabane qui est pratiquement en face du Roland-Garros, les samoussas et les bouchons sont de première.
Mais ailleurs, dans l'ile les nombreuses rondavelles dont autant d'étapes intéressantes, mais c'est un peu comme les restos en Métropole, beaucoup achètent du "toutpret" et font tourner le micro-onde.
Malgré tout, la cuisine réunionnaise, par la variété de ses origines est véritablement une gastronomie.
BON appétit.

OLVICTOR, on ne parle pas de "gros tabac" dans un sujet sur la Réunion, c'est un gros mot en créole !!!

Bonsoir à tous !
J'étais à la Réunion en 76 avec l'ami Jombard et j'y étais déjà en 74 et j'y suis revenu de 85 à 87 à Port des galets en famille et toujours en famille de 90 à 92 à la station émission de Bel air à St Suzanne !!!
Que du bonheur !!!
Ce que je préférais , c'était le poulet coco avec riz parfumé et rougail tomate bien pimenté !
Sans oublier bien sûr les samoussas (poisson), bonbons piments et beignets de crevettes !
J'allais oublier les bouchons !!!
Je me souviens aussi que j'allais de temps en temps dans une table d'hôte du côté du Cap Méchant.
C'était toujours succulent !!!
J'allais oublier le poulet "poussière" quand nous allions à la plage de St Gilles !
Amitiés à vous tous !!
William.

Tu as eu beaucoup de chance Wiliam, 4 séjours à La Réunion... :banane2:

Bonsoir à tous.
Zoreille: A l'époque de l'esclavage, les chasseurs de "noir marron" touchaient une prime en ramenant le fugitif ou... ses oreilles comme preuve.
Version lue dans plusieurs bouquins dont j'ai oublié les auteurs.

J'aime le restau qu'il y a à St Philippe dans la plantation de vanille, des rhums arrangés super, et de belles randonnées sur le Grand Brûlé.

Arrêtez les gars !! arrêtez, où je rempile, je n'y tiens plus, en plus dans le Lot en ce moment il fait frisquet. Heureusement nous avons, le fois gras, le magret, le gateau aux noix, le pastis (attention le gateau pas le glouglou) mais pour le glouglou nous avons le cahors...
J'en rajoute ou ça va ?
Na ! je me suis vengé, je sais c'est petit... mais ça fait du bien.
Véloma
Michel

Et un petit cari bichique ça vous dit ?
Par contre, je ne me rappelle plus des noms des bars et boites de nuit période 75 à 80 à St Denis et au Port.

Pour Dan
Je me creuse les méninges, mais je ne me rappelle plus du nom de la boite qui était, je crois dans le même pâté d'immeuble que le Roland Garros.
Par contre, il y en avait une deuxième plus haut, le Milord.
Pour notre part nous fréquentions pas mal le pavillon de La Buse à Saint Paul, le meilleur moyen de danser Séga.
De plus, les consommations étaient moins chères.

En 1985 il y avait "La Loco" à St Denis, ça me rappelle une anecdote de ce détachement :
Je rentrais d'une escapade nocturne à St Denis, à "l'aubette" de l'armée de l'air le factionnaire me demande si je fais partie du détachement Atlantic, oui bien sûr, il faut que j'aille voir de suite l'Officier de permanence.
Après explication de l'endroit où le trouver, (nous ne sommes là que depuis 2 jours), je trouve donc cette personne qui me dit " vous êtes passés en "Alerte Rodrigue", je n'arrive pas à joindre vos Officiers, ils ont laissé leur position : restaurant à St Denis puis boite de nuit, est-ce que vous savez où les joindre" ?
Aucune idée évidemment, par contre je lui explique que je suis le responsable et mécano de l'équipe technique, et qu'à ce titre je ne suis pas dans le secret des Dieux, et que par conséquent je ne sais pas ce que signifie "Alerte Rodrigue".
Il me répond que lui non plus, il est Major certes, mais cuisinier...
Il a juste reçu un message faisant état de cette alerte, sans autre précision.
Il ne peut pas me donner ce message qui est destiné au Chef de bord, règlement règlement...
L'heure étant assez avancée, à priori nos Officiers ne sont plus au restaurant mais en boite.
Il décide donc d'appeler les boites en question dont "La Loco", et là je me suis retenu de ne pas pouffer de rire, respect pour le grade et la fonction, devant l'épouvantable accent anglais de notre Major, qui ne l'avait certainement pas appris en 1ère langue ni même appris du tout.
Ça donnait à peu près ceci : "Allo, le nichte klubbe La Loco ?".
Après plusieurs coups de fil, "chou blanc".
Pendant ce temps, je m'intéresse à une carte météo au mur, et je constate que les flèches surmontées de l'indication chiffrée de la force du vent, se dirigent... vers l'île Rodrigue.
Vu les chiffres, il fallait s'attendre à quelque chose de violent dans les heures à venir...
En l'absence de toute autre personne, je décide pour "avancer", de faire les pleins de l'avion à 12 tonnes, plein d'attente à ne pas dépasser, pendant que l'Officier de permanence s'occupe de prévenir les essenciers, ce qui pose un sacré problème car ce sont des civils, aucune permanence, les portes d'accès aux pistes cadenassées, etc...
Je vais à notre logement récupérer "mon mécano" et les clés de l'avion (les issues d'accès sont verrouillées), à mon retour l'affaire des pleins est débrouillée, nous commençons le remplissage et quelques minutes après nous rejoignent 2 membres d'équipage dont le premier mécanicien de bord, qui rentrait "de terre", après explication il entérine ma décision, mais surpris qu'on ne trouve aucun Officier, il avait dîné dans le même restaurant qu'eux et ils lui avaient dit qu'en fait ils renonçaient à aller en boîte et qu'ils rentraient.
Il part à la recherche de leur chambre, et quelque temps après tout le monde est là.
Après lecture du message, pas d'urgence, il faut se préparer à un décollage dans la matinée pour survoler Rodrigue et éventuellement évaluer les dégâts...
Toutefois le Chef de bord approuve ma décision prise dans l'urgence, de se préparer à décoller vite en ayant "avancé" les pleins.
En fait, l'alerte a été déclenchée après le retour de nos Officiers à la base, ce qui explique que personne n'avait eu la présence d'esprit d'aller vérifier, ce qui aurait évité ce "cirque " toute la nuit après lecture du message.
De plus, les vents ont tourné dans la nuit, et Rodrigue n'a pas été inquiété.
Bon souvenir malgré tout, qui illustre bien le manque de communication à tous les niveaux...

Pour Pingouin nostalgique
J'en profite ici pour remercier les pingouins et peut être que celui à qui je m'adresse particulièrement se reconnaitra.

Anecdote : en 1976, je ne sais qui avait organisé une compétition inter-armes de natation à Saint Denis.
Nous étions à l'époque une soixantaine de matafs sur l'ile, entre ceux de Saint Paul à la station Oméga, La Possession, La Rivière des Galets, un collègue au port (au hangar 5 ?), et un collègue dans un dépôt de munitions, et monter une équipe de natation tenait de la gageure.
Bref, la question posée pour la sélection était surtout "savez vous nager ?".
Le jour dit on se pointe à la piscine et les biffins nous regardaient avec méfiance en se disant que les marins étaient surement d'excellents nageurs.

C'étaient surtout d'excellents pistards, et quelques uns rentraient justement de piste.
Bref, on allait passer pour des andouilles, inutile de préciser qu'on est arrivés bons derniers partout.
Je crois même qu'un camarade a fait une transversale pour sortir pendant la course et aller dégu... dans les vestiaires.

Lorsqu'est arrivé l'équipage d'un zinc aéro, dont un des membres était champion inter-armes, il a bien évidemment gagné la ou les courses dans la (ou lesquelles) il était engagé sauvant ainsi l'honneur des canards en détresse.

La honte, d'autant que deux légionnaires étaient présents, un officier et un sous-off, qui s'étaient alignés dans pratiquement toutes les courses avec humilité mais avec des résultats très respectables.

Alors merci les pingouins...

Ben oui, il n'y a pas besoin de savoir nager dans la marine, nous avons des bateaux.
Michel :B1: :banane2:

TUR quelle année étais-tu sur L'ALTAIR ?

Fin 1975.

Nous nous sommes certainement connus, à cette époque j'étais sur le Robuste et nous étions au début au quai en bois, et ensuite dans la darse près du slip.
J'ai quitté en 76.

C'est bien possible, je me rappelle bien du Robuste.
Lorsque j'ai embarqué, l'Altair était justement sur slip.
J'étais bien jeune et c'était ma première affectation.
Je te raconte pas quand j'ai vu l'état de la quille !
Ce bateau, lorsqu'on rentrait de Mer, on tapait sur le plat-bord en le remerciant d'avoir tenu une fois de plus.
Nous étions à la darse des pêches parmi les langoustiers...
Nous avions une mascotte qui s'appelait, comme par hasard TALAMBO.
Le pauvre est DCD à Mayotte, au DLEC après avoir ingurgité de la Nivaquine...
Des souvenirs remontent, le foyer du marin et le père Chartier, le resto La Tamponaise et même un épicier LI WAY YEUNG (si je me mélange pas les pinceaux avec papeete).
C'est curieux le port avait à la réunion, une mauvaise réputation, je n'y ai jamais eu le moindre problème.
Immersion totale.
De mes récentes visites, j'ai plutôt constaté que le coté folklore avait disparu.
Tu sauras peut être me dire : Un batiment de la marine nationale, à propulsion mixte, (il avait encore des voiles à bord), et le barreur était obligé de barré, barre dans le dos à cause de la construction d'un PC Radio ?
Je ne me rappelle plus son nom (?).

Je me rappelle de la darse, car nous avions la visite de tous les pécheurs qui cherchaient à faire réparé leur moteur pour pas cher.
Quand nous sommes arrivés de Diégo, nous étions au quai en bois avec "la Diéppoise" et l'"Altair", mais dès l'arrivée de quelques bateaux canons, nos bateaux ont étés placés à la darse qui correspondait mieux à leur rang.
Ce qui n'empêchait pas que nous faisions pas mal de remorquage pour le port.
Pour les sorties c'était le Foyer de Chartier ainsi que la boite le Rocambole ou le Hibou à St Denis, Le Mylord, la ravine des cabris au Tampon, une autre à St Pierre, mais je ne me rappelles plus du nom.
Il y avait aussi une boite à St Paul, mais pareil, j'ai mon Alzheimer.
Pour le chinois c'est bien le nom, il y avait aussi le Ship Chandler, il faut tout recoller et c'est dur.
Maintenant, beaucoup plus sage quand je vais chez mes amis, c'est randonnées, bouffes etc...

Pour la boite à Saint Paul, c'était le pavillon de La Buse.
Quand à aujourd'hui, c'est également randonnée, surtout que dans la région où nous habitons tout les deux aujourd'hui, il y a de quoi faire.
Il y a quinze jours c'était raquettes à Caussols, neige, soleil, vue sur la mer, incroyable, va trouver ça ailleurs...
Dis moi, il y avait un SM Manoeu au hangar 5 je crois, c'était pas Zampoleri par hasard ?

C'est possible, je sais que c'était un manœuvre de la Possession, sinon les noms (?).
J'arrive à me rappeler les noms de ceux qui étaient embarqués avec moi, plus quelques uns, mais trente ans plus tard !...
Bon, comme tu dis quelle région !
Aujourd'hui ballade du coté d'Antibes (peut-être des asperges sauvages) et repas en terrasse, à plus.

Je me souviens bien du Foyer Chartier qui était tenu par un gaillard d'un certain âge, les cheveux grisonnants, mais bien bâti qui savait se faire respecter, à l'époque il faisait la location de 404 Peugeot toutes blanches que nous louions à 3 ou 4 pour nous balader sur l'île.
Il y avait une salle de restauration à l'étage si mes souvenirs sont bons.
Notre venue à la réunion en 76/77 avec le Protet coïncidait avec la sortie du tube de l'Antillais FRANKY VINCENT "Céliméne".
Je me souviens d'excellentes soirées "arhummatisées" à danser au ROCAMBOLE et ailleurs avec de jolies créoles sur ce qui était un tube à ce moment là.
Que du bonheur.

Pour JOMBART
En effet les soirées étaient souvent chaudes.
Mais pour Célimène c'était pas Franky Vincent, ce tube était de David Martial.
J'ai pu l'entendre par le chanteur Himself, lors d'une soirée au Lagoonarium à Tahiti.
Ils nous aura bien fait danser celui la.

Cé Cé Cé Célimène ! En buvant un petit maîtaî, vue sur le lagon avec les cocotiers qui penchent sur la mer, dans la fraicheur du soir... Ia §

Tu as tout à fait raison, il s'agit bien de david martial, je te remercie d'avoir éclairci ce point, mais après 32 ans, la mémoire n'est plus aussi infaillible, reste cependant le souvenir de ces nuits tropicales, avec l'insouciance de nos 20 ans, les copains, le punch des iles et les jolies réunionnaises.
Que de beaux souvenirs.

Bonjour TUR2 en réponse à ta question reprise ci-dessous, il me semble que c'est La SAINTONGE.
De mes récentes visites, j'ai plutôt constaté que le coté folklore avait disparu.
Tu sauras peut être me dire : Un batiment de la marine nationale, à propulsion mixte, (il avait encore des voiles à bord) et le barreur était obligé de barré, barre dans le dos à cause de la construction d'un PC Radio ?
Je ne me rappelle plus son nom ?