Lorsque j'ai quitté la Marine fin 1960, j'ai travaillé sur un chantier de dragage et d'agrandissement d'une retenue moyenne pour l'irrigation (15 millions de m³) qui en cent ans d'existence s'était "colmatée" avec les alluvions apportées par l'oued Mebloub qui l'alimentait. Nous étions donc des civils qui travaillions à la remise en eau d'un lac de barrage en faveur de l'avenir agricole de l'Algérie. Durant mon séjour, trois de mes camarades furent attaqués et assassinés sur la route qui les conduisaient vers Saint-Denis-du-Sig (aujourd'hui Sig), où ils partaient se détendre après une journée de travail en compagnie d'Algériens.
Voici deux vues satellite de Google Earth montrant le barrage des Cheurfas. La flêche rouge indique où se trouvait notre camp. Les eaux étaient plus basses à l'époque.
Situation du barrage par rapport à Oran (70 km par la route)
Le barrage avec une petite turbine hydraulique qui fabriquait de l'électricité. Ce barrage construit dans l'étranglement du début de gorge, avait la particularité d'être vissé dans la roche. Son volume doit être passé à 20 ou 25 millions de m³ depuis les travaux.
Voici deux vues satellite de Google Earth montrant le barrage des Cheurfas. La flêche rouge indique où se trouvait notre camp. Les eaux étaient plus basses à l'époque.
Situation du barrage par rapport à Oran (70 km par la route)
Le barrage avec une petite turbine hydraulique qui fabriquait de l'électricité. Ce barrage construit dans l'étranglement du début de gorge, avait la particularité d'être vissé dans la roche. Son volume doit être passé à 20 ou 25 millions de m³ depuis les travaux.