Oignons blancs



Lors de mon dernier séjour j'en ai fait une cure de ces petits oignons blancs.

Délicieux....Et tant pis pour la petite musique de nuit

Eh bin moi, pas de mauvaise haleine ni de vents avec les oignons blancs malgaches ou métropolitains !!!!! c'est grâve docteur ?

bonjour
je ne sais pas s il faut consulter demande a bigot ou le pogam spécialisé en la matière !!
mais c est bien connu que le gaz..part
cordialement
Yvon

Pas de probléme avec les oignons verts ou rouges c'est du frais

Daniel

Le Robuste,année?



Flamboyant





Le fossa,carnivore de Madagascar

Belles photos Jean Pierre. Quel bel équipage sur le Robuste!

Le fossa, nous disions le fauxchat. A caméléon , en 1950,il y en avait un qui avait élu domicile dans une vieille baraque laissée par les anglais. Nous en avions peur de ses attitudes menaçantes. Il a fini par être"dézingué" d'un rafale de mitraillette.

Vous avez tous le "vent" en poupe! Alors bon "vent" à tous! amicalement.

Bonjour à tous,

Je vous informe que le journal "La tribune de Diégo" vient de faire paraître deux articles interessants le 5 avril dernier:

- "L'arsenal de Diégo Suarez: de la Direction de l'Artillerie à la SECREN", par Suzanne Reutt de l'association d'histoire locale" Ambre"

- "Construction et réparation navale à Diégo Suarez", par M Moratombo, directeur de la réparation navale à la SECREN, et par M Tsiolavina , conseiller technique.

Dans le premier article, il y a la photo de l'aviso de transport "Vaucluse" qui a été le permier navire à être échoué dans le bassin de radoub en 1916. Il s'agissait d'un bâtiment qui avait pour mission de faire des relevés hydrographiques sur les côtes de Madagascar.



Dans le deuxième article, il y de très belles photos du bassin de radoub et en particulier des pompes d'épuisement du bassin. Je vous invite à consulter ces articles en tapant le titre sur votre moteur de recherche. Depuis 2010, la SECREN est associée avec le groupe MEUNIER de Brest. Depuis cette date, le pavillon français flotte de nouveau à la porte d'entrée principal de l'arsenal.

Bel Aviso Alain, bien différent des notres !!

Le Vaucluse avait il des moteurs ou était il simplement à voile ?

J'ai lu sur internet qu'il avait fini comme ponton à Lorient à l'arrivée des Allemands !

Le Vaucluse



Voile ou vapeur ?

En tous cas, il a fière allure notre aviso.

Même sans clim...

bonjour
merci a Alain pour cette belle photo du bâtiment
en étant logique on voit bien sur la photo des mats et voiles
pour la vapeur pas de cheminée
ceci n engage que moi bien sur !!
cordialement yvon

LE VAUCLUSE
autant pour moi il y a bien au moins une cheminée
Bonjour à tous,

VAUCLUSE Aviso-transport type Meurthe (1901 - )

Chantier :

Chantier de Rochefort.
Commencé : 05.1886.
Mis à flot : 17.04.1901.
Caractéristiques : 1 600 t ; 650 cv ; 64 x 10,5 x 4,9 m ; 1920 : 70,8 x 10,5 x 5 m ; Thibaudier puis Romazzotti sur plans Sabatier ; 3 mâts barque en bois ; 1 cheminée ; Machine Indret ; 11 nds , 110 h.
Armement : VI 140 + II 90 + Iv canons revolvers 37 ; 1907 : II 138 + IV 47.

Observations :

18.09.1885 : Construction ordonnée.
10.1885 : Ordonné (sic).
1895-1901 : Construction suspendue.
1902 : Armé pour essais.
1902-20 : Rochefort.
1903-05 : Prêté au Ministère des P.T.T..
1.12.1905 : Armé à Toulon.
11.1.1906 : De Toulon pour relver dans la Pacifique la Meurthe qui désarme à Nouméa.
1907 : Hydrographie à Madagascar.
2.8.1914-1.8.1919 : Campagnes de guerre.
3.1920 : Mission hydrographique au Maroc.
1922 : À vendre à Lorient.
1923-40 : Ponton d'amarrage à Lorient.
19.6.1940 : Détruit par un bombardement à Lorient.
12.1940 : Renfloué.
2.1943 : Coulé à nouveau par un bombardement anglais.
1948 : Démoli sur place.

Sources :

Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II, 1870-2006, LV Jean-Michel Roche, Imp. Rezotel-Maury Millau, 2005.


et il a bien servi de ponton a Lorient merci a alaini deguerre
yvon

Les salines en 1968, on aperçoit des camions !



Vu d'avion avant d'atterrir à Arrachard en décembre 2011

Réponse au message 880

Jean-Pierre il me semble que c'est une photo de l'équipage de1970,que Clavel avait postée sans certitude,j'irai vérifier.

Bonjour,



En mai 1965 (le 7 ou le 14), inspection générale pour le Remorqueur A 709 - MALABAR (ex US) et son brillant équipage.











Bonne réception et Joyeuses Pâques,

Véluma

Roger



PS : Merci à Jean Veillon qui ,dans son MSG 892, donne des renseignements important. En particulier le nom du bâtiment ce qui m'a permis de corriger cette communication. La tragique fin de ce remorqueur (date et circonstances) est à préciser (si possible) surtout qu'il me semble me souvenir que cela n'avait pas été sans casse pour l'équipage. Investigations en cours au 9/4/2012.

Bonjour à tous,

Pour répondre à Alain Eguerre, oui l'aviso de transport "Vaucluse" disposait bien d'une machine. Yvon nous a même indiqué la puissanse de la machine 650CV qui permettait d'atteindre la vitesse de onze noeuds. J'ai eu l'occasion de faire quelques recherches sur la construction navale militaire, et voici ce que j'ai trouvé. A partir de 1857, tout navire, non pourvu d'une machine et d'une hélice pour sa propulsion, n'était plus considéré comme un navire militaire dans les conventions internationales. Ce qui fait que durant cette deuxième partie du 19ième siècle, la plus part des bâtiments de guerre disposaient d'une propulsion à voile et d'une propulsion mécanique. La propulsion à voile servait pour les transits et la propulsion mécanique au poste de combat, pour les manoeuvres de port et dans les chenaux, pour les passages de cap et en transit par vents faibles ou contraires.

Yvon nous a indiqué aussi que l'aviso Vaucluse était du type "Meurthe". En fait celui-ci était légèrement plus gros: 2000 tonneaux (1) et 70 m de longueur pour l'aviso "Meurthe", contre 1585 tonneaux et 64 m de longueur pour l'aviso "Vaucluse" (cf le site de Guy Joly sur le tableau d'honneur aviso-canonnières-transport). Celui ci mentionne trois bâtiment de même type:

- L'aviso de transport "La Nièvre" construit à cherbourg en 1878, qui était en mission hydrographique à Madagascar et qui a été desarmé à Diégo-Suarez en 1907;

- L'aviso de transport "La Manche", construit à cherbourg en 1890, qui était en mission hydrographique en indochine, qui a été desarmé en 1920;

- L'aviso de transport "Vaucluse", construit à Rochefort en 1901, qui avait succédé à "La Nièvre", qui fut rayé des services en 1922, et utilisé comme ponton à Lorient.

C'est à cette époque de 1845 et 1860 que furent constuits à l'arsenal de Brest, sur le plateau dit des "Capucins", les grands ateliers des machines à vapeur et la grande chaudronnerie. Ces ateliers construisaient les chaudières, les machines alternatives à vapeurs et les nombreux auxiliaires, des navires en construction à Brest. Les autres arsenaux de Cherbourg, de Lorient, de Rochefort, et de Toulon ont du se moderniser à la même époque.

Ce nom "aviso" utilisé uniquement dans la Marine Française est plutôt vague, difficile à classer. Il viendrait d'une expression espagnole ""barca de aviso". Dans la Marine Nationale française, il a été utilisé pour désigner un bâtiment stationnaire outre-mer: Les avisos coloniaux (le mot colonial est devenu un gros mot), puis les avisos escorteurs (que notre ami Alain Michaux nomme "les lévriers des mers"). A partir de 1969, il y a eu les avisos type "D'estienne d'Orves" F781 que je connais très bien car j'ai signé les plans généraux quand j'étais en service à Paris au groupe "Architecture navale". L'état major de la Marine avait souhaité faire de ces avisos des "Laboureurs des mers", ils devaient être simples, robustres, fiables, et très marins. Pour l'OTAN, les avisos étaient classés dans la catégorie des frégates.

(1) Le tonneau est un volume qui fait 2,83 m3. Cette mesure porte souvent à confusion. Le tonnage d'un navire désigné en tonneaux est le volume intérieur du navire, sous le pont étanche, ou parfois le pont résistant supérieur. Le tonnage d'un navire désigné en tonnes est le déplacement du navire, c'est à dire son poids, mesuré par le poids du volume d'eau déplacée, car comme nous a dit "Archimède": Tout corps plongé dans un liquide........Ce poids du navire est mesuré en relevant les tirants d'eau avant et arrière, et en prenant en compte la densité de l'eau de mer du lieu. Il y a trois déplacements:

-Le déplacement à pleine charge,

- Le déplacement lège (sans vivre, ni carburant, ni eau, ni munitions, mais avec équipage)

- Le déplacement moyen d'essais, qui est la demi sommes des deux premiers, et qui devrait correspondre au volume tiré du plan des formes, sous la flottaison 10 H. Hélas, comme les humains, les navires prennent aussi du poids avec l'âge, pour des raisons diverses et en particulier parce que tous les marins saluent tout ce qui bouge et peignent le reste. Cette raison c'était pour rire.

Message 890

Il s'agit du remorqueur ex US "MALABAR" qui a tragiquement sombré à la sortie des passes de Diego en prenant la remorque d'un petrolier devant rentrer au bassin. Ce triste évènement a déjà été relaté sur le forum.

Sur cette photo, je crois reconnaitre entre autres, le S/M Elec TOTI (disparu) et le Q/M Chopineaux (décédé il y a quelques années).

J'ai connu un Malabar à Diégo en 1949 et 1950. Est ce le même dont parle Jean Veillon. A l'époque il était commandé par un maître principal dont j'ai oublié le nom. J'y avais un bon copain, un chouf bosco corse, nommé Bettini

Msg 893

Il est tres probable que le Malabar que tu as connu dans les années 50 soit le même qu'en photo. C'etait à cette époque, toujours un OMS qui commandait.

bonjour Daniel , et merci
le retour par la route Diego Ankify est une épreuve pour les europeens que nous sommes
comme promis des photos suivront
A Jean leon ,
eh oui poste arrière sur le Bourdais juste a cote

Merci à Alain Cloarec pour sa réponse en complément de celle d'Yvon.

Interessant ce nom d'aviso qui, pour ma part fait partie de ma vie ! avoir navigué sur deux avisos escorteurs

a été une fierté pour moi et ce nom comme tu nous l'explique était associé dans notre esprit aux "voyages ultramarins"

J'ai fait la Jeanne mais rien à voir avec le groupe soudé que représentait l'équipage d'un aviso (160 hommes) isolés

plusieurs années dans les îles. J'ai bien aimé la Doudart de Lagrée mais mon coeur et mes 20 ans sont resté sur le Protet à Diego.

Jean léon doit surement ressentir la même chose entre le Bourdais à Diego et le Rivière non ?

Rien à voir non plus avec mes 2 ans à l'Unité Marine .

Alain, j'ai bien aimé ta fin de texte sur les marins qui peignaient ce qui ne bougeait pas, tellement vrai et effectivement cela devait

représenter un surpoids ? difficile à évaluer. Peinture sur m ....e = proprété

Le déplacement lège devait être théorique non Alain ?

Pas facile pour l'équipage sans vivres, eau, carburant !

A Thobert



C'était donc toi l'heureux touriste drivé par notre ami Daniel à Diégo.

La route Diégo-Ankify c'est juste une petite rigolade. Une mise en bouche quoi....

J'ai fait la totale en 2004, Diégo-Tana non stop avant remise en état de la route-piste.

Inoubliable.

A Alain Eguerre



Déjà avec de telles initiales: AE, difficile de ne pas aimer les Avisos-Escorteurs.

Et tout à fait d'accord avec toi cher Alain, Le Rivière c'était bien mais le Bourdais, avec la charnière Grand-Nord - Océan Indien et Pacifique et bien sûr Diégo c'était ? heuuuuuuuuuuu, comment dire ????????

Magnifico

S'il y en a qui habite le coin!!

bonjour

Daniel et moi même devant l’hôtel du jardin exotique ou il nous avait réservé une chambre