Bonjour,
Saintonge, oui il était peint en blanc, son frère la GUYENNE était peint en gris.
Pour reprendre les différents posts que j'ai parcouru et afin de rendre à Guyenne se qui n'est pas à Saintonge :
LA BARRE de la Guyenne etait devant la vitre de la passerelle et le barreur derrière c’était une roue en bois de moyenne dimension.
l’échouage c'est bien la Guyenne qui s'est échouée sur un atoll à cause justement du moteur MAK qu'il fallait arrêter pour le relancer en arrière, ce jour là il n'est pas reparti.
Cela vient du système du lanceur : c’était un lanceur en étoile, c'est à dire qu'on envoyait l'air comprime sur un système qui le redistribuait aux cylindres par des petits pistons qui s'ouvraient alternativement en fonction de la rotation de ce dit distributeur.
Un des piston est reste coince ouvert.
Donc plus d'air, pas de lancement du moteur et la houle nous a couché sur le récif.
Appel SOS le premier bateau qui nous a répondu c'est le de grasse "nous faisons route nous serons sur vous dans 24h".
Réponse du commandant "il sera trop tard".
Nous étions tapé sur le récif à chaque coup de houle.
Notre grand chance et que ce bateau était ancien a la coque rivetée il a eut des bosses mais il a résister.
Le matelot électricien était dans la cale avec une lampe et donnait en temps réel la progression des bosses.
Les mécanos étaient tous à la machine, les boscos plage avant et arrière.
Le PM chequa a eut une idée.
Il y avait une ancre à jas fixe à la clison plage arrière ; nous l’avons amené à l'aide de câbles et système de poulies pont milieu puis nous l’avons mise à l'eau le long du bord ensuite nous avons amené une baleinière de récif au dessus, nous avons remonte l'ancre et amarrer sous la baleinière qui et partie loin derrière.
A l'aplomb du récif le chef baleinier DANIEL MATEMOKO a coupé le bout et a mouillé l'ancre.
Nous avons ensuite amarrer les trois baleinières à l’arrière équipé chacune de moteur Jhonson de 40 CV et les baleinière on tirer l’arrière vers l'aplomb du récif pendant que nous virions sur le câble à l'aide des treuilles hydrauliques.
Voila comment la Guyenne s'en ai sortie de son échouage dans la nuit nous avons pus remettre en route grâce a l'aide d'un légionnaire qui lisait l'allemand, les notices du moteur étant en allemand et les mécanos du bord étaient bretons.
Je vous joint 2 photos de cet épisode, photos de ma propriété elles ont été prise par l'adjudant chef Radion que nous embarquions à chaque mission OPP.
La Guyenne.
L’échouage.
Voilà c'est tout pour aujourd'hui.
Si il y a de la demande d'autres photos seront mises les missions, les atolls.
Cela c'est passé en 68/69 j’étais à bord SM elec, (bidel, responsable des baleiniers et du chargement).
Jean,
La mission de la Guyenne était identique à la mission du Saintonge et ce que faisait le sm elec à bord également identique d'ailleurs qu'en un était en mer l'autre était à quai c'est rare que l'on soit ensemble en mer ou à quai.
Bonne soirée.
Saintonge, oui il était peint en blanc, son frère la GUYENNE était peint en gris.
Pour reprendre les différents posts que j'ai parcouru et afin de rendre à Guyenne se qui n'est pas à Saintonge :
LA BARRE de la Guyenne etait devant la vitre de la passerelle et le barreur derrière c’était une roue en bois de moyenne dimension.
l’échouage c'est bien la Guyenne qui s'est échouée sur un atoll à cause justement du moteur MAK qu'il fallait arrêter pour le relancer en arrière, ce jour là il n'est pas reparti.
Cela vient du système du lanceur : c’était un lanceur en étoile, c'est à dire qu'on envoyait l'air comprime sur un système qui le redistribuait aux cylindres par des petits pistons qui s'ouvraient alternativement en fonction de la rotation de ce dit distributeur.
Un des piston est reste coince ouvert.
Donc plus d'air, pas de lancement du moteur et la houle nous a couché sur le récif.
Appel SOS le premier bateau qui nous a répondu c'est le de grasse "nous faisons route nous serons sur vous dans 24h".
Réponse du commandant "il sera trop tard".
Nous étions tapé sur le récif à chaque coup de houle.
Notre grand chance et que ce bateau était ancien a la coque rivetée il a eut des bosses mais il a résister.
Le matelot électricien était dans la cale avec une lampe et donnait en temps réel la progression des bosses.
Les mécanos étaient tous à la machine, les boscos plage avant et arrière.
Le PM chequa a eut une idée.
Il y avait une ancre à jas fixe à la clison plage arrière ; nous l’avons amené à l'aide de câbles et système de poulies pont milieu puis nous l’avons mise à l'eau le long du bord ensuite nous avons amené une baleinière de récif au dessus, nous avons remonte l'ancre et amarrer sous la baleinière qui et partie loin derrière.
A l'aplomb du récif le chef baleinier DANIEL MATEMOKO a coupé le bout et a mouillé l'ancre.
Nous avons ensuite amarrer les trois baleinières à l’arrière équipé chacune de moteur Jhonson de 40 CV et les baleinière on tirer l’arrière vers l'aplomb du récif pendant que nous virions sur le câble à l'aide des treuilles hydrauliques.
Voila comment la Guyenne s'en ai sortie de son échouage dans la nuit nous avons pus remettre en route grâce a l'aide d'un légionnaire qui lisait l'allemand, les notices du moteur étant en allemand et les mécanos du bord étaient bretons.
Je vous joint 2 photos de cet épisode, photos de ma propriété elles ont été prise par l'adjudant chef Radion que nous embarquions à chaque mission OPP.
La Guyenne.
L’échouage.
Voilà c'est tout pour aujourd'hui.
Si il y a de la demande d'autres photos seront mises les missions, les atolls.
Cela c'est passé en 68/69 j’étais à bord SM elec, (bidel, responsable des baleiniers et du chargement).
Jean,
La mission de la Guyenne était identique à la mission du Saintonge et ce que faisait le sm elec à bord également identique d'ailleurs qu'en un était en mer l'autre était à quai c'est rare que l'on soit ensemble en mer ou à quai.
Bonne soirée.