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† parriaux christian- SECOND MAITRE 1ère CLASSE
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- Message n°26
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
Dernière édition par Momo le Jeu 27 Mar 2008 - 8:52, édité 1 fois (Raison : Format photo : 640px)
FERRE Yves aime ce message
Papytragin- QM 2
- Age : 88
- Message n°27
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
Je me rappelle qu'en 1954/55 nous dragueurs de Cherbourg, avons participé à un exercice avec les commandos.
Nous avons tous feux éteints en pleine nuit, débarqué ceux-ci devant le port du Havre avec leurs radeaux qu'ils ont investi sans problème et sans ménagement notamment : la Vigie.
Je crois me souvenir que c'était les commandos Bèrets Verts du groupe Kiéffer.
Quelqu'un en a t'il le souvenir sur le Forum ?
Nous avons tous feux éteints en pleine nuit, débarqué ceux-ci devant le port du Havre avec leurs radeaux qu'ils ont investi sans problème et sans ménagement notamment : la Vigie.
Je crois me souvenir que c'était les commandos Bèrets Verts du groupe Kiéffer.
Quelqu'un en a t'il le souvenir sur le Forum ?
† parriaux christian- SECOND MAITRE 1ère CLASSE
- Age : 76
- Message n°28
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
Le Commando de trois sections :
Troupe 1 : enseigne de vaisseau Vourch.
Troupe 8 : off des équipage Lofi.
Section K guns, enseigne de vaisseau Amaury.
Les K étaient des mitrailleuses lourdes tirant 1000 cps à la minute.
La troupe 1 sera la plus éprouvée, elle aura 5 tués, 23 blessés grave.
Le sm de Montlaur prendra le commandement de cette troupe.
114 des 177 atteindront le point de ralliement qui est une ancienne colonie de vacances.
Troupe 1 : enseigne de vaisseau Vourch.
Troupe 8 : off des équipage Lofi.
Section K guns, enseigne de vaisseau Amaury.
Les K étaient des mitrailleuses lourdes tirant 1000 cps à la minute.
La troupe 1 sera la plus éprouvée, elle aura 5 tués, 23 blessés grave.
Le sm de Montlaur prendra le commandement de cette troupe.
114 des 177 atteindront le point de ralliement qui est une ancienne colonie de vacances.
FERRE Yves aime ce message
Marc Taland- SECOND MAITRE 1ère CLASSE
- Age : 80
- Message n°29
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
Bonjour,
A lire dans : Secret Défense du 24/04/2008 - http://secretdefense.blogs.liberation.fr/
24/04/2008 - Le 8 mai Sarkozy va débarquer à Ouistreham. Le président de la République devrait se rendre sur les plages du débarquement à l'occasion des cérémonies du 8 Mai 2008, commémorant la fin de la seconde guerre mondiale. L'information n'est pas confirmée "officiellement" par l'Elysée, mais sur place les préparatifs de la visite avancent. Nicolas Sarkozy ira à Ouistreham (Calvados), où ont débarqué les 177 marins français du commando Kieffer, le 6 juin 1944.
Selon toute vraisemblance, il devrait être annoncé à cette occasion que le futur et sixième commando de la Marine sera baptisé Kieffer, du nom de son pacha de l'époque. La création de ce nouveau commando avait été révélée sur ce blog le 12 fevrier dernier. Ce commando sera plus petit que les cinq autres, avec un effectif de 32 hommes dont la moitié sera recrutée en dehors du vivier des fusiliers marins. Il s'agira d'un commando d'appui et d'aide au commandement. Il sera composé de spécialistes en transmissions, guerre électronique, contre-minage, drones ou cynophilie.
Lors de l'opération Overlord, la ville de Ouistreham, au nord de Caen, était située à l'extrémité Est de la zone du débarquement, sur la plage britannique Sword. Le 1er Batallion des Fusiliers Marins Commandos s'illustra dans les combats du casino Riva Bella, avant de débarquer une nouvelle fois en novembre 1944 sur l'île hollandaise de Walcheren. Le 1er BFMC a été dissous en 1945.
Amicalement.
A lire dans : Secret Défense du 24/04/2008 - http://secretdefense.blogs.liberation.fr/
24/04/2008 - Le 8 mai Sarkozy va débarquer à Ouistreham. Le président de la République devrait se rendre sur les plages du débarquement à l'occasion des cérémonies du 8 Mai 2008, commémorant la fin de la seconde guerre mondiale. L'information n'est pas confirmée "officiellement" par l'Elysée, mais sur place les préparatifs de la visite avancent. Nicolas Sarkozy ira à Ouistreham (Calvados), où ont débarqué les 177 marins français du commando Kieffer, le 6 juin 1944.
Selon toute vraisemblance, il devrait être annoncé à cette occasion que le futur et sixième commando de la Marine sera baptisé Kieffer, du nom de son pacha de l'époque. La création de ce nouveau commando avait été révélée sur ce blog le 12 fevrier dernier. Ce commando sera plus petit que les cinq autres, avec un effectif de 32 hommes dont la moitié sera recrutée en dehors du vivier des fusiliers marins. Il s'agira d'un commando d'appui et d'aide au commandement. Il sera composé de spécialistes en transmissions, guerre électronique, contre-minage, drones ou cynophilie.
Lors de l'opération Overlord, la ville de Ouistreham, au nord de Caen, était située à l'extrémité Est de la zone du débarquement, sur la plage britannique Sword. Le 1er Batallion des Fusiliers Marins Commandos s'illustra dans les combats du casino Riva Bella, avant de débarquer une nouvelle fois en novembre 1944 sur l'île hollandaise de Walcheren. Le 1er BFMC a été dissous en 1945.
Amicalement.
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MARCOT Daniel- MAÎTRE PRINCIPAL
- Age : 80
- Message n°30
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
QUESTION ?
A ma connaissance il y a toujours eu du personnel non breveté fusilier affectés chez les commandos et nous en avons quelques uns sur ce forum, mais avant d'être "opérationnel" ils ont bénéficié d'une formation spécifique leur permettant d'être au niveau des fuscos d'origines.
En sera t-il de même ? car sinon je ne vois pas comment ils pourraient s'intégrer sans être "physiquement" à la traîne lors des missions qu'ils auraient à exécuter.
A ma connaissance il y a toujours eu du personnel non breveté fusilier affectés chez les commandos et nous en avons quelques uns sur ce forum, mais avant d'être "opérationnel" ils ont bénéficié d'une formation spécifique leur permettant d'être au niveau des fuscos d'origines.
En sera t-il de même ? car sinon je ne vois pas comment ils pourraient s'intégrer sans être "physiquement" à la traîne lors des missions qu'ils auraient à exécuter.
FERRE Yves aime ce message
Laurent- MATELOT
- Age : 77
- Message n°31
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
word ne donne pas le synonyme de "cynophilie" et je n'ai pas de dico.
Qui veut bien donner sa signification ?
Qui veut bien donner sa signification ?
Pierrot- MAÎTRE PRINCIPAL
- Age : 66
- Message n°32
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
laurent
tape "définition cynophilie avec ton moteur de recherche et t'auras des réponses
tape "définition cynophilie avec ton moteur de recherche et t'auras des réponses
Laurent- MATELOT
- Age : 77
- Message n°33
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
merci messieurs.
LEMONNIER- SECOND MAITRE 1ère CLASSE
- Age : 67
- Message n°34
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
Charly- OFFICIER EN SECOND
- Age : 70
- Message n°35
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
J'ai eu la chance, le plaisir et l'honneur d'avoir dans la Famille de mon épouse un Homme qui a fait parti de ce Formidable Commando Kieffer.
Le raid de Gravelines en 1943 relaté dans 2 livres, il me l'a conté lui même, en l'écoutant je me rendais compte qu'il vivait ces moments comme si c'était hier. Son nom est Joseph Léon Madec, de la région de Concarneau. Respect à ces Héros, dont la plupart très discrets, sont retournés dans l'ombre et l'oubli.
Le raid de Gravelines en 1943 relaté dans 2 livres, il me l'a conté lui même, en l'écoutant je me rendais compte qu'il vivait ces moments comme si c'était hier. Son nom est Joseph Léon Madec, de la région de Concarneau. Respect à ces Héros, dont la plupart très discrets, sont retournés dans l'ombre et l'oubli.
Concernant l'exploit de Madec, ci-dessous des extraits des livres
"Béret vert" de Philippe Kieffer et de "Commando de la France libre" de Gwenn-Aël Bolloré.
"Béret vert" de Philippe Kieffer et de "Commando de la France libre" de Gwenn-Aël Bolloré.
- Spoiler:
jean-claude BAUD- MAÎTRE PRINCIPAL
- Age : 83
- Message n°36
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
Paix à son Âme , condoléances à sa Famille et à ses Proches.
"Puisqu'on ne peut changer la direction du vent, il faut apprendre à orienter les voiles".
[James Dean]
Jean-Jacques- QM 2
- Age : 77
- Message n°37
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
Respect pour cet ancien et hommage à sa mémoire, nous lui devons reconnaissance, condoléances à sa famille qui peut être fière de lui.
ROCHEZ jean-pierre- MAÎTRE
- Age : 66
- Message n°38
Re: Commando KIEFFER
Sincères condoléances à sa famille.
Respect pour cet ancien et hommage à sa mémoire.
Jean-Pierre
Respect pour cet ancien et hommage à sa mémoire.
Jean-Pierre
Charly- OFFICIER EN SECOND
- Age : 70
- Message n°39
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
Comme je l'indiquais dans le message n°35 du Ven 6 Juin, j'ai eu la chance, le plaisir et l'honneur d'avoir dans la Famille de mon épouse Joseph Léon Madec qui a fait parti de ce Formidable Commando Kieffer.
Suite du raid de Gravelines auquel il participa avec 5 autres camarades en 1943, relaté dans les 2 livres (message n°35).
Ils étaient des Héros, on ne les a pas reconnu à leur juste valeur, et pas assez parlé d'eux lorsqu'ils étaient encore tous parmi nous, c'est bien regrettable.
Suite du raid de Gravelines auquel il participa avec 5 autres camarades en 1943, relaté dans les 2 livres (message n°35).
Ils étaient des Héros, on ne les a pas reconnu à leur juste valeur, et pas assez parlé d'eux lorsqu'ils étaient encore tous parmi nous, c'est bien regrettable.
- Spoiler:
webtcdorage- QM 2
- Age : 56
- Message n°40
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
Merci pour ces articles fort instructifs.
Cordialement.
JC
Cordialement.
JC
Dernière édition par webtcdorage le Dim 19 Mar 2017 - 17:57, édité 1 fois
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† parriaux christian- SECOND MAITRE 1ère CLASSE
- Age : 76
- Message n°41
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges jeter l'ancre un seul jour ?
COPY- MAÎTRE PRINCIPAL
- Age : 80
- Message n°42
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
BONNERUE Daniel- SECOND MAITRE 1ère CLASSE
- Age : 87
- Message n°43
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
Encore une évocation par René BAIL du raid de Graveline auquel a participé Joseph MADEC :
24 - 25 décembre 1943, Graveline (Nord) :
L'équipe de l'officier des équipages Wallerand est en train d'opérer à travers les lignes allemandes.
Elle se compose du second-maître Caron, de Meunier, Pourcelot, Navrault et Madec.
Ils ne sont qu'à trente kilomètres de Dunkerque où, il y a trois ans, l'aventure commençait.
La mission est remplie et l'équipe, qui se trouve à l'intérieur des terres, revient sur la plage pour repartir en doris.
Plus loin, au large, la vedette attend en silence.
Mauvaise surprise !
Le doris est rempli d'eau.
Aucun moyen, ni le temps d'ailleurs, d'écoper.
Les hommes tentent de pousser l'embarcation, mais au bout de quelques mètres, elle coule. “Il faut pourtant ramener le renseignement à tout prix, dit Wallerand, faites signe à la vedette de se rapprocher”.
La vedette amorce la manœuvre, mais ne peut se rapprocher à plus de cinq cents mètres.
C'est déjà risqué dans ces parages où les bancs de sable foisonnent.
Mais il ne faut pas en rester là, Wallerand décide brusquement de se mettre à l'eau et de nager jusqu'à la vedette.
A cette époque de l'année, l'eau est glaciale.
Il fonce quand même, suivi du regard par ses compagnons d'infortune.
Ils distinguent à peine ce point mobile qui s'éloigne.
Il n'est plus loin de la vedette lorsque, brusquement, il coule à pic.
Nul ne peut réussir où Wallerand, pourtant doué d'une force physique et d'une volonté peu communes, vient d'échouer.
La vedette ne peut plus attendre et, devant les gars épuisés, s'éloigne vers l'Angleterre.
Caron prend aussitôt le commandement de l'équipe, mais ils sont contraints de se séparer.
Caron originaire du Nord, retrouve vite sa famille, s'y cache puis entre dans la Résistance.
Meunier, capturé par les Allemands, torturé, sera condamné à mort.
La libération de Paris lui sauvera la vie… une jeep des commandos réussit à le récupérer.
Il reprend place aussitôt dans les rangs.
Madec, parti seul pour la Bretagne, s'est débarrassé de sa grosse veste et de son béret vert.
En outre, il a décousu les poches plaquées de son battle-dress.
C'est ainsi qu'il débarque à Paris, gare du Nord.
Empruntant le métro, il traverse la capitale sans que personne ne s'inquiète de sa condition.
Il sera sans doute le seul à avoir traversé Paris occupé sous l'uniforme anglais, sans être remarqué.
Il parvient à rejoindre le maquis breton où, pendant sept mois, il va diriger l'instruction avec le grade d'adjudant.
Les parachutages procurent la plupart du temps des armes anglaises.
Madec les connaît à la perfection et, lorsque arrivera la libération, ses hommes seront prêts aux combats.
Quant à Navrault et Pourcelot, restés ensemble, ils sont descendus vers Hazebrouck en quête d'un refuge.
Arrivés dans une ferme, ils demandent aux fermiers de se reposer chez eux, même dans une grange…
Ceux-ci leur refusent l'hospitalité !
Les commandos trouveront plus loin une hutte à moitié démolie et s'y écrouleront, à bout de force.
Le lendemain, ayant réussi à se procurer des vêtements civils, ils vont se séparer.
Pourcelot se dirige vers l'est et rejoint un maquis dans les Vosges.
Néanmoins, il n'y parviendra qu'après des aventures tumultueuses.
Récupéré par une filière d'évasion d'aviateurs alliés, Pourcelot sera arrêté lors d'un contrôle de police à la Porte d'Italie (Paris XIIIème).
Envoyé à la prison de la Santé, puis à celle de Fresnes, il ne va heureusement pas être identifié comme commando, mais en tant que passeur ou convoyeur…
Deux Anglais, des radios, qui l'accompagnaient, seront fusillés.
Quelques temps plus tard, Pourcelot réussira à s'évader.
Navrault réussira à rallier le maquis de Raphanel, dans le Puy-de-Dôme, au sein duquel il servira avec le grade de capitaine.
Tous reviendront aux Commandos après la libération de Paris, afin de participer aux dernières opérations de guerre.
24 - 25 décembre 1943, Graveline (Nord) :
L'équipe de l'officier des équipages Wallerand est en train d'opérer à travers les lignes allemandes.
Elle se compose du second-maître Caron, de Meunier, Pourcelot, Navrault et Madec.
Ils ne sont qu'à trente kilomètres de Dunkerque où, il y a trois ans, l'aventure commençait.
La mission est remplie et l'équipe, qui se trouve à l'intérieur des terres, revient sur la plage pour repartir en doris.
Plus loin, au large, la vedette attend en silence.
Mauvaise surprise !
Le doris est rempli d'eau.
Aucun moyen, ni le temps d'ailleurs, d'écoper.
Les hommes tentent de pousser l'embarcation, mais au bout de quelques mètres, elle coule. “Il faut pourtant ramener le renseignement à tout prix, dit Wallerand, faites signe à la vedette de se rapprocher”.
La vedette amorce la manœuvre, mais ne peut se rapprocher à plus de cinq cents mètres.
C'est déjà risqué dans ces parages où les bancs de sable foisonnent.
Mais il ne faut pas en rester là, Wallerand décide brusquement de se mettre à l'eau et de nager jusqu'à la vedette.
A cette époque de l'année, l'eau est glaciale.
Il fonce quand même, suivi du regard par ses compagnons d'infortune.
Ils distinguent à peine ce point mobile qui s'éloigne.
Il n'est plus loin de la vedette lorsque, brusquement, il coule à pic.
Nul ne peut réussir où Wallerand, pourtant doué d'une force physique et d'une volonté peu communes, vient d'échouer.
La vedette ne peut plus attendre et, devant les gars épuisés, s'éloigne vers l'Angleterre.
Caron prend aussitôt le commandement de l'équipe, mais ils sont contraints de se séparer.
Caron originaire du Nord, retrouve vite sa famille, s'y cache puis entre dans la Résistance.
Meunier, capturé par les Allemands, torturé, sera condamné à mort.
La libération de Paris lui sauvera la vie… une jeep des commandos réussit à le récupérer.
Il reprend place aussitôt dans les rangs.
Madec, parti seul pour la Bretagne, s'est débarrassé de sa grosse veste et de son béret vert.
En outre, il a décousu les poches plaquées de son battle-dress.
C'est ainsi qu'il débarque à Paris, gare du Nord.
Empruntant le métro, il traverse la capitale sans que personne ne s'inquiète de sa condition.
Il sera sans doute le seul à avoir traversé Paris occupé sous l'uniforme anglais, sans être remarqué.
Il parvient à rejoindre le maquis breton où, pendant sept mois, il va diriger l'instruction avec le grade d'adjudant.
Les parachutages procurent la plupart du temps des armes anglaises.
Madec les connaît à la perfection et, lorsque arrivera la libération, ses hommes seront prêts aux combats.
Quant à Navrault et Pourcelot, restés ensemble, ils sont descendus vers Hazebrouck en quête d'un refuge.
Arrivés dans une ferme, ils demandent aux fermiers de se reposer chez eux, même dans une grange…
Ceux-ci leur refusent l'hospitalité !
Les commandos trouveront plus loin une hutte à moitié démolie et s'y écrouleront, à bout de force.
Le lendemain, ayant réussi à se procurer des vêtements civils, ils vont se séparer.
Pourcelot se dirige vers l'est et rejoint un maquis dans les Vosges.
Néanmoins, il n'y parviendra qu'après des aventures tumultueuses.
Récupéré par une filière d'évasion d'aviateurs alliés, Pourcelot sera arrêté lors d'un contrôle de police à la Porte d'Italie (Paris XIIIème).
Envoyé à la prison de la Santé, puis à celle de Fresnes, il ne va heureusement pas être identifié comme commando, mais en tant que passeur ou convoyeur…
Deux Anglais, des radios, qui l'accompagnaient, seront fusillés.
Quelques temps plus tard, Pourcelot réussira à s'évader.
Navrault réussira à rallier le maquis de Raphanel, dans le Puy-de-Dôme, au sein duquel il servira avec le grade de capitaine.
Tous reviendront aux Commandos après la libération de Paris, afin de participer aux dernières opérations de guerre.
sousmama et FERRE Yves aiment ce message
† parriaux christian- SECOND MAITRE 1ère CLASSE
- Age : 76
- Message n°44
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
Et le 25/26 décembre 1943 à Biville Seine-Maritime, raid de sondage.
- En 1944, création de l'insigne des Commandos Français, le badge porté sur le béret vert dessiné par Maurice Chauvet du Commando n° 4.
- En 1944, création de l'insigne des Commandos Français, le badge porté sur le béret vert dessiné par Maurice Chauvet du Commando n° 4.
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges jeter l'ancre un seul jour ?
FERRE Yves aime ce message
Charly- OFFICIER EN SECOND
- Age : 70
- Message n°45
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
Merci Daniel, très beau récit de René Bail.
C'est ce que Madec m'a relaté.
Madec me disait qu'il y avait tellement de corps différents au sein de l'armée Allemande, sa tenue n'a pas étonné plus que ça, il a sûrement été pris pour un de plus.
C'est tout de même une formidable et exceptionnelle aventure.
C'est ce que Madec m'a relaté.
Madec me disait qu'il y avait tellement de corps différents au sein de l'armée Allemande, sa tenue n'a pas étonné plus que ça, il a sûrement été pris pour un de plus.
C'est tout de même une formidable et exceptionnelle aventure.
webtcdorage- QM 2
- Age : 56
- Message n°46
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
Léon Gautier et le commando Kieffer : http://blog.francetv.fr/herveconstantin/index.php/2008/10/03/79612-leon-gautier-et-le-commando-kieffer
EV1 (R) Spé communication / Webmaster / Site web "Parcours d'officiers dans la Royale" / + de 13 000 biographies disponibles
J-L-14- QM 1
- Age : 79
- Message n°47
Commandos
J'habite sur les plages de Normandie Luc/Mer à 9km de Ouistreham où a débarqué le Commando Kieffer.
J'ai la chance d'avoir rencontrer et bu le verre avec eux; Marc Thube, Gwennael Bollore, très souvent Michel Vincent.
Mon frère tenait jusqu'en 1999 l'hôtel restaurant à La Brèche d'Hermanville, place Courbet quant ils étaient là mon frère me passait un coup de fil, c'était des gars formidables plein de modestie, tous les trois décédés, j'ai souvent une pensée pour eux, (on n'oublie pas des types pareils).
Quant à Léon Gauthier, je le rencontre souvent, il habite comme moi sur La Côte de Nacre, c'est le président des rescapés de ce glorieux Commando.
Je suis fier de les avoir connus, et garde leur signatures comme des reliques.
Bonne soirée à tous.
J-L-D
J'ai la chance d'avoir rencontrer et bu le verre avec eux; Marc Thube, Gwennael Bollore, très souvent Michel Vincent.
Mon frère tenait jusqu'en 1999 l'hôtel restaurant à La Brèche d'Hermanville, place Courbet quant ils étaient là mon frère me passait un coup de fil, c'était des gars formidables plein de modestie, tous les trois décédés, j'ai souvent une pensée pour eux, (on n'oublie pas des types pareils).
Quant à Léon Gauthier, je le rencontre souvent, il habite comme moi sur La Côte de Nacre, c'est le président des rescapés de ce glorieux Commando.
Je suis fier de les avoir connus, et garde leur signatures comme des reliques.
Bonne soirée à tous.
J-L-D
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BONNERUE Daniel- SECOND MAITRE 1ère CLASSE
- Age : 87
- Message n°48
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
Partant toujours de l'ouvrage de René BAIL "Commandos-Marine au combat", voici comment furent formés les "Commandos" britanniques, puis, grâce à la pugnacité de Philippe KIEFFER, les commandos français qui débarquèrent sur la côte normande près de Ouistreham le 6 juin 1944 :
- Spoiler:
- "Avec le Shikari, dernier navire à quitter Dunkerque, s'achevait “Dynamo”, opération dont le thème avait été l'évacuation maximum d'hommes dans le minimum de temps. Elle avait démarré le 24 mai 1940 à l'aide d'environ un millier de bateaux de catégories diverses. Bâtiments de guerre d'abord, mais aussi des ferry-boats, des péniches automotrices, des caboteurs, des chalutiers armés, des yachts et combien d'autres encore, venus là pour participer. Si 243 d'entre eux furent coulés, l'opération “Dynamo” permit néanmoins de rapatrier 215.585 Britanniques et 123.097 Français.
Ainsi grâce au sacrifice du groupe d'armées françaises du nord et à la témérité des courageux équipages de cette flotte extraordinaire, l'Angleterre avait réussi à évacuer la plus grosse partie de son corps expéditionnaire. Malgré les pertes considérables de matériel, “Dynamo” pouvait être considérée comme un “Miracle de la délivrance”, selon l'expression de Winston Churchill qui déclarait le jour même de la fin de l'opération dans un discours fracassant à la Chambre des Communes, que l'Angleterre tout en étant consciente de la faiblesse de ses moyens, était décidée à se battre farouchement partout où il le faudrait et Churchill songeait particulièrement à l'invasion allemande qui se préparait.
Dès le 18 juin 1940, Churchill réunit ses conseillers pour une séance extraordinaire. Décision est prise de passer à une stratégie offensive en constituant une force d'assaut d'au moins 20.000 hommes.
Ceux-ci, recrutés dans des unités existantes, devaient être prêts “à sauter à la gorge de petits contingents d'invasion ennemis…”
Toutefois, l'idée originale revenait au lieutenant-colonel Dudley Clarke, assistant du Chef d'Etat-Major Impérial, qui s'était plongé dans divers ouvrages d'histoire et de stratégie. En outre, grâce aux connaissances particulières retirées d'une affectation en Palestine en 1936, Clarke était à même d'établir une synthèse qui devait se révéler efficace dans les circonstances présentes.
La conclusion démontrait, en bref, que des unités légères, très mobiles et dotées d'une grande puissance de destruction, pouvaient se livrer à des opérations éclair contre l'ennemi, même derrière ses lignes, obtenant des résultats sans commune mesure avec les faibles effectifs engagés.
Sûr de son fait, Clarke se rend auprès du général Sir John Dill qui, à la faveur des explications, adopte l'idée et en fait immédiatement part au Premier Ministre.
Ce dernier, tout en étant favorable au projet, puisqu'il ordonnera quelques jours plus tard la formation de ces unités, tint toutefois à préciser qu'elles ne pourraient pas recevoir tout l'armement désiré. Celui-ci étant indispensable aux troupes désignées pour la défense du territoire. Cette carence devrait être atténuée par la qualité de ces nouveaux soldats qui, tout en étant volontaires, seront de plus triés sur le volet.
A partir de ce moment là, toutes les méthodes d'instruction, qui dataient de la première guerre mondiale, furent balayées. Tout, ou presque, était à réinventer.
Les nouvelles unités reçurent, sur l'insistance particulière de Dudley Clarke, le nom de “Commandos”. Ce mot, généralement inconnu dans l'armée britannique, ne l'était pas de ceux qui avaient combattu au Transvaal (1899-1902) où des unités de type Boers, d'origine néerlandaise, s'appelaient ainsi. Après la chute de Prétoria, les actions de ces commandos allaient sensiblement augmenter et compliquer la tâche des Britanniques. C'est d'ailleurs au cours de l'une d'elles que Churchill sera fait prisonnier.
Les nouvelles unités furent constituées de façon peu commune, si l'on envisage les principes très stricts en vigueur à l'époque dans l'armée anglaise. Les officiers furent désignés parmi les plus jeunes et ceux-ci purent, à leur tour, choisir les hommes qui leur convenaient.
La base de sélection exigeait qu'ils soient volontaires pour des missions spéciales, d'une nature indéfinie mais de toutes manières périlleuses. Bien entraînés, ils devaient être évidemment aptes physiquement, savoir nager et ne pas être sujets au mal de mer. Sans énumérer le large éventail des conditions exigées, les volontaires devaient, en outre, s'habituer aux longues veilles, apprendre à utiliser le terrain de jour comme de nuit et savoir subvenir à leurs propres besoins pendant de longues périodes.
Les premiers Commanding officers désignés seront les lieutenants-colonels Bob Laycock, du Royal Horse Guards, John Durnford-Slater, du Royal Artillery et Ronnie Tod, des Argyll and Sutherland Highlanders. Ils passeront aussitôt dans les unités pour choisir leurs officiers qui eux, à leur tour, devront sélectionner leurs hommes en quatre jours…"
Dernière édition par BONNERUE Daniel le Ven 31 Oct 2008 - 20:14, édité 1 fois
BONNERUE Daniel- SECOND MAITRE 1ère CLASSE
- Age : 87
- Message n°49
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
Suite du récit...
- Spoiler:
- " Les camps de regroupement virent arriver des Territoriaux, des gens de la Brigade des Gardes, des anciens de Dunkerque, des Indes ou de la Palestine. Quelquefois le choix se portera sur des champions de boxe ou des sportifs d'autres disciplines.
Les origines diverses de corps d'armées, de régions et tout ce qui pouvait créer des rivalités au sein des unités classiques devaient s'effacer dès l'admission au commando.
L'instruction se fit d'abord à Plymouth et, avec des hommes qui comptaient, pour la plupart, plusieurs années de service, cette nouvelle discipline ne sembla guère poser de problèmes. Pour les officier, malgré une certaine réticence des officiers de carrière à se porter volontaires, le 3-Commando de Durnford-Slater ne compta pas moins de 10 officiers d'active.
Les soldats des commandos bénéficiaient de certains avantages, comme le “Billet”, c'est-à-dire le logement chez l'habitant. Ce privilège était automatiquement supprimé lorsque le commando était RTU (Return to Unit : renvoyé à son unité d'origine). Ceci arrivait en général, à la suite d'inaptitude ou par mesure disciplinaire et représentait la pire des craintes pour un commando.
Quinze jours après la constitution des premières unités, le Premier Ministre exige que Dudley Clarke organise immédiatement un raid de l'autre côté de la Manche. Cela semblait pourtant prématuré sur le plan de l'entraînement et de l'équipement en matériel. Les qualificatifs manquent pour décrire la véritable situation. Pour le transport par mer, l'Etat-major arrêta son choix sur des vedettes “Air Rescue” de la Royal Air Force (RAF). Ces petites unités n'étaient pas blindées, hautes sur l'eau mais rapides et “étalaient” bien à la mer.
Churchill voulait absolument démontrer qu'il existait toujours une armée britannique avec laquelle il allait falloir compter. De ce raid on parla peu. Il fut lancé dans la nuit du 23 au 24 juin 1940, au moyen de quatre vedettes transportant 120 hommes de la 11ème Cie indépendante, commandée par le major Ronnie Tod. Les bâtiments partis de Douvres, Folkestone et Newhaven prirent la direction de Boulogne et Merlimont. Un incident, qui prouve que le secret était bien gardé, se produisit au milieu du Channel, lorsqu'une patrouille de Spitfire apercevant ces vedettes et les prenant pour des unités de la marine allemandes, faillit les mitrailler. Le raid ne fut en fait qu'une simple escarmouche dans les dunes. Toutefois, Clarke, qui avait accompagné le détachement comme observateur, eut un morceau d'oreille arraché par une balle.
Un second raid eut lieu les 14 et 15 juillet contre la garnison allemande de Guernesey. Y participèrent la troop “H” du 3-Commando et la 11ème Cie indépendante qui furent transportées par les deux vieux destroyers Saladin et Scimitar, plus sept vedettes. Ce fut un échec. La troop “H” débarqua bien au point prévu mais n'eut aucun contact. Elle laissa quatre hommes sur le terrain, qui n'avaient pas réussi à rallier les embarcations. Les Allemands les feront prisonniers quelques jours plus tard. Quant à la 11ème Cie indépendante, deux vedettes restèrent en panne en pleine mer, une troisième en approche, heurta des récifs et la quatrième, suite à une erreur de navigation, se retrouva tout simplement… sur l'île de Sark.
Le mois de juillet vit l'Amiral de la Flotte, Sir Roger Keyes prendre la direction de l'Etat-Major des Opérations Combinées. Déterminé, il voulait engager tout de suite les 4.000 volontaires déjà sous ses ordres dans des raids plus efficaces et de plus grande envergure que les précédents.
Mais il fallait encore compter avec la logistique ; tous ces services rayonnant d'importance au ministère de la Guerre se sentaient frustrés de ne pas bénéficier des mêmes avantages accordés aux “nouveaux”. Cela se traduisait par une certaine réticence à honorer les desiderata de l'amiral. Heureusement, la Royal Navy faisait son possible avec des moyens limités en fournissant des instructeurs de manœuvre et de navigation et en embarquant des commandos pour les amariner.
L'amiral, déçu de l'attitude de certains responsables, décida de mettre ses hommes en stand by un certain temps, pensant que l'idée de cette réserve appréciable de troupes laissée à l'écart finirait par agacer les autorités compétentes, qui accepteraient finalement de les envoyer en opération ou de lancer des raids. Personne ne broncha et l'amiral, dans l'attente de jours meilleurs, se pencha sur des projets de raids. D'abord sur les Açores vite abandonnés en faveur d'une autre, l'île italienne de Pantelleria proche de Malte.
Le répit permit aux commandos de rallier la base des Opérations Combinées à Inverary (Ecosse occidentale) pour suivre l'entraînement sur les premières chaloupes de débarquement récemment livrées. L'entraînement se mua vite en compétition. Les troops rivalisaient au timing pour vider rapidement l'engin et prendre position à une vingtaine de mètres. Le tir, les marches rapides (quick march) avec sac et armement, chronométrées, la lutte, l'entraînement sans relâche, se succédaient depuis le petit jour jusqu'au crépuscule, ce qui n'excluait nullement une sortie de nuit. Un tel rythme dans les exercices eut pour effet un certain nombre de RTU. Les partants étaient immédiatement remplacés par d'autres volontaires. Avec l'expérience acquise par certains des nouveaux arrivants, d'autres disciplines d'entraînement débutaient ; tels ces alpinistes qui devinrent moniteurs d'escalade. Les nouvelles spécialités devaient se révéler très utiles lors de raids ultérieurs.
Pendant ce temps, l'amiral vit son raid sur Pantelleria remis, puis supprimé. Les gens des ministères avaient la tête dure et les éternels “piliers d'état-major” se demandaient ce que des commandos pourraient bien faire de mieux que leurs propres troupes.
Peu à peu, les commandos, déçus par l'inaction, semblaient perdre le moral et l'entraînement, malgré la meilleure volonté, devenait lassant. Les hommes laissaient percer leur désarroi. Certains retournèrent d'eux mêmes dans leurs unités d'origine, d'autres allèrent jusqu'à commettre des actes d'indiscipline. Il était temps de reprendre rapidement la situation en main, sinon l'avenir des commandos était en jeu.
C'est à ce moment crucial qu'intervint le général Haydon, qui devait commander plus tard le Special Service Battalion. Homme sévère mais juste, Haydon était aussi un très bon instructeur et, avec l'aide de ses officiers, il mit au point un nouveau programme d'entraînement, efficace tant sur le plan technique, que par l'emploi maximum des hommes et du matériel.
Trois faits aideront à relancer les commandos :
• D'abord le départ, en février 1941, de la “Lay-Force” pour le Moyen-Orient. Commandée par le lieutenant-colonel Laycock, elle comprend les 7, 8 et 11-Commandos.
• Ensuite, la réorganisation de chaque commando qui désormais ne compte plus qu'un groupe état-major, 6 troops de 3 officiers et 62 hommes auxquels va s'ajouter une section d'armes lourdes composée d'une quarantaine d'hommes. Le nombre des officiers passe ainsi de 30 à 18, ce qui va permettre une sélection rigoureuse. Evidemment, puisque ces unités se révèlent plus légères que les compagnies classiques d'infanterie, il en résultera un meilleur emploi tactique.
• Enfin… pour mettre à l'épreuve les bénéfices escomptés de toute cette reconversion, est programmé ce que plus personne n'osait espérer… un raid ! Et quel raid !…
Il eut pour théâtre les îles Lofoten, situées au large des côtes nord-ouest de la Norvège. La force militaire, commandée par le général Haydon, comprenait 2 commandos de 250 hommes auxquels s'ajoutaient des détachements de génie composés de 52 hommes, prévus pour le sabotage et, naturellement, des guides et des interprètes norvégiens.
Partis de Gourock, le 21 février 1941, sur les navires Queen Emma et Princess Beatrix, des anciennes malles de la Manche, ils vont arriver à destination le 4 mars, sous la protection d'une force navale comprenant les bâtiments de ligne H.M.S. Nelson, H.M.S. King Georges V, les croiseurs Dido et Nigeria, plus cinq destroyers et un sous-marin, H.M.S. Sunfish .
Seul un chalutier armé allemand, le Krebs, tente de s'opposer au débarquement. Il sera rapidement mis hors de combat par le destroyer Somali et son équipage fait prisonnier.
Les sabotages sont couronnés de succès. La quantité globale d'hydrocarbures brûlés s'élèvera à 3.600.000 litres (pétrole et essence), 18 fabriques seront détruites, 11 bateaux coulés et un chalutier, à bord duquel ont été embarqués 216 prisonniers, 60 “collabos” et 314 volontaires norvégiens pour les Forces Norvégiennes Libres, sera ramené en Angleterre.
La presse britannique donnera toute la publicité possible à l'opération. La propagande va se montrer une arme efficace au cours de cette guerre. De telles actions auront l'avantage de faire courir nombre de légendes sur les commandos, tant du côté allié que chez l'ennemi. "
Dernière édition par BONNERUE Daniel le Ven 31 Oct 2008 - 20:14, édité 1 fois
BONNERUE Daniel- SECOND MAITRE 1ère CLASSE
- Age : 87
- Message n°50
Re: [ Divers commando] 1er Bataillon de Fusiliers Marins Commandos (Lieutenant de Vaisseau Philippe Kieffer)
Suite du récit...
" Et pourquoi pas des Français ?
L'effet du raid des Lofoten et l'enthousiasme des Anglais frappèrent ceux qui, repliés en Angleterre, venaient des pays occupés par les Allemands. Particulièrement les Norvégiens, directement concernés par ce raid, mais aussi les Belges, les Hollandais, les Luxembourgeois et les Français, qui attendaient “l'événement” leur permettant de retourner dans leur pays, ne serait-ce que quelques instants.
" Et pourquoi pas des Français ?
L'effet du raid des Lofoten et l'enthousiasme des Anglais frappèrent ceux qui, repliés en Angleterre, venaient des pays occupés par les Allemands. Particulièrement les Norvégiens, directement concernés par ce raid, mais aussi les Belges, les Hollandais, les Luxembourgeois et les Français, qui attendaient “l'événement” leur permettant de retourner dans leur pays, ne serait-ce que quelques instants.
- Spoiler:
- Depuis le rembarquement de Dunkerque, qui datait déjà de neuf mois, il y avait eu l'armistice qui avait entraîné l'occupation de plus de la moitié de la France, ensuite l'appel à la résistance adressé depuis Londres par le général de Gaulle, à tous les Français désireux d'effacer le désastre de 1940.
L'Angleterre vit alors arriver des pêcheurs bretons, des jeunes gens et des moins jeunes provenant de tous les coins de France, des marins marchands, des Français de l'étranger ou des Etats d'Outre-Mer.
Pourtant le ralliement à la France Libre rencontra maintes difficultés d'autant plus après les différents incidents provoqués par l'opération “Catapult”(1). A la suite d'accords passés entre l'Amirauté française, l'Angleterre et la Commission d'Armistice allemande, les marins internés par les Anglais et refusant de s'engager dans les Force Navales Françaises Libres (F.N.F.L.) pouvaient être rapatriés en France. Un premier départ fut prévu le 22 juillet sur le paquebot Meknès, de la Cie Paquet, pour le transport de 1.100 marins dont des blessés et des malades. Il était convenu, afin d'éviter un incident, que les Anglais avertiraient l'Amirauté française qui, à son tour, en ferait part aux Allemands. Le Meknès appareilla donc comme prévu… Un Schnell-Boot de la Kriegsmarine le torpilla. Bilan : 400 morts ou disparus, 200 blessés, 500 rescapés. Les Anglais avaient tout simplement omis de prévenir l'Amirauté française qui, de ce fait, n'avait pu signaler l'appareillage du bâtiment aux Allemands. Malgré la propagande et les efforts des Forces Françaises Libres, il n'y eut que peu de volontaires parmi les rescapés !
Néanmoins, les F.F.L. s'organisaient au fur et à mesure des possibilités tout en dépendant largement des Anglais. L'armée de Terre, la Marine et l'armée de l'Air participaient à nouveau au combat.
Un officier des F.N.F.L., le lieutenant Kieffer, officier Interprète et du Chiffre sur le vieux cuirassé Courbet à Portsmouth, était à Londres pour une courte permission, lors du retour du raid sur les îles Lofoten. Comme chacun, il avait été frappé par la nouvelle technique de combat et par les résultats obtenus.
Kieffer se mit à penser à la possibilité de raids effectués par des Français et, pourquoi pas ce qui avait été possible pour la Norvège pouvait l'être également pour la France nettement plus proche. Il demanda audience à l'amiral Muselier, pour lui présenter un projet de formation de commandos français. L'amiral ne se montra guère optimiste, compte tenu du manque d'effectifs et surtout faute de matériel.
Quant à envisager la formation dans les camps d'entraînement britanniques, l'obstacle vint d'abord de ces derniers peu enclins à ouvrir leurs portes à des étrangers, fussent-ils des alliés, puis de l'état-major français qui, soucieux de former en premier lieu des unités purement françaises, n'acceptait pas de laisser des Français sous commandement britannique.
Kieffer l'obstiné devait finalement emporter la décision. L'amiral Muselier l'autorisa à contacter les autorités britanniques.
Le premier pas était franchi et le résultat encourageant. Maintenant il fallait attendre la convocation de l'Etat-Major des Opérations Combinées.
Les jours passaient, mettant Kieffer dans un intense état de nervosité.
Fin mars, convoqué enfin à Whitehall, siège de l'état-major, il se retrouva à “plancher” devant un groupe d'officiers dont le général Haydon. Il s'évertua à présenter au mieux son projet. Maîtrisant bien la langue anglaise, il émit des suggestions tandis que l'auditoire, ne laissant rien transparaître de son opinion, restait flegmatique jusqu'à la fin de l'exposé. Kieffer quitta la réunion un peu déçu ; il aurait tant voulu connaître la décision ! Cependant, rien n'était perdu car, au moins, il n'avait pas essuyé de refus.
Il apprendra plus tard, qu'un seul argument avait retenu l'attention des Britanniques ; la prévision d'incorporer des marins connaissant bien en général les côtes de France et, élément non négligeable, la pratique naturelle de la langue qui se révélerait utile lors des raids de sondage.
De toutes façons, il ne fallait pas en rester là et sans attendre plus longtemps, Kieffer confirma le projet en réunissant un groupe. Celui-ci comprenait un chef de section, le premier-maître François Vourch et 16 hommes, dont “Pépé” Dumanoir, Simon, Tanniou, de Vandelaar, un ex-légionnaire, César, qui venait du Brésil, Laverini, le quartier-maître Taverne, Corbet, Le Guen, Errard, dit “crâne d'obus”, qui passera plus tard aux S.A.S. et enfin cinq autres, disciplinaires mais volontaires pour les commandos.
Ces derniers, malgré cette “tare” de départ, deviendront de très bons éléments. Evidemment, le groupe ne représentait qu'un embryon d'unité mais, après ce démarrage difficile, tous les espoirs étaient permis.
Le but de Kieffer était d'entraîner intensivement cette équipe, de manière à faire connaître l'existence du groupe, ce qui normalement devait attirer d'autres volontaires et permettre une sélection. Lorsqu'il serait en mesure de constater que ses hommes composaient une formation homogène “présentable”, il inviterait un officier des commandos britanniques à constater ce dont étaient capables les Français.
Evidemment, la manœuvre tenait du “forcing”, mais dans de tels cas, la fin justifiait les moyens.
L'entraînement débuta à Camberley. Ce n'était pas encore du “pur commando”, mais les hommes eurent déjà un avant-goût sérieux de ce qui les attendait. La sueur se répartissait entre les parcours en terrains variés, la culture physique et divers exercices préparatoires au combat.
C'est au cours de cet entraînement que le groupe put bénéficier d'un apport important avec l'affectation de Jean Pinelli.
Au mess des officiers de Camberley, Kieffer avait rencontré un officier du 54ème Bataillon de Mitrailleuses Motorisées, le capitaine Haas. Leurs discussions avaient porté d'abord sur les choses vécues ; le capitaine était un rescapé des campagnes de France et de Belgique. Puis Kieffer avait fait part de ses difficultés à trouver des instructeurs qualifiés :
- Voyez-vous lieutenant, répondit Haas, j'ai peut être chez moi un homme qui pourrait vous être utile.
- Comment cela ? demanda Kieffer, vous m'intriguez. Et que sait-il faire cet oiseau rare ?
- Oiseau des îles, il est Néo-Calédonien. Il s'appelle Jean Pinelli, 26 ans et parle anglais. Sa formation militaire ? Celle des régiments de Forteresse et en campagne de septembre 39 au 28 mai 1940, date à laquelle il fut blessé en Belgique. Un athlète ; d'ailleurs il était moniteur d'éducation physique… Il se peut aussi qu'il montre une certaine réticence. Cela fait plusieurs mois qu'il espère rallier Nouméa pour être affecté au Bataillon du Pacifique…
- Qu'importe !… Il est militaire et devra bien comprendre que dans la situation actuelle, il ne peut y avoir d'affectation au choix…
C'est ainsi que Pinelli vit arriver un grand officier qui l'aborda directement. Ce fut une longue discussion avec des échanges de points de vue. Pinelli rétorquait qu'il ne voulait pas rester en Angleterre, il préférait être “Marsouin” plutôt que “je ne sais trop quoi” chez les Anglais."
Dernière édition par BONNERUE Daniel le Ven 31 Oct 2008 - 20:13, édité 1 fois
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