Chaumiole claude, il y a aux GAMBIER de gros problèmes de CIGUATERA...

il y as eu de gros problème de ciguatera aux Gambier, la situation est revenue normale même si il reste quelques endroits où le poisson n'est pas trop pêché.

voici ce que j'écrivais le 1er mars 2008
La ciguatera est une intoxication alimentaire due à l'ingestion de chair de poisson.
C'est en 1977 que l'équipe de R. Bagnis de l'Institut Louis Malardé de Papeete à Tahiti découvrit l'agent responsable de la ciguatera dans les Iles Gambier, alors atteinte d'une formidable flambée de toxicité ; il s'agit d'une algue unicellulaire benthique
Cette microalgue est ingérée par les poissons herbivores lorsqu'ils broutent les algues.
Tous les grands poissons des récifs coralliens sont donc susceptible, d'être toxiques et plus particulièrement les poissons carnivores en bout de chaîne alimentaire (barracuda, mérou, carangue, murène, requin, etc ...).
Dans les régions hautement toxiques, les poissons de bas de chaîne alimentaire peuvent être aussi dangereux (perroquets ou chirurgiens). Les poissons du large (thon, tazar du large , ...) ou de profondeur (vivaneaux, ...) ne sont pas ciguatériques.
La ciguatera est un phénomène évolutif dans le temps et dans l'espace.
L'environnement a une importance considérable dans les flambées ciguatériques.
Ainsi, toutes perturbations entraînant la formation de substrats dénudés risquent d'entraîner une prolifération en masse des micros algues, et en conséquence de provoquer une flambée ciguatérique. Ces perturbations peuvent être naturelles (tsunamis, cyclones, séismes, volcanismes sous-marins, ...) mais aussi artificielles (agressions de l'homme pour l'aménagement du littoral, la construction de digues ou de wharfs, le creusement d'un chenal,...).
La ciguatera peut être ainsi très localisée, à une portion de récif, à une passe, autour d'un bateau échoué.
voila ce que l'on peut dire sur cette intoxication .
Les travaux sur TOTEGEGIE de la piste, du wharf etc ... ne sont pas étrangés a la flambéé ciguatérique qu'il
y as eu quelques années plus tard, le temps que la microalgue prolifére, mais il y avait des endroits dans le
lagon qui n'étaient pas infectés, les mangareviens ont appris a les connaitre, à leur dépends.
Ce phénomène existe depuis des temps immémoriaux ; la présence de poissons toxique a été rapportée par des grands navigateurs comme Fernandes de Queiros en 1606 et Cook en 1776 durant leurs expéditions dans l'archipel du Vanuatu.

Bonjour, un grand bravo et un grand merci pour ces explications
A+

Bonjour les gars,
Cette ciguatera est plus communément appelée "la gratte", du moins en Nouvelle-Calédonie.
Simbad

oui tu as raison Simbad de préciser "du moins en Nouvelle-Calédonie" car il n'y as bien qu'en Nouvelle caledonie que l'on parle de "gratte" pour invoqué la Ciguatéra.
Complémentement à tort car les symptômes de l'intoxication ciguatérique se manifestent de 2h à 2h30 après l'ingestion du poisson toxique par un engourdissement accompagné de picotements des lèvres, de la langue et de la gorge, d'une faiblesse généralisée et d'une sensation nauséeuse..
Expérience vécue aux Gambier, j'ai subit 2 intoxications ciguatérique.

Ensuite nous avons rapidement plusieurs catégories de symptômes : digestifs,neurologiques et cardio-vasculaires, donc rien à avoir avec "La Gratte" qui évoque des démangeaisons sur tout le corps. Cette intoxication existe aussi en Polynésie mais n'as rien a voir avec la ciguatera.Pour ma part les symptomes ont étés digestifs, vomissements et Diarhées a répétition pendant plusieurs jours.
La ciguatera est le plus souvent d'un pronostic bénin, mais les fortes intoxications, qui sont exceptionnelles, peuvent provoquer des paralysies, le coma et parfois la mort.
Certains symptômes (en particulier ceux à caractère neurologique) peuvent durer plusieurs semaines voire plusieurs mois.

Ces symptômes ne sont pas nécessairement tous présents lors d'une intoxication ciguatérique ; ils apparaissent en fonction de la gravité de l'intoxication (quantité de toxine ingérée, selon la taille et la partie du poisson consommée) et des modalités réactionnelles propres à chaque individu.

Bonjour,
Merci Tataio pour ces explications. Je sais que sur le Caillou, nom amical donné à la Grande Terre de Nouvelle Calédonie, on s'en méfiait comme de la peste. Il est vrai que sur ce magnifique territoire, le danger vient plus de la mer que de la terre, du moins d'un point de vue prédateurs.
Marauru ou Maururu, je ne sais plus comment on l'écrit, mais tu m'auras compris.
Simbad

bonjour a tous les amoureux de mangareva et des gambiers salut aussi a toi

jean claude tu vois je me met doucement aux forums . y avait t'il

du ciguatera en 64 et 65 a taku ??? moi il me semble qu'il y avait surtout

des poissons que l'on ne pouvais pas manger salut a tous :

Bienvenue au club Jean-Claude, oui , à notre époque il y en avait déjà, quand les Taku avaient un doute ils demandaient au vieux Tua le père de Puea...
À la fin mars 65 lors de mon départ pour PPT , j'avais une commande de cinq flacons de Pyréthane qui normalement servait de calmant pour les règles douloureuses, mais à l'usage considéré comme efficace contre les effets de la ciguatera.... ....

Il est bien vrai ? Jean Claude, que quand nous venions en repos à Papeete, nous nous chargions de toutes sortes de commissions pour nos amis des îles, ce qui grignotait pas mal notre temps de repos. Cela m’est arrivé quelquefois, mais je ne suis pas venu souvent au repos.
J’ai déjà parlé de la paire de tia’a (chaussures) que m’avait demandée monsieur Brander, le tavana de Tureia, en 1971 ; sa pointure lui était inconnue, alors, l’un de ses pieds, hors normes, était dessiné sur un carton, mais après avoir fait tous les tinito marchands de godasses, je n’en ai pas trouvé à sa taille, il dût continuer à faire, les pieds nus, les cérémonies officielles ( à la messe, il allait pieds-nus).
De Reao, la seule fois où je suis venu en repos, on m’avait commandé une douzaine de verres de lampes Coleman. Ce ne fut pas triste et je les mis dans une boite en bois à soude. Comme je n’avais pas marqué « fragile », ils ont été un peu rudoyé a Faaa au transit pour embarquer dans le catalina, l’un eux était cassé.

André Pilon

Salut à chacun et à ce cher Jean-Claude,
Je garde de Rikitea le plus beau de mes souvenirs de Polynésie ! et ce surtout dans l'année 1965 où j'ai passé 10 mois de vrai plaisir . Il y avait beaucoup de travail météo mais nous avions un environnement hors du commun dans ce village et sur cette île.
Enfin , je pense en reparler avec peut être plus de souvenirs des uns et des autres
En tous cas à très bientôt et merci cher Jean-Claude d'avoir "ouvert" ce petit espace

La ciguatera je connais, à l'epoque ou nous faisions "le petit train" en super frelon(ravitaillement des atools, )nous avions mangé un délicieux poisson le midi à Réao ou nous etions reçus chaque fois comme des rois.Le soir dans le lit à Mururoa, j'ai commencé à avoir des douleurs dans toutes les articulations, et après une mauvaise nuit, le lendemain matin tout l'équipage du super frelon a été incapable de reprendre sa mission.Plus aucun reflexe au tests.Nous avons été rapatriés sur Hao, pourêtre soignés.A l'époque injection massive de vitamine C pendant 15 jours. Impossible de se laver ou toucher de l'eau, cela déclenchait en nous comme un courant électrique.J'ai ressenti pendant un bon mois les effets de cette ciguatera...Il parait que le fait de voler en altitude avait accéléré le poison pendant notre transit via Tureia et Mururoa. Fait amusant, les rares passagers que nous avions emmenés de Hao à REAO et qui étaient restés sur place, malgré le même repas de poisson, n'ont pas été atteints.
Anecdocte: les mois suivants, un légionnaire se dévouait pour manger la veille du poisson qui nous était destiné, pour voir si la fameuse Ciguatéra, n'avait pas contaminé la pêche qui nous était destinée.5on adorait manger le poisson de REAO, le chef cuistot nous préparait çà merveilleusement.

Je fais remonter

Amis marins bonjour!

A propos de la fin des travaux de la Cathédrale et de son inauguration, voici un lien de la DEPECHE DE TAHITI.

J'espère que le réglement du forum ne m'interdit pas de vous faire passer ce lien, si cela était le cas, je n'en excuse auprès de FANCH.

Bonne journé à tous.

Le biffin

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Excact, le règlement du forum l'interdit, mais il est possible de scanner l'article et de le placer en pièce jointe comme une photo. Franjacq

Discrète mission militaire américaine de 6 mois aux Gambier.
Un avis d’appel d’offres émanant de l’US Air Force publié en mai dernier sur un site américain spécialisé, fait état d’un projet de construction d’un «site de travail et de stockage» à Mangareva. Interrogées, les autorités locales semblent tout ignorer de ce dossier !
Au départ il ne s’agit d’informations éparses colportées par des habitants des Gambier sur la présence de militaires américains en civil à Mangareva. Renseignements pris auprès de la mairie, on indique qu’il y a actuellement deux militaires de l’US Air Force sur place «missionnés par une société privée pour installer une station d’observation». Cela n’était pas très clair et on hésitait entre fusée et satellites. La même source indique que Mangareva est l’un des trois sites choisis dans le Pacifique par l’US Air Force avec l’Australie. L’état major de l’armée française au COMSUP à Pirae, en revanche, dit ignorer la présence de ces militaires américains qui sont sensés faire connaître leur passage quand il ne s’agit pas de simple tourisme. «Pour nous il n’y a pas de militaires américains à Mangareva».

Une fois la curiosité piquée on se met donc à chercher. Et la magie d’Internet fait que l’on trouve : un « request for information » a été publié tout récemment sur le site Internet des marchés fédéraux. Il s’agit d’une sorte d’appel d’offres pour acquérir et livrer du matériel à Mangareva pour une période allant de la date d’attribution du marché (20 mai 2013) au 31 décembre 2013. L’appel d’offres émane conjointement d’une base militaire de l’US Air Force au Nouveau-Mexique, du Centre des missiles spatiaux basé à Los Angeles, et divers autres services.

Il n’est pas question d’éléments stratégiques dans cette commande publique de matériels et de services. Il s’agit d’être capable de livrer sur place à Mangareva du carburant, du petit matériel, un lieu de stockage et de fournir un service de coordination et de traduction. L’appel d’offres précise qu’il faudra indiquer comment l’entrepreneur qui obtiendra ce marché s’y prendra pour pouvoir mettre en place ce site de stockage sécurisé «avec l'approbation du gouvernement local». Il s’agit d’un marché public considéré de petite taille selon la classification industrielle nord américaine, un contrat évalué à moins de 14 millions de dollars.
Info ou intox ? N’empêche : des habitants ont surpris tout récemment des civils américains à Mangareva en train de réceptionner, à l’arrivée de la goélette, du matériel dans plusieurs containers. D’autant que ce n’est pas la première fois que les Américains débarquent aux Gambier. Il y a un peu plus de deux ans, Glory un satellite américain d’observation de la terre a été perdu le 4 mars 2011 au cours de son lancement. Il s’est écrasé dans l’océan aux environs des Gambier…

J'ai mis un message n°53 sur le forum du R.R. HANAP.
Concernant une mission aux GAMBIER, ce message peut être intéressant sur ce site.

Nos missions de ravitaillements en eau, étaient routinières départ de PAPEETE en eau de ville direction MORUROA, afin de remplir les citernes. Puis des aller et retour MORUROA-HAO à la centrale de désalinisation.
Décembre 1969, le commandant obtient une mission aux GAMBIER (je n'ai pas souvenir si l'on a ravitaillé RIKITEA ou TOTEGEGIE) j'organise l'escalade du mont DUFF 441 m, avec le Mtre WATTIEZ et 5 membres de l'équipage.
Pour ma part j'ai fait cette balade en mai 68 avec mes mécanos du L.C.T. "L9098".
Retour à PAPEETE afin d'effectuer une I.P.E.R..

Je mets une vidéo concernant cette période. Et je tiens à remercier "chefmail" pour les documents photographiques du R.R. LIAMONE

Comme de nombreux anciens de Mangareva, j'ai de merveilleux souvenirs de cette île et de ces quelques mois passés en compagnie de J-C CLETTE, CHERON, et de quelques légionnaires chargés de nous construire de nouveaux baraquements. Nous avions préféré loger quelque temps dans une cabane sinistre sous les caféiers (celle de té luto), mais tellement plus pittoresque. Jean-Claude a certainement toujours en tête l'épisode des jeeps de Taku... Que de souvenirs qui reviennent en écrivant.
Quant aux poissons, je repense surtout aux magnifiques poissons perroquets que nous ramenions de parties de pêches avec Pakoï dans le lagon. En 1966, on ne parlait que de "becs de canard" parfois toxiques.

Quand on tombe sur la route on dit que l'on embrasse la fille du cantonnier, alors intitulons ce post : bons baisers des Gambier.
Chenalage dans les Gambier. Les gens de quart à la passerelle sont-ils éblouis par les paysages? Des vagues s'écrasent sur des récifs frangeants qui manifestement sont sur notre route. Soudain quelqu'un se réveille. En arrière toute ! hurle le chef de quart. Le jeune quartier-maître préposé au chadburn balance le levier sur l'avant (en avant toute) pour faire teinter l'appareil et alerter, en bas, la machine. La tête penchée en arrière, il cherche sur le cadran la graduation demandée... désespérément. "Lieutenant, il n'y a pas écrit en arrière toute sur le chadburn". "mais si, Bon Dieu, faites vite !" Les indications sur un chadburn, et plus particulièrement sur un LST ex-américain, sont en anglais. Astern Full, ça vous dit quelque chose ? Pas au QM. Discussion entre un QM dépassé, à l'intérieur de la passerelle, et un officier de quart énervé, à l'extérieur. Et pendant ce temps, toujours avant plein pot. Boum ! Le LST est secoué jusque dans ses rivets. Nous voilà juchés sur le corail. Nous avons beau battre en arrière, nous restons prisonniers du récif. Nous n'allons quand même pas réclamer un remorqueur (il lui faudrait plusieurs jours pour arriver ici). Cela aurait pour effet d'alerter l'amiral. Pas bon. Il va falloir se débrouiller avec les moyens du bord, et discrètement. Nous mettons un LCVP à l'eau. Il vient se positionner sous la poupe, juste sous l'ancre qui y est accrochée. L'ancre est descendue dans le LCVP. Ce dernier s'éloigne vers le large. La porte avant du chaland est ouverte. Le treuil du navire reprend le mou sur la chaîne de l'ancre tandis que le LCVP bat en arrière. Petit à petit l'ancre glisse vers la sortie et tombe à la mer. Nous allons pouvoir maintenant nous déhaler sur cette ancre. Après quelques tentatives infructueuses, le bâtiment frémit puis se meut doucement. Ouf ! Nous sommes sortis de ce mauvais pas. Ni vu, ni connu. L'honneur est sauf. Pas sûr que ce soit inscrit au journal de bord. Totegegie, nous voici. R.A.S.

L'ancre servait également aux EDIC à muru pour nous dégager des beatchings
à marée basse
Une pratique courante pour eux à l'époque

J-M

Amis marins bonjour!

Mon message s'adresse à GYURISS, pour son film sur LES GAMBIERS et notamment l'ascension du Mont DUFF.
Je viens de découvrir ton film, aujourd'hui seulement, et tu peux pas savoir comme cela m'a fait plaisir. J'étais à RIKITEA en 1967 avec le 5ème RMP, pour construire le grand abri pour la population, et un dimanche, j'ai fait l'ascension du DUFF avec des copains et des habitants de RIKI.
L'ascension n'a pas été très difficile, je crois qu'on était monté depuis RIKITEA, en 2 heures 30 (sauf défaut de ma mémoire). Le panorama depuis le sommet était à couper le souffle, ça reste un grand moment de mon aventure polynésienne.

Merci encore

Amitiés à tous
JL42 dit le Le biffin

L'originalité de l'échouage (message 17) n'est pas de se déhaler sur l'ancre arrière pour se dégager (une chance qu'elle n'est pas restée crochée), pratique courante des bâtiments de débarquement lors d'un plageage, mais de se "planter" en route "normale" à vitesse de croisière sur une barrière de corail visible comme le nez sur la figure. Ca ne fait pas riche. Cela n'a été finalement qu'un incident et comme tous ceux qui ont écrit ci-dessus nous avons pu visiter Rikitea et son cimetière des missionnaires
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La photo ci-dessus, C'est le tombeau du dernier roi, dans le cimetière, avant sa restauration, et tel que j'ai pu le découvrir, en 1968
Il 's'appelait Kerekorio (Grégoire) Mapouteoa ; il est mort le 20 juin 1857.
André Pilon.

Les tombes au premier plan portaient le nom de prêtres, par contre le "mausolée" au fond j'ignorais que c'était la tombe d'un roi. Je suis content de l'apprendre. Je n'ai pas le souvenir d'avoir vu une inscription. je mets à jour la légende de ma photo. merci André.

Bonjour,
Merci à JL42 pour ton message n°19. Quand je parle des GAMBIER, aux Amis j'ai la nostalgie.....

Pour André et Roger j'ai une photo du tombeau restauré. Il a fallu que je monte sur le rebord d'une ouverture afin de prendre ce cliché. Cela date de mon séjour en 2006, j'ai emmené mon épouse elle ne connaissait pas cet archipel.

Roger le beachage accidentel était à l'entrée ou au seuil d'Aukéna ? Si c'est le second il se voit bien, tout le monde devait être en extase...... vous avez eu de la chance de ne pas crever un ballast.

Intérieur du tombeau de MAPUTEOA
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Le cimetière ancien et le tombeau du Roi en 2006
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Au vu de ta photo du tombeau, ça me revient. le sol et le "sarcophage" était couvert de vert, mousse ou lichen. Notre LCVP nous avait transportés sur l'île d'en face pour une journée détente et pique-nique. Il y avait là une grotte de belles dimensions. Les guêpes qui y logeaient, étaient, elles aussi, de belle taille. Le fond de l'eau était couvert de coquillages notamment des "sept doigts". Ils allaient d'ailleurs nous rendre un fier service peu de temps après à Raiatea. On les avaient pendus, à pourrir, dans un sac qui trempait dans l'eau, à un bout à l'arrière du bateau. Une heure de rentrée avait été fixée et le cipié attendait de pied ferme les pontus qui étaient encore dehors bien après l'heure. Nous étions rentrés à bord, après nous être mis à l'eau tout habillés, à distante prudente du cerbère, en grimpant par ce bout. Quant aux récifs sur lesquels nous nous étions échoués, je n'en ai aucune idée.
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Oui Roger c’était notre méthode de déhaler et pratique aussi
Le votre c’était autre chose .As tu une photo?
Ton histoire de rentré des permissionnaires ,j'ai eu (avec des collègues)la même chose pas avec le cipier mais le Cipal saco qui nous attendez et naturellement quelques jours plus tard convoqué chez le Pacha sur le "Jules "

J-M