insigne du Commando n° 43

insigne du Commando n° 45

insigne du Commando n° 62



Nota : Le Commando n° 10 a été dissous le 15 juin 1952. Le Commando "Tempête" commence à se former à Haïphong en avril 1952 à partir d'éléments (45 hommes) de la 207ème CLSM, avec encadrement du Commando Marine "de Montfort". En juillet sont mis à disposition de la Marine, les crédits et l'armement du Commando n° 10. Des rescapés du Commando "François", décimé à Ninh-Binh, sont portés à l'effectif ce qui met celui-ci à 120 hommes. Le personnel supplétif comprenant d'abord des Viêtnamiens de la région d'Haïphong, va être renforcé par des autochtones issus des milieux catholiques du Nord-Annam (Vinh et Thanh Hoa), puis par des cadres de l'Armée nationaliste chinoise.
Le Commando n° 62 "Tempête" est créé le 16 février 1953 par changement de numérotation du Commando n° 10.

insignes de la CLA Dinassaut III et du Commando n° 63

Commando de la Division Navale d'Assaut (Dinassaut) III


Compagnie Légère d'Accompagnement de la Dinassaut III (Commando n° 63)

Fin de la publication des insignes des COMMANDOS DU NORD VIETNAM.

Bravo , merci :cheers: :cheers: :cheers:

Encore merci pour ces insignes, qui en fait gagnaient à être connus.

;) Daniel !

Merci Daniel de nous avoir fait profité de ce petit trésor et à travers ces insignes d'entrevoir à la fois l'existence de ces hommes prêts à tout mais aussi d'imaginer ce que pouvaient être leur mission de tous les jours sur le terrain dans un milieu hostile.
Courageux, endurants ils avaient une parfaite connaissance du terrain. Les opérations montées les emmenaient bien souvent en zone Viet-minh au contact d'un ennemi fanatique et sans pitié pour une guerre qui était loin d'être conventionnelle mais qui n'était que raids éclairs et guérillas dans un but de recherches de renseignements.
Les conditions de vie étaient spartiates sous un climat humide et chaud, le ravitaillement épisodique, l'évacuation vers l'arrière aléatoire. Je reste et demeurerai impressionné devant le courage de ces hommes qui ont tant donné pour qu'une certaine idéologie ne passe pas.
J'ai eu l'occasion, en avril 1962, pendant mon transist Marseille-Nouméa à bord du M/S "Tahitien", de voyager avec un détachement de 45 hommes de "la colo" dont plusieurs ....avait fait l'indo et certains incorporés dans ces commandos.
Le chef de détachement, un colonel - un ancien lui aussi, leur demandait de mettre leur tenue n°1 le dimanche à 11 h pour une inspection réglementaire sur le pont à l'avant (cela faisait de la distraction pour las passagers de lère classe)- à la vue des "placards" de décorations "cloutés" - qu'ils portaient et des récits qu'ils m'ont fait les soirs de nostalgie j'ai imaginé et compris ce que devait être ces séjours dans le Delta, dans la jungle du pays Thaï et les pistes du Laos.
Beaucoup n'ont pas repris passage à bord du "PASTEUR" pour les ramener à Marseille.

Commando n° 10 puis n° 62 "Tempête" en Indochine

Encadrement Marine

Chefs : LV GAILLARD du 16/2 au 17/7/1953 - EV RUYNEAU de SAINT-GEORGES du 17/7/1953 au 15/6/1954 - EV LARGE du 15/6 au 31/10/1954

Sections :
1953
SM LE GALLIC, SM MEVEL Jean, SM COLLADANT, SM PAUGAM, QM ROBERT (tué le 25/2), QM ACKER, QM LORHO, QM ROBE, QM COEFFEUR, QM HERMELIN mort le 27/11), QM VEINARD, QM COUILLAUS, QM TRULLARD, Matelot LAFIFI
1954
SM CONSTANTIN (mort le 20/1), SM CHENIER, SM COLLADANT (jusqu'au 16/2), SM PERON, QM DAVID, QM MULLER, QM VANDENBROUCK, QM DERCOURT, QM LORHO, QM TRULLARD, QM RUAULT, Matelot RAGUIDEAU, Matelot PIVAIN

PIVAIN reconnaîtra parmi les Vietnamiens, un ancien du commando "Vandenberghe" qui, lorsqu'il était Lieutenant-Colonel dans le Viêt Minh, avait été le bourreau des hommes du Commando "François" fait prisonniers après Ninh-Binh, mais ce dernier, certainement protégé, sera immédiatement débarqué et échappera ainsi à la "liquidation" qui l'attendait.

Qu'ils soient biffins ou marins, ces hommes se sont battus avec un grand courage, ainsi que les supplétifs autochtones qui formaient la troupe des commandos. Le Viet-minh à parfois réussi a infiltrer des hommes parmi eux, mais malheur à ces derniers s'ils étaient démasqués.

En parlant de fanion, quelqu'un sais t'il si les fanions de la marine sont disponible à la venteet si oui où ?

mon pauvre Fusco 35 j pense que la réponse sera négative, et pour cause, se sont des piéces uniques, et qui font parties du patrimoine national, ce qui est normal d'ailleurs.

une photo de commandos du Commando n° 65 en Indochine, prise sur la terrasse de la villa du Gouverneur à Do Son (Tonkin).

De gauche à droite, le Maréchal-des-Logis Chef BALLOT, chef du Commando n° 65 (tué en Algérie), le sergent SIGNORELLI, le Maréchal-des-Logis BARRET (tué le 27 janvier 1953 lors d'une embuscade à Dong Trieu) et mon copain le Quartier-Maître Achille BOESPFLUG.



Achille BOESPFLUF a fait deux séjours en Algérie, dont le premier à la DBFM. Lors de son second séjour, il a été le dernier capitaine d'armes de la base de Mers-el-Kébir. C'est lui qui a fait "amener" les couleurs avant la prise de possession de la base par l'armée Algérienne.
Après l'Algérie, il a servi au SDECE (devenu DGSE) pendant de nombreuses années.

R ien à dire chapeau bas

Le fanion du Commando 65 a été remis par Achille BOESPFLUG au musée de traditions de l'école des fusiliers marins à Lorient, où il est exposé.

Mon cher FUSCO35, comme te l'indiquait notre bon Bidel Jean-Paul, les fanions sont des pièces uniques, précieusement conservés et ne font pas (pour le moment, car il faut s'attendre à tout maintenant) l'objet d'une vente. Il m'étonnerait que des copies aient été réalisées.
Lors du cinquantenaire de la DBFM en mai, j'ai vu les anciens du commando "Yatagan" de DELAYEN, embrasser leur fanion que présentait un fusilier marin au bout du canon de son FAMAS.

Bidel je ne parle pas de ces superbes Fanions qui ont traversé les années et les batailles pour venir livrer leur histoire et montrer la bravoure de nos pères, mais des fanions type unité ou école comme ceux disponible pour l'armée de terre, la légion...

Résumé des activités du Commando n° 10, puis n° 62, puis "Tempête" en Indochine

Historique des activités

Le 23 février 1953, avec le raid «Dahomey» sur Sam Son (littoral du Thanh Hoa), débute une longue série d’opérations, entrecoupées d’interventions dans le Secteur de Phat Diem, la Zone côtière, la Zone d’Haïphong, le Secteur de Sept Pagodes et même au Laos, qui vont le maintenir sur la brèche jusqu’au cessez le feu.

Opérations sur les côtes du Nord-Annam

«Tarn» (Ho Thuong/Ho Trung) le 25 février; «Togo» (Cua Trap /cap Bouton) le 28 février; «Poitiers» (My Khé/Naï Thon) le 7 juin ; «Moselle» (Du Xuyen/cap Rond) le 10 juin ; «Niger» (Phu Da/l-lon Tru) le 20 août «Dahomey II» (Sam Son) le 22 août; «Volta)) (Cu Nham/Ngoc Diem) le 24août; «Clairvaux» (Na Thon/Xuan Vi) le 8septembre; «Barsac» (Do Cam) le 10septembre; ‘Pélican li» (Tinh Gia) du 15 au 18octobre; «Frégate» (Tien Trang) le 19 mai 1954 ; «Rocambeau» (Du Xuyen) le 22 mai l'enseigne de vaisseau Ruyneau de Saint-Georges est gravement blessé.

Opérations au Tonkin

«Colmar» (île de la Cac Ba) le 23 mai ; «Eugène» (Binh Lang) nuit du 27 au 28août; «Rochefort» (île de la Cac Ba) le 29juin; «Libourne I» (Xuan Thuy/Van Ly) le 5août; «Libourne Il» (Luc Phuong Ly) le 7août; «Galère» (Quan Phuong Ha Traï) le 16 mai 1954; «Gondole I et IL» (région de Xuan Dai) les 17 et 18 mai.
Du 15janvier au 2 février 1954, à la disposition du GOML (Seno) avec le Commando 35 interventions sur les villages riverains du Mékong et libération de la ville de Thakhek le 20janvier.

Le Commando 62 est dissous à compter du 1er novembre 1954 (N.D.S. n°3 737/Cdos du 3/11/1954). Ses cadres européens rejoignent la Marine «Apowan» tandis que son personnel autochtone, transféré à l’Infanterie de Marine Vietnamienne, se regroupe à Haïphong en vue de son départ pour le Sud, qui aura lieu le 14novembre. A son arrivée à Nha Trang, il est muté en bloc au Commando 32.

Résumé des activités en Indochine du Commando n° 65 au sein duquel était engagé mon copain
Achille BOESPFLUG

Historique des activités

- Recherche du renseignement, guérilla et contre dans la zone d’action;
- Protection de mouillages et de beaching;
- Escorte de convois fluviaux;
- Participation à des opérations de débarquement sur les côtes du Tonkin et du Nord-Annam;
- Participation à des opérations de nettoyage locales et d’ensemble.

Commando intégré au Groupement des Commandos Supplétifs de la Marine.

Du 23 au 28 février 1953, la section Guichard prend part, aux côtés des Commandos «Sénée» et «Tempête», aux opérations «Dahomey», «Tarn» et «Togo» sur le littoral du Thanh Hoa.

Du 30 mars au 10 avril, le détachement Barret engagé avec la Dinassaut 3 dans l’opération «Hautes-Alpes» (ouest de Phat Diem).

Les 21 et 22 avril, la section Guichard collabore, en liaison avec le Commando 61, à la mise hors de combat du Bataillon 120 à Thuong Cau (affaire de Kien An). Le sergent Guichard y est grièvement blessé.

Dans la nuit du 27 au 28 mai, opération «Eugène» (évacuation du poste de Binh Lang), aux côtés des Commandos «Sénée», «Tempête”, 11 et 13.

Les 13 et 14juin, opération <Grasse II» dans les calcaires de Trang Kmh, avec les Commandos 15 et 22.

Le 18 juin, coup de main sur les villages fortifiés de My Loc et de Loc Tru avec les Commandos 13 et 22 dans le cadre de l’opération «René»).

Le 29 juin, opération «Rochefort» dans l'ile de la Cac Ba, en collaboration avec les Commandos «Sénée» et «Tempête».

Le 12 juillet, raid sur Chinh Ly (rive droite du Song Van Uc) pour destruction de la batellerie. Suite à une erreur de beaching, la section du sergent Delahaye se trompe d’objectif (mais ne peut être prévenue faute de liaison radio) et boucle le village voisin (fortement tenu) dans lequel les Viets la laissent pénétrer pour l’encercler ensuite. Violents combats qui se soldent par neuf disparus (dont le sergent Delahaye gravement blessé et le quartier-maître Loreghans) et cinq blessés dont le matelot Challier, mortellement.

Le 23juillet, opération «Bordeaux» coup de main sur Chinh Ly.

Les 5 et 7août, opérations «Libourne J sur Xuan Thuy et «Libourne Il» sur Luc Phuong Ly (Bui Chu) avec les Commandos «Sénée», <Tempête’ et 63, suivies d’une participation à l’opération «Tarentaise» jusqu’au 12août.

Du 13 au 20août, opération <Delta» nettoyage et embuscades sur les rives du Song Van Uc.

Du 28 août au 6 septembre, opération «Claude» dans le Tien Lang.

En novembre et décembre, il est successivement engagé dans le Lo Son, le Thanh Ha (Tête de Vipère) et le Dong Trieu (du 21 au 24novembre, participation à l’opération «Ventoux» dans la région de Quinh Son/Phu Lang Thuong).

Les 18 et 20 janvier 1954, opérations «Hublot» et «Torpille» coups de main amphibies sur Xuan Vi (Thanh Hoa) et sur Long Chau (Cua Lach Gang).

Du 26 au 30 janvier, dans le Dong Trieu où, le 27, une embuscade lui coûte plusieurs tués dont le maréchal des logis Barret et deux sergents vietnamiens.

Après avoir opéré dans la région de Sept Pagodes du 21 au 28février, il travaille de nouveau dans sa zone d’attri bution, réalisant, jusqu’au 23juillet, de multiples coups de main et d’embuscades sur les rives du Song Van Uc, du Song Kmh Thay et du Song Thaï Binh.

Le 23 août, après regroupement des Commandos à Haïphong et réorganisation interne, il est intégré à La Compagnie B du Groupement de Commandos de débarquement. Il est dissous le 10 octobre, et ses éléments sont versés au 1er Bataillon de Marche, futur 1er Bataillon d’infanterie de Marine Vietnamien dont il formera la 4ème Compagnie avec les éléments de l’ex-Commando 63.

DANIEL pourrais-tu m'éclairer un peu sur le COMMANDO 32 qui ,s'y je ne me trmope pas ss'appelait aussi COMMANDO Sénée.
Ce nom est aussi celui d'un Commando ayant fait le débarquement de Normandie au sein du 1 Bataillon de Fusilier-Marins Commandos et qui a été tué en Indochine au 6ème BCCP. Serait-ce le même Homme ?
Merci

L’exemple du Commando 13
(Les «recettes» du capitaine Delayen)

Le général Delayen peut revendiquer l’honneur d’être l’ «Homme » qui a le plus longtemps servi sous l’emblème des Commandos Nord-Vietnam. En juillet 1951, il s’intègre au Groupement avec son «Commando» puis commande le Commando 13 jusqu’au 15juin 1952. Il se voit ensuite confier la direction des Commandos de Réserve générale qu’il quitte le 30 novembre 1953 pour prendre en main les Commandos de débarquement. Enfin, après la dissolution du Groupement, il forme, avec le reliquat des Commandos, le 1er B dont il assurera le commandement jusqu’au 1er juin 1955.

Recrutement

Sécurité recherchée par le « parrainage » à partir d’un noyau initial d’une dizaine de «purs et durs». Le seul essai d’engager un Viet capturé par le Commando se révéla négatif et fut sanctionné par une médaille «à titre posthume».

La sécurité interne fut renforcée par la récupération de quelques familles en zone viet, par la construction d’un «camp de mariés» jouxtant la base du Commando et faisant partie du périmètre de défense, par le développement du volet social (école pagode, jardin potager, élevage d porcs et de volaille...) de manière à constituer une « grande famille».

Encadrement

Il était composé d’un minimum d’Européens pour ne pas alourdir la tactique «à la Viêt» par des concepts conformistes, et conserver au maximum les qualités naturelles des supplétifs.

Articulation

Le Commando était articulé en :

- un élément de Commandement (25 hommes) comprenant le chef de Commando, son adjoint, les radios, équipe de renseignements (interrogatoire et traduction), un groupe de choc pour exploitation ou missions spéciales. Cet élément était autonome et non accroché aux basques dune section de combat;

- trois sections de combat, de 25 hommes chacune, comportant une cellule de commandement (sept hommes) avec un chef de section, son adjoint, un radio et une équipe FM (le FM étant la seule arme collective en service dans l’unité) ; trois cellules de voltigeurs à six hommes chacune (le chef, un voltigeur avec fusil lance-grenades, quatre voltigeurs avec PM), soit au total une centaine d’hommes sur le terrain.

- un élément de base arrière, constitué d’une vingtaine d’hommes commandé par un sous-officier confirmé. A noter que la garde fut peu à peu confiée aux inaptes opérationnels (blessés, mutilés...).

Missions

Bien que sous les ordres opérationnels du Commandement (Secteur ou Groupement Mobile), le capitaine Delayen évitait, dans la mesure du possible, d’engager son Commando dans les grosses opérations de nettoyage.
Il détestait les manoeuvres de bouclage/ratissage, les deux « mamelles » de l’opération d’envergure et donnait toujours la préférence aux missions conformes à la «Charte d’Emploi» des Commandos recherche du renseignement, n’exploitant lui- même que si le Viêt était à sa mesure, coups de main...

Procédés d’action

Principes : opérer de nuit, utiliser le milieu aquatique, pratiquer la surprise.

Opérer de nuit :

Ce fut le cas huit fois sur dix. Après avoir surmonté la crainte viscérale de l’homme face à la nuit, et effectué un entraînement spécial demandant la plus grande discipline, les supplétifs furent convaincus que, légers comme ils l’étaient, seule l’action nocturne pouvait leur permettre de dominer un adversaire peu habitué à ne pas être le seul à opérer la nuit.

Exemple raid nocturne sur un village suspect (région de Ninh Giang)

Après une marche d’approche en colonne par un, mise en place d’un dispositif statique les trois sections de combat coiffent de l’extérieur les deux ou trois entrées du village. Seul, le groupe de choc est mobile. Il perce la haie dans le voisinage d’une des entrées, surprend de l’intérieur les factionnaires ennemis puis ouvre le chemin à la section en attente à l’extérieur. Celle-ci prend position à proximité immédiate du point de percée et se prépare à épauler le groupe de choc qui va effectuer la fouille du village en «solo» (afin d’éviter les méprises). Le regroupement final se fera soit à la pagode, soit à la «maison commune», les seuls bâtiments en dur dans un village traditionnel.

Opérer en amphibie :

La nature amphibie du terrain sur lequel évoluait le Commando conduisit le capitaine Delayen à se doter dune flottille d’embarcations locales (jonque et sampans) et l’amena à travailler fréquemment en liaison avec la Marine.

Exemple action amphibie dans la « Tête de Vipère » (région de Tien Lang)

Le Commando est pressenti pour participer à une intervention visant au nettoyage de la « Tête de Vipère » (ainsi appelée en raison de sa forme de losange), une île comprise entre deux fleuves (Song Thaï Binh et Lach Van Uc) et deux coupures. et partagée en son milieu par une petite rivière (Song Mia). La mission est acceptée il doit, avant l’heure il, coiffer les trois ponts sur le Song Mia et y intercepter les Viêts réagissant à la mise à terre des troupes «régulières». Départ de la base en flottille, de façon à naviguer au moteur sur la première partie du parcours, puis à l’aviron sur la seconde, Débarquement furtif, progression silencieuse et arrivée aux trois ponts à H - 1, car, déjà à cette heure, l’ennemi est alerté par le bruit des engins de débarquement de la Marine. Les Viêts viennent buter sur les embuscades du Commando. La surprise est totale, le bilan positif.

Tout les textes publiés ci-dessus sont extraits de l'ouvrage "COMMANDOS NORD VIÊTNAM 1951-1954" de Jean-Pierre PISSARDY - INDO ÉDITIONS 1999