par † COLLEMANT Dominique Dim 7 Jan 2007 - 23:31
Pour TintoIl est vrai que pour celui qui n' a pas connu,
cela paraît surprenant et peu rassurant , mais c' était très efficace.
Le "couvercle" s' adaptait dans un surbau soudé à la coque épaisse.
Celui-ci était taillé en biseau et la pression de l' eau venait appuyer sur l' ensemble pour assurer le plus gros de l' étanchéité.
Cette étanchéité était assurée en plus par une injection de graisse sous pression envoyée pendant chaque quart aux diesels par les mécanos à l' aide d' une station de graissage .
Le couvercle était de plus maintenu par des tirants boulonnés pour éviter qu' il ne bouge en cas de grenadage.
Je te joins un petit schéma très simplifié pour compléter mes explications.
Je ne me rappele plus l' épaisseur de ce couvercle (des copains apporteront peut être la précision), mais d' après la photo je dirais entre 40 et 50 cm.
Quand à la coque du sous-marin en acier à haute elasticité et assemblée en 9 tronçons soudés, elle mesurait suivant les endroits de 20 à 32 mm d' épaisseur.
Ces sous-marins descendaient à 300 mètres en temps de paix , mais la coque était calculée pour une immersion de destruction à 575 mètres.
J' espère avoir répondu à tes questions.
Bien amicalement
Dernière édition par le Lun 8 Jan 2007 - 0:01, édité 6 fois