Bonjour,
D'accord avec toi Hervé, la télé, internet, le téléphone n'avaient pas encore coupé les relations entre les gens. Autre temps, celui du cinéma, de la lecture, de la partie de carte, du Baleti, de l'écriture également, c'est fou l'importance du courrier . La machine à laver idem, le marin savait laver, coudre (ça on l'a appris aussi, mais...).
En tout cas, on suit Georges de près, mais je suis quand même étonné, Georges semblait un matelot sans spé et pourtant on le retrouve à la barre, à la veille, à la veille radio, à la cuisine, dans l'infanterie, comme on dit, "bon à rien, prêt à tout, pas de médaille, mais la place pour en mettre".
Cette tradition "du but de la manoeuvre", de "la bite et le couteau", de la polyvalence qu'on trouve chez le marin a des racines profondes.
Mais que de problèmes de santé !
On suit Lino, on suit ...
Bien amicalement TUR2