Pour Oléron, en réponse à ta question sur un autre forum,
Stage para à Pau à l'Ecole des Troupes Aéroportées en fin 1968, brevet 285.750.
Pour les autres sauts, un peu partout oû sautait mon unité.
Le plus merdique ayant été à Nimes Courbessac, un jour de grand Mistral, oû on a tous été plus loin que prévu, certains ont fini leur vol sur le ballast de la voie ferrée qui passe en dessous du terrain.
Alors, qui dit voie ferrée dit caténaires électrifiés, vous saisissez maintenant le pourquoi du comment, et bien il n'y eut que des frayeurs ce jour.
Pour ma part, je sautais comme les autres là oû me larguait et me démerdait pour arriver et me relever entier aprés la prise de sol.
Souvent on s'engueulait (mais ça ne dûrait pas longtemps), "tu m'as pompé l'air, espèce de vacherie..." mais c'était toujours gentil.
Sachant que les accidents arrivent toujours quand on s'y attend le moins, le bon entraînement fait que tout les cas de figures inattendus sont à priori évitables, mais malgré tout un jour ou l'autre ça existe, ça arrive, surtout l'impondérable, l'immensurable et donc l'imprévisible.
Finalement, les copains comme Royco et Pierre (sur le forum), qui ont du avoir un nombre de sauts peut être supérieurs à 1.000, vous confirmeront que, malgré le nombre important de sauts, par tout temps là, oû d'autres n'auraient pas trop mis le nez dehors, et bien, il y avait pas de blessures défrayant la chronique, et que lorsqu'il y en avait, c'était en général minime, mais il y a toujours le gros PB qui survient et là c'est navrant pour tous, celui que ça arrive bien sûr et ses copains.
Mais là, comme pour les accidents de plongée, no comment...
Stage para à Pau à l'Ecole des Troupes Aéroportées en fin 1968, brevet 285.750.
Pour les autres sauts, un peu partout oû sautait mon unité.
Le plus merdique ayant été à Nimes Courbessac, un jour de grand Mistral, oû on a tous été plus loin que prévu, certains ont fini leur vol sur le ballast de la voie ferrée qui passe en dessous du terrain.
Alors, qui dit voie ferrée dit caténaires électrifiés, vous saisissez maintenant le pourquoi du comment, et bien il n'y eut que des frayeurs ce jour.
Pour ma part, je sautais comme les autres là oû me larguait et me démerdait pour arriver et me relever entier aprés la prise de sol.
Souvent on s'engueulait (mais ça ne dûrait pas longtemps), "tu m'as pompé l'air, espèce de vacherie..." mais c'était toujours gentil.
Sachant que les accidents arrivent toujours quand on s'y attend le moins, le bon entraînement fait que tout les cas de figures inattendus sont à priori évitables, mais malgré tout un jour ou l'autre ça existe, ça arrive, surtout l'impondérable, l'immensurable et donc l'imprévisible.
Finalement, les copains comme Royco et Pierre (sur le forum), qui ont du avoir un nombre de sauts peut être supérieurs à 1.000, vous confirmeront que, malgré le nombre important de sauts, par tout temps là, oû d'autres n'auraient pas trop mis le nez dehors, et bien, il y avait pas de blessures défrayant la chronique, et que lorsqu'il y en avait, c'était en général minime, mais il y a toujours le gros PB qui survient et là c'est navrant pour tous, celui que ça arrive bien sûr et ses copains.
Mais là, comme pour les accidents de plongée, no comment...
Dernière édition par 3ème ligne le Sam 5 Juin 2010 - 21:41, édité 1 fois