Je ne sais pas si je poste cette histoire en bon lieu, je pense que notre Pacha corrigera le tire si nécessaire.
Ce n'est pas une histoire de marin. C'est l'histoire d'un cavalier. Un Spahi. Il s'est porté volontaire pour le corps expéditionnaire de De Lattre en Indochine. Après un entrainement aux SAS Britaniques, il a été envoyé là bas, détaché d'abord aux Commandos Marines (c'est pourquoi j'en parle ici) puis à la Légion Etrangère.
Avec son unité ils avaient pris possetion d'un piton, au Tonkin courant décembre. Une fois la zone sécurisée, trois postes d'artillerie se sont installés en contre bas du piton.
Les tirs de réglages d'artilleries étaient fait.
Arrive le matin du 24 décembre. Mon père, Margi chef, à une vacation radio avec l'officier commandant les trois positions d'artillerie. Celui-ci lui annonce que pour fêter Noêl et vérifier une dernière fois les hausses et asimuthes ils allaient tirer une série 21 coups de canons à projectiles réels à minuit.
Sur le piton, le réveillon de Noël commance. ça veut dire qu'ils pouvaient allumer un feu pour chauffer leurs boîtes de "singe"!!!
A minuit, comme annoncé, 21 coups de canons partent des 3 positions.
Au lendemain, comme dans tous les bastions en Indochine, des patrouilles sortent pour, entre autre déminer ce que le Vietminh a posé pendant la nuit.
Et là, ce ne sont pas des mines qu'ils découvrent, mais 450 cadavres de Vietminh!
Une vrai boucherie.
Le "Viet" avait du penser que pendant la nuit de Noël les Français se seraient saoûlés et voyait donc là l'occasion d'une opération offensive contre ce piton.
Mais c'était compter sans la salve de "salut" de l'artillerie.
Jakez
Ce n'est pas une histoire de marin. C'est l'histoire d'un cavalier. Un Spahi. Il s'est porté volontaire pour le corps expéditionnaire de De Lattre en Indochine. Après un entrainement aux SAS Britaniques, il a été envoyé là bas, détaché d'abord aux Commandos Marines (c'est pourquoi j'en parle ici) puis à la Légion Etrangère.
Avec son unité ils avaient pris possetion d'un piton, au Tonkin courant décembre. Une fois la zone sécurisée, trois postes d'artillerie se sont installés en contre bas du piton.
Les tirs de réglages d'artilleries étaient fait.
Arrive le matin du 24 décembre. Mon père, Margi chef, à une vacation radio avec l'officier commandant les trois positions d'artillerie. Celui-ci lui annonce que pour fêter Noêl et vérifier une dernière fois les hausses et asimuthes ils allaient tirer une série 21 coups de canons à projectiles réels à minuit.
Sur le piton, le réveillon de Noël commance. ça veut dire qu'ils pouvaient allumer un feu pour chauffer leurs boîtes de "singe"!!!
A minuit, comme annoncé, 21 coups de canons partent des 3 positions.
Au lendemain, comme dans tous les bastions en Indochine, des patrouilles sortent pour, entre autre déminer ce que le Vietminh a posé pendant la nuit.
Et là, ce ne sont pas des mines qu'ils découvrent, mais 450 cadavres de Vietminh!
Une vrai boucherie.
Le "Viet" avait du penser que pendant la nuit de Noël les Français se seraient saoûlés et voyait donc là l'occasion d'une opération offensive contre ce piton.
Mais c'était compter sans la salve de "salut" de l'artillerie.
Jakez