Ce récit émouvant, du Cdt J.Fagès, transmis par D. Guimond,évoque de douloureux souvenirs qui
ne sont pas effaçés. Le temps peut atténuer la douleur, ces souvenirs eux, restent là ,gravés quelque part et pour
longtemps!. Et je penses que celà est vrai pour beaucoup d'entre nous?
A ce sujet, une question,depuis longtemps,également, me trotte dans la tête. La voici : à Canthô, plusieurs de nos
copains reposaient dans un petit cimetière militaire. Ont-ils été rapatriés en Métropole?
Là reposait entre autres, notre benjamin, de l'équipage du LCM 40, tombé à son poste de combat,le 31/07/1950,au
cours d'une embuscade sur le canal Bathé ( Cochinchine). Il était âgé de 18 ans!( mlot équ. Quémeneur Louis)
Au cours des années 1952 à 1956,peut-être un ancien est-il au courant de l'évacuation de ce cimetière de Canthô?
Bonne journée à vous tous . A+ Jean Favalessa.