Il y a du retard, l'éditeur souffrant du manque de papier pour imprimer, suite à demande de certains mouvements politiques ...
Plus sérieusement, je me suis inquiété également. Domi m'a fourni la même réponse que celle qu'il a dû te donner. Cela n'est plus entre ses mains. Le chèque n'a toujours pas été encaissé, donc, attendons ...
Concernant l'échelle machine/carré ... personne n'a pensé à prendre la moindre photo, probablement parce que tout le monde, donc la multitude de "quelques uns" pensait d'abord à son bien être.
Je me souviens d'une branlée Brest/Cap Finisterre où tout le monde nourrissait les poissons (sauf un gus qui a rempli sa valise, l'a laissée telle quelle, la dite valise s'étant manifestée une semaine plus tard, par son odeur et a fini sa carrière, engloutie par les flots), où le commis était content car sa gestion s’améliorait, où tout le monde ne pensait qu'à la banette, sauf un bosco qui s'est payé 18 heures de barre continue, après avoir négocié avec le tonton :"Je reste, à deux conditions : la touque de cambusard accrochée près de moi et vos fameux cigares, ceux que vous fumez."
Il est resté. Ensuite, le mer calmée, il a roupillé près de 2 jours.
Cette fameuse échelle verticale, je l'ai gravie, une fois. Après ceci. Les gars en avaient parlé. Aller à la machine se faisait, soit en passant pas le poste de bœufs, soit en l'utilisant. Je ne suis jamais passé par le carré. J'ai dû descendre 2/3 fois en machine, n'appréciant ni la chaleur, ni le bruit, ni l'odeur (chocotte, va).
A la suite d'une remarque similaire à cette montée du garçon par le sas, je me suis "amusé" à monter, pieds sur les barreaux, dos contre la paroi arrière, une main sur les barreaux, l'autre supposée tenir quelque chose. Ce fut laborieux.
Je sais, par récits d'anciens, lors des réunions des Zanciens de l'Étourdi, que des mait'd'hos l'ont fait. Et ont reconnu l'avoir fait, contraints et reconnu la difficulté.