par BONNERUE Daniel Lun 4 Fév 2008 - 15:46
Certes, l'aspiration à l'indépendance des peuples ne peut être contestée, mais qu'il s'agisse des guerres d'Indochine ou d'Algérie, il appartenait aux dirigeants de notre nation de négocier pour faire en sorte de les éviter.
Cependant, elles ont eu lieu et personne ne peut en tenir rigueur à ceux qui ont participé, convaincus d'aller défendre notre pays contre une idéologie qui a montré (et montre encore) ses limites.
Il nous appartient donc, soit en qualité d'anciens combattants, soit parce que nous sommes leurs successeurs et parfois leurs enfants, de faire en sorte que ce qu'ils ont enduré ou ce que fut leur comportement exemplaire, tel celui de l’alors Quartier-Maître infirmier Jean SEGALEN, le père de notre camarade Georges, ne soit jamais oublié.
C'est notre devoir, au moins pour compenser la mémoire "défaillante" de nos politiciens de tous bords et des institutions sur lesquelles ils gardent la "haute main".