par Claude JORGE Mer 23 Fév 2011 - 12:22
J'ai eu aussi à ouvrir le coffre fort du bureau administratif, à bord d'un bâtiment, expérience originale et intéressante, j'allais dire "enrichissante" mais là, non....
Qui n'a pas aussi eu à remettre des armes de collection ?
En particulier à la BAN de ST. Mandrier, fusils, pistolets, révolvers, sabres et épées.
Toujours à St Mandrier, j'ai eu à préparer et régler les fusils, MAS 49/56 pour la compétition de tir du championnat de France, avec peson pour la détente pour le poids mini reglementaire, réglage des oeilletons et crans de mire en relation avec le tireur, qui avait SON arme attitrée.
Encore sur le même site, je faisais responsable de tir avec les "Pingouins", équipage et officiers mariniers et voire même les officiers qui n'étaient pas pour autant meilleurs que les péquins moyens.
J'ai refait une crosse en totalité, pour une carabine qui était entreposée dans un cabanon de jardin qui avait eu la malchance de brûler, ce n'est pas une mince affaire, j'ai commencé par inserrer la boite de culasse, car si je n'avais pas réussi j'aurais perdu mon temps avec le restant de la crosse, je n'ai plus en tête le temps que j'avais mis, mais "un certain temps" c'est sur.
J'ai eu l'occasion de pratiquer aussi sur du cuivre avec un marteau à boule, je suis allé voir les instructeurs aux arpètes, il me suffisait d'enjamber le mur du côté du tas de charbon qui faisait séparation avec la BAN, j'ai réalisé des cendriers, les pieds étaient 3 gitanes, que j'avais pris sur le modèle des paquets de cigarettes et à la place du tambourin j'avais mis des demi étuis pour servir de reposoir de cigarettes; le centre qui servait de cendrier était en cuivre repoussé, la cendre de la seiche, posée sur le demi étui, tombait dans le cendrier.
Si je cherche bien je dois avoir encore quelques raretés à mon actif.