Comme la plupart de ceux qui ont fait une campagne à Diégo, j’ai laissé quelque chose la bas, Après une longue navigation (civile), mes pensées sont toujours tournées vers Madagascar et la grande gentillesse de ses habitants
Je me permet une question à ceux qui visiblement ont fait leurs séjours après le mien.
D’après les photos et les bateaux, en quelques années, les conditions de séjour, ont évoluées.
Est-ce qu’une fois les vieux avisos stationnaires qui restaient sur zone rentrés en France (Giraud, La Pérouse), leurs remplaçants, étaient affectés pour un temps déterminé, puis remplacés rentrant en France avec leurs équipages ? Ou que les relèves, comme pour les anciens ont continuées à se faire par paquebots (ou avions après la suppression de ce mode de transport) après deux ans de séjour.
L’arrivée à Diégo se faisait en trois semaines (en cale) avant de découvrir la passe d’entrée de la baie de Diégo, que nous avions eu le temps d’imaginer.
J’ai écrit quelques ligne sur ces voyages, partie intégrante des campagnes de l’époque.
Ma contribution aux souvenirs de Diégo 1960, une vue de Raména (et de l’entrée de la baie).
Daniel