Bonjour Christian, :bonjour:
à tous ceux qui s'en sont tapé aussi !...C'est vrai qu'il n'était pas des plus facile à préparer celui du La Bourdonnais.
En plus à mon époque l'armurerie se trouvait au milieu du navire pas loin d'une des deux cheminées, voir les deux
pas très large comme endroit.
Aujourd'hui cela ferait du bien genre sauna
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Pour y arriver je devais passer par un local du mécano extérieur et frigo
ou il y avait le tour.
Le local était plus agréable que le mien et de part notre pratique "d'armurier" j'utilisais le tour, surtout à des fins personnelles enfin plutôt de rendre service (fabrication de quilles et de bombardes).
Je n'ai d'ailleurs rien gardé de mes fabrications.
A si seul peu être un cendrier fait dans une douille de 127 et un dans une douille de 57. Ils sont ou
J'ai aussi appris a fabriquer et graver des plaques de portes, sur les conseils avisés du PM DAUMAL et du SM STUCK.
A la mer après le quart le boulot ne manquait donc pas.
Le rôle de l'armurier était de vérifier le bon fonctionnement et l'état du matériel avant le tir, de procéder à l'entretien périodique des 127 et 57, autre que graissage et peinture
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Bien sur les tapes de bouche, les plaques de porte, les quilles et bombarde et autre tour de pouce avec de la toile émeri pour embellir les divers tableaux de rangement d'outillage.
Le boulot ne manquait pas et surtout il fallait toujours avoir l'air occupé.....être indispensable.....les journées passaient plus vite et certaines corvées évitées