Voilà un sujet que je découvre et qui me ramène à ma généalogie. En effet, le petit-fils de l’un de mes ancêtres a été vicaire à Poubazlanec. Il avait quitté ses études de médecine à Paris pour entrer dans les ordres. Le 14 avril 1856 il rejoint son premier poste : Ploubazlanec. Il passe trois ans dans cette paroisse, années pendant lesquelles il apprend à connaître et aimer les marins. Il se découvre également une passion pour la mer.
Chaque année il voit les marins confier aux flots leur vie et l’avenir de leurs familles. Combien de ces "Islandais" qui partent pour la Grande Pêche, ne reviennent jamais ! Outre ces pêcheurs, combien de marins, souvent si loin de leur patrie, au moment de leur passage dans l’éternité, n’entendent pas la voix d’un prêtre. Embarquer, apporter les secours et la consolation de la religion aux marins est la nouvelle mission qu’il se donne.
Il a dans ses relations l’amiral Charner. Ce dernier va lui donner un coup de pouce pour sa "reconversion". Maintenant, je ne sais pas si c’est ce à quoi il s’attendait. Il est nommé aumônier de marine et expédié en Indochine (il fera toutefois une belle carrière, embarqué, dans la marine).
Chaque année il voit les marins confier aux flots leur vie et l’avenir de leurs familles. Combien de ces "Islandais" qui partent pour la Grande Pêche, ne reviennent jamais ! Outre ces pêcheurs, combien de marins, souvent si loin de leur patrie, au moment de leur passage dans l’éternité, n’entendent pas la voix d’un prêtre. Embarquer, apporter les secours et la consolation de la religion aux marins est la nouvelle mission qu’il se donne.
Il a dans ses relations l’amiral Charner. Ce dernier va lui donner un coup de pouce pour sa "reconversion". Maintenant, je ne sais pas si c’est ce à quoi il s’attendait. Il est nommé aumônier de marine et expédié en Indochine (il fera toutefois une belle carrière, embarqué, dans la marine).