Nos tables étaient réservées et on a mangé à l'écart du personnel de la base, et à une heure assez tardive.
Perso j'ai plus discuté avec des gradés qu'avec les "jeunes" matafs de la base. Ceux-ci étaient plus occupés à blaguer avec leurs camarades féminines.
On a été assez libres de nos mouvements, mais bon faut dire que ça sent le départ.
Je n'ai pas trouvé le nouveau pacha très souriant à l'inverse de celui qui partait.
Je ne sais si le premier était content du "cadeau".
Du côté du garage.
A peine entré à pieds sur la base, je me suis rapidement dirigé vers mes anciens lieux de travail que j'ai vite reconnus. Moins d'animation qu'à l'époque bien sur, la mécanique étant plus moderne et fiable que nos trapadelles d'antan.
Mais où sont donc passés nos tubes Citroën, les 4L Renault "Suivez moi" à damiers jaunes et noirs (souvent cabossées après des chasses aux lapins sur le tarmac), la 403 bichonnée du pacha, les Solex...? Et les moteurs en rodage tournant sur les bancs d'essais...? Et le tapage des carossiers...?
A suivre... :