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par Passage au C.F.M HOURTIN.
Que de souvenir, en voyant les photos, je suis passé à Hourtin en novembre 68 et pour moi ça a été le départ d'une nouvelle vie, le départ d'une aventure qui va durer 22 ans.
Tout est passé dans la bonne humeur, malgré le timing au pas de course à l'arrivée (Rassemblement salle de ciné = Fouille des sacs et des bonhommes = Passage à la tondeuse, avec blagues pour certain avec seulement la moitié du crane rasé = Passage à l’habillement et retrait des sacs avec les vêtements civile = Répartition dans les dortoirs avec des rangs de bannettes collées 2 par 2 et sur trois étages (logés comme des sardines en boite).
Pour la toilette s'était dans une longue auge à l'entrée du baraquement.
Après, les gracieusetés ont débuté, Ordre serré, Chants : Je me rappelle " Marin prend la barre... (moi plus tard j'ai pris le quart).
Manœuvre à l'aviron sur le lac, Inspections de chambrés et surtout inspection de sac sur un banc, entre les deux planchettes, le tout parfaitement marqué à l'ancre de chine à l'aide du pochoir matriculaire et parfaitement aligné, si non tout est à refaire.
Les gardes, les corvées, et parfois une brimade = il faut de tous pour faire un monde.
Mais la plus part des gradés étaient correctes et faisaient bien leur boulot.
Folklorique aussi, la séance de vaccination (TABDT) = Tous alignés dans une longue coursive, l'infirmier passe d'abord pour planter les aiguilles et le médecin derrière pour injecter les doses.
Après cela, une journée sans manger, ni boire d'alcool = et comme toujours le fier à bras qui bouffe la consigne (en l’occurrence ici, il la boit avec outrance et fini aux urgences).
Il y aurait beaucoup à raconter encore, mais il faut bien en laisser un peu aux autres.
Et vous n'allez pas me croire, mais a moi, tout cela m'a plus (et pourtant je ne suis pas maso), c'était le début de l'aventure.
Au passage, j'ai vu la photo des Kekou du rudby : j'ai bien connu Jacky GROLLIER (mon drôle = une de ses expression favorite) lui servait d'amicale surnom sur " le DOUDART-DELAGRE", quand à GATINEAU quelle est le mécano qui ne l'a pas côtoyer au GEM lors de ses passages successifs pour motif de cours.
Que de souvenir, en voyant les photos, je suis passé à Hourtin en novembre 68 et pour moi ça a été le départ d'une nouvelle vie, le départ d'une aventure qui va durer 22 ans.
Tout est passé dans la bonne humeur, malgré le timing au pas de course à l'arrivée (Rassemblement salle de ciné = Fouille des sacs et des bonhommes = Passage à la tondeuse, avec blagues pour certain avec seulement la moitié du crane rasé = Passage à l’habillement et retrait des sacs avec les vêtements civile = Répartition dans les dortoirs avec des rangs de bannettes collées 2 par 2 et sur trois étages (logés comme des sardines en boite).
Pour la toilette s'était dans une longue auge à l'entrée du baraquement.
Après, les gracieusetés ont débuté, Ordre serré, Chants : Je me rappelle " Marin prend la barre... (moi plus tard j'ai pris le quart).
Manœuvre à l'aviron sur le lac, Inspections de chambrés et surtout inspection de sac sur un banc, entre les deux planchettes, le tout parfaitement marqué à l'ancre de chine à l'aide du pochoir matriculaire et parfaitement aligné, si non tout est à refaire.
Les gardes, les corvées, et parfois une brimade = il faut de tous pour faire un monde.
Mais la plus part des gradés étaient correctes et faisaient bien leur boulot.
Folklorique aussi, la séance de vaccination (TABDT) = Tous alignés dans une longue coursive, l'infirmier passe d'abord pour planter les aiguilles et le médecin derrière pour injecter les doses.
Après cela, une journée sans manger, ni boire d'alcool = et comme toujours le fier à bras qui bouffe la consigne (en l’occurrence ici, il la boit avec outrance et fini aux urgences).
Il y aurait beaucoup à raconter encore, mais il faut bien en laisser un peu aux autres.
Et vous n'allez pas me croire, mais a moi, tout cela m'a plus (et pourtant je ne suis pas maso), c'était le début de l'aventure.
Au passage, j'ai vu la photo des Kekou du rudby : j'ai bien connu Jacky GROLLIER (mon drôle = une de ses expression favorite) lui servait d'amicale surnom sur " le DOUDART-DELAGRE", quand à GATINEAU quelle est le mécano qui ne l'a pas côtoyer au GEM lors de ses passages successifs pour motif de cours.
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