Salut Jean Yves
Trés peut de mouvements en effet, comme je l'avais signalé durant la semaine c'était l'entretien de l'élévateur de Keroman. A kergroise seuls deux navires qui fréquentent trés réguliérement le port (donc déjà plusieurs fois photographiés) sont venus à quai
Barizo pour chargement de ferraille de récupération
Sten Hydra aux appontements pétroliers
Course au large
Retour au ponton de Groupama aprés une longue période de travaux de remise en état.
Dans ce domaine, les nouvelles ne sont pas bonnes pour le pays de Lorient.
En effet après l'annonce de l'abandon du sponsoring voile de Delta Dore des rumeurs alarmantes de même nature concernent plusieurs autres des plus grosses sociétés donnant de l'activité sur le site de l'ex base des sous marins. La crise; la casse au dernier Vendée globe ainsi que le constat des faibles retombées médiatiques par rapport aux sommes investies en sont les causes principales.
Les plus grands skippers risquent donc se retrouver au chômage, avec hélàs aussi ceux qui travaillent dans cette industrie de la course au large mise en place localement. Affaire à suivre mais, compte tenu que banques et assurances constituent le plus gros des effectifs de la flotte sponsorisée, le pessimisme est de rigueur
HATOUP
Trés peut de mouvements en effet, comme je l'avais signalé durant la semaine c'était l'entretien de l'élévateur de Keroman. A kergroise seuls deux navires qui fréquentent trés réguliérement le port (donc déjà plusieurs fois photographiés) sont venus à quai
Barizo pour chargement de ferraille de récupération
Sten Hydra aux appontements pétroliers
Course au large
Retour au ponton de Groupama aprés une longue période de travaux de remise en état.
Dans ce domaine, les nouvelles ne sont pas bonnes pour le pays de Lorient.
En effet après l'annonce de l'abandon du sponsoring voile de Delta Dore des rumeurs alarmantes de même nature concernent plusieurs autres des plus grosses sociétés donnant de l'activité sur le site de l'ex base des sous marins. La crise; la casse au dernier Vendée globe ainsi que le constat des faibles retombées médiatiques par rapport aux sommes investies en sont les causes principales.
Les plus grands skippers risquent donc se retrouver au chômage, avec hélàs aussi ceux qui travaillent dans cette industrie de la course au large mise en place localement. Affaire à suivre mais, compte tenu que banques et assurances constituent le plus gros des effectifs de la flotte sponsorisée, le pessimisme est de rigueur
HATOUP