le batiment qui se trouve derriere le "Ville de Rouen" est un dragueur océanique peut être "La Dieppoise"

Non non Gérard ce n'est pas la Dieppoise mais l'Altair, n° coque M736 pour ce dernier et M730 pour la Dieppoise

merci pour ce joli reportage.

à Hetet a merci pour la précision, j'avais pas réussi à déchiffrer le n° de coque bien sur l'Altaïr M736 notre voisin de tribord avec le Robuste, quand à la Légion il me semble avoir vu une fois une photo où ils défilaient à St Denis de la Réunion lors de leur escale

bonjour la royale exact pour le défilé à la réunion j'y était l'escadron de sakaramy amitié légion charles

Bonjour à tous,

Le "départ" du 3 de Diégo Suarez refait surface...

Pour tous ceux que le sujet intéresse, le départ "officiel" du Régiment a eu lieu le 23 août 1973.

Après une prise d'armes "d'adieu à la Terre Malgache" au port civil, le personnel embarque sur le cargo affrété pour les conduire en Guyane (débarquement à Cayenne puis direction Kourou, lieu prévu pour le stationnement avec pour mission principale, la protection du Centre Spatial) via une escale à La Réunion.

Pour info, le 10 février 2011, Diégo-Suarez, Tome 10, page 39, j'ai posté (avec accord du SHD) le msg 386 comportant les photos prisent lors de cet événement par le photographe officiel et enregistré au Service Historique de la Défense de Lorient sous la référence 20 AU 69 (copyright).

Bon retour en arrière dans le blog...

Je me souviens également d'avoir vu une ou des photos du défilé à St Denis de la Réunion, mais OU ? La est la question. Affaire à suivre, donc !

Véluma,

Roger

Pour Charly et Dusek,

merci pour les précisions Roger je vais rechercher cette photo de la Réunion

moi je l'ai mais je ne sais pas l'envoyer et on a pas eu d'escale à la réunion la seule au cap ravitaiilement en produit frais

Salut Jean-Léon,
Anivorano, quels souvenirs, j'ai encore un film super 8 sur ce rituel, le dernier avant de quitter définitivement Diègo avec le Bory.

1973:

Moins d'une dizaine de jours après, tout s'arrange à la convenance des Malgaches, huit accords de coopération étant signés à Paris ; l'élaboration des textes concernant les relations économiques, monétaires et financières est seule reportée à une date ultérieure.
Diégo-Suarez

Dans le domaine militaire, il est convenu que le 1er septembre 1973 les responsabilités de défense commune seront entièrement prises en charge par Madagascar. Les troupes françaises terrestres seront progressivement retirées avant cette date.

Le statu quo de la base navale de Diégo-Suarez est maintenu pour la période transitoire de deux ans. Ce délai doit être utilisé pour accélérer la formation des cadres malgaches destinés à prendre le relais de leurs collègues français. Il est prévu un droit d'escale maritime aérienne, notamment en matière de ravitaillement et de réparations pour les navires et les avions français sans aucune limitation, ces facilités étant renouvelables par tacite reconduction. L'arsenal de Diégo-Suarez est maintenu en tant qu'entreprise mixte franco-malgache, tandis que les 400 marins qui y stationnent sont autorisés à y rester jusqu'en 1975.

En revanche, les unités de la légion étrangère quittent la région de Diégo-Suarez ; la base aérienne d'Ivato, située dans la banlieue de Tananarive, est restituée aux Malgaches, les appareils français n'y bénéficiant plus que d'un droit d'escale simplifié.

Un accord domanial prévoit que tous les bâtiments du domaine public qui avaient été donnés à la France au moment de « la restauration de l'indépendance » en 1960 seront remis à la disposition de l'État malgache.

Le général de division Marcel Bigeard, commandant supérieur des forces françaises du sud de l'océan Indien depuis 1971, est nommé adjoint au gouverneur de Paris le 20 juin 1973 ; son quartier général est transféré de Tananarive à Saint-Denis de la Réunion. Ce départ marque le couronnement de l'offensive diplomatique menée par le général Gabriel Ramanantsoa et son équipe dès le lendemain du mai malgache de 1972, et c'est dans une atmosphère euphorique que la population de Madagascar célèbre, à travers toute l'île, le 26 juin, jour de la Fête nationale.

En réalité, le général Gabriel Ramanantsoa, qui a obtenu les pleins pouvoirs pour cinq ans à l'issue du référendum du 8 octobre 1972, au cours duquel il a recueilli plus de 80 % des suffrages exprimés, doit faire face à un certain nombre de difficultés d'ordre interne : querelles tribales qui sont à l'origine de graves désordres, opposition gauchiste menée notamment par Rakotonirina Manandafy, réticence des milieux modérés sur lesquels André Résampa continue d'exercer une certaine influence, dégradation de la situation économique.
Tribalisme

Entre les Mérinas, habitants des hauts plateaux du centre de l'île, et les tribus côtières, les tensions restent extrêmement vives. Les secondes reprochent aux premiers de contrôler le gouvernement et les hauts postes administratifs, et de chercher à assurer seuls la gestion du pays. En décembre, Tamatave, principal port malgache, est le cadre de violentes émeutes. La population, en majorité d'origine betsimisaraka, malmène les Mérinas, incendie leurs magasins, lapide leurs voitures, détruit leurs habitations. On déplore une cinquantaine de blessés et un important exode des éléments mérinas de la population de Tamatave vers la capitale.

L'opposition des lycéens au programme de malgachisation de l'enseignement est à l'origine des troubles. Après la proclamation de l'état de siège, les dirigeants de Tananarive devront faire marche arrière sur ce point.

L'opposition des lycéens de Tamatave à l'extension de la langue nationale – qui est en fait la langue mérina – n'explique pas à elle seule la flambée de violence qui a embrasé pendant plusieurs jours le grand port de la côte orientale de Madagascar. En fait ces émeutes constituent une nouvelle et violente manifestation du conflit permanent qui oppose les populations rurales de la côte à la bourgeoisie mérina des hauts plateaux.

D'après l'architecture des bâtiments, cette photo a été prise à Diégo Suarez (Madagascar), plus exactement au quai des Torpilleurs. De gauche à droite, Genet, Beuret, Boucher, Lachal et un inconnu. (photo Christian BEURET - 1966)
Escorteur l'Alsacien:

Je suis tombé par hasard sur cette vidéo (ou plutot chanson) qui rappellera à beaucoup d'anciens de Diégo quelques souvenirs.
Pour ma part, combien de fois je l'ai entendue de ma chambre de l'hôtel Marine donnant sur le kiosque à musique !!

Merci Mr le Médecin de nous remettre en tête l'air de cette mythique chanson.

Bonjour jeanlepogam, dommage la vidéo a été supprimée.

Effectivement elle vient d'être supprimée, alors qu'il y a 15 minutes elle était sur le site de Youtube. Dommage

jeanlepogam je viens de voir que nous étions à Diègo à la même époque, je me trouvais sur le Bory. oblige nous nous sommes peut être croisés

Bonsoir Pluton69, il est fort possible que nous nous soyons croisés.... au Tropical où à la Taverne où peut-être ailleurs car le Bory est resté longtemps à Diégo avant de nous quitter comme le montre mon film où l'on te voit peut être dessus?

Merci jeanlepogam que de souvenirs !!!! Pour la manœuvre j'étais plage arrière le service ASM, l'avant c'était les artilleurs. Je garderai toujours en mémoire ce départ.....

salut la royale il est parti quand du moins l'année amitié légion charles

ben moi Jean je préférai mieux te croiser (sans le savoir) au Mini Scotch qu'à l'infirmerie ahahah

Bonjour dusek, le Bory a quitté Diégo le 22 février 1972

Gerardsin59, on aurait pu se croiser effectivement au MiniScotch, car habitant à l'hôtel Marine à côté, je pouvais y aller en chaussons (ou en tongs !) et j'y étais très souvent le soir. Le retour ne posait pas trop de difficultés

UM satellitaire


Seul progrès notable vu sur les photos de l'UM, merci à Gérard pour la mise en place, une antenne satellite

Toubib, si tu pouvais aller au mini scotch en chaussons, j'en connais certains (dont je faisais parti) qui avaient encore moins de chemin a faire pour rentrer se coucher.............Annexe de l'Hôtel de la Poste !!!!
Sauf quand le LCT était en mer "of course" !!!!!! Demande à Gérard notre bon Tim.

Le Tribunal de Diégo


Le tribunal de Diégo des années cinquante et son policier réglant une intense circulation.
J'ai laissé un coin de dentelure pour mieux situer l'époque.


Editions DR "Librairie Colbert" - Diégo-Suarez, le Tribunal - Années cinquante.
Collection personnelle Jean-Léon.

Et l'aronde voiture que nous utilisions encore dans les années 70. Celle ci on a l'impression que c'est un cabriolet.