en cherchant un peu, il y a un site Gymnote , c'est le Top

Merci pour cette vidéo message 152.

Bonjour Jean-Michel Marienneau
Merci de nous avoir signalé un site sur le Gymnote mais serait-il possible que tu nous en face bénéficier, s'il te plaie ?
Je n'ai pas trouvé sur la toile ! Ce serait bien de nous poster l'adresse ...
Merci.

bonjour à tous et en réponse à ta question Jean-Claude, c'est sur ce site , mais il était en veilleuse, super vidéo message 152

J'y étais.Avril 1965 à mars 1967.Mécanicien aux Diesel puis auxiliaires et central de plongée.

Même postes, mais de 70 à 72 !

bonsoir
ci joint photo d'une porte du Gymnote que je possède
quelqu'un pourrait il me dire où se trouvait à bord ce genre de porte?
merci

Bonjour VIKOR

Il se pourrait que ce soit une des deux portes d'accès à la tranche missiles ...
Etonnant que tu es cet objet en ta possession ! Il manque le "U" à l'envers, au-dessus de la porte, qui permet de se tenir pour passer de l'autre côté en se tenant à une ou deux mains, ce sera parfait !

Pourrais-tu envoyer une photo agrandie de la plaque laiton située au-dessus du fourreau de câble de liaison d'ouverture ? Merci.

Amicalement

Je confirme, il y avait trois portes de ce type à bord du Gymnote, une à chaque extrémité supérieure de la tranche missiles et une troisième qui séparait la cafétaria du poste avant au droit de la batterie N° 4 .
Peux tu nous dire comment tu as eu cette porte et à quoi elle te sert maintenant ? Il me semble apercevoir une culasse de moteur dans ce compartiment...

Bonjour,
et merci pour l'aide aux infos

la petite plaque au dessus du fourreau n' a malheureusement rien à voir avec la porte , c'est une plaque de décoration que j'ai trouvé

pour infos complémentaires , le Gymnote avait été démantelé par les ets Vaisse , je recherchai à l’époque une porte de bateau en acier pour un local toujours humide , cette porte m' a été proposée lors du débarquement d’éléments du Gymnote à son dépôt du Finistère .
ça a été sportif pour la mettre en place..et surtout qu'elle reste en place.Il faut surtout la fermer doucement pour éviter une forte vibration

la porte se trouve maintenant au fond de mon garage( d'où la présence d'un moteur au sol) et permet l’accès à un petit local bétonné qui maintient un terrain en forte pente.

J'imagine le sport ! Elle pèse son poids la porte...
Tu l'a mise dans un bateau ou un blockaus ?

Bonjour, j'ai bien le souvenir d'une porte de chaque coté de la tranche missiles, mais aucun d'une troisième au niveau poste avant ! Par contre tu dois avoir le plus beau, gros, souvenir du gymnote ! fait faire une petite plaque explicative à fixer dessus pour ta descendance !

Suite infos:
La porte et aussi la forte plaque en acier qui est soudée autour font certainement au moins une tonne .
- le mur du garage en parpaing de 20 à été découpé à la disqueuse ,
-posé au sol sur la ceinture béton du garage un gros profilé en I est soudé sous la plaque en acier pour que la porte repose au sol sur une base solide
-partent du mur arrière du petit local bétonné de nombreux fers bétons qui sont soudés eux aussi à plat sur la plaque en acier.
puis du béton a été coulé autour.

Iffic 64 pour ce qui est de la plaque signalétique , tu as raison il faut que je fasse quelque chose .

Bonjour à tous de la part de Bruno, un petit élect d’1.90 m
Surfant sur le net, je suis tombé sur le site et en voyant les noms ou les visages de certains, j’ai fait un voyage dans le temps. Curieusement c’est sur des portraits récents que je crois en reconnaitre d’autres. Peut-être s’est on croisés à l’Ile Longue ?

Bref, j’ai donc décidé de replonger dans les profondeurs,
de mes archives et j’y ai redécouvert ceci.



Le nom de NES, devrait vous parler.
C’est une ville d’Islande où nous avons débarqué : un militaire ou civil, malade ou blessé ?
Ce que je me souviens par contre, c’est les maisons colorées et les gens sur le quai qui nous faisaient des signes. Dommage, cela aurait pu être une belle escale. Par contre, il n’y aurait pas eu de nuits chaudes, souvenir d’une sortie de quart 20 – 24, où étant allé sur le pont missile, je me suis retrouvé en plein jour.
La croisière s’amuse a laissé une trace de son parcours (voir plan)
Mais que s’est-il passé lors de cette expédition ? (voir message)
Attention, ne lire que le passage sur le Gymnote, sinon vous risquez un gros coup de vieux.
Ce ne serait pas l’œuvre de TRANNOY, le radio ?
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Pour toute erreur, merci de rectifier. Liste de noms que me sont revenus en mémoire :
Service électriciens :
LV Waechter - PM Lesueur – MT Mottu (curieusement, dans ma mémoire il était élect ?) – SM Canevet
Pour les quartiers maîtres et matelots :
Mirgain, un gars des vosges, qui pour ses 48 heures, rentrait chez lui dans sa peugeot 204 cabriolet. Certains lundi matin, les yeux avaient du mal à rester ouverts, mais nous avions l’excellent PM Lesueur qui nous envoyais nettoyer les batteries afin qu’il puisse se refaire une santé. Merci chef.
Briquet , Morel, Fischer, Garrec, il y avait aussi un blond qui jouait de la basse (guitare).
Autres services :
Le breizh, fanch Kérésit, manœuvrier originaire d’Audierne
Kune, mécanicien aux avant
Attab, un missilier
Goalès, cuisinier que j’ai croisé à Toulon, quand j’étais sur porte avions.
Les frères Lebon, Jacques a été président des OM à l’Ile Longue, où j’étais sous les ordres de son père, qui était officier en second des marins pompiers.
Pour ces noms-là, j’ai un doute : Moritz (électricien), Ortiz (missilier), Labat (calcul) ?

Pour finir :
Pour la photo de la porte étanche, je crois y reconnaitre celle à l’avant de la cafétaria. En la franchissant on arrivait sur une coursive en U. J’ai le souvenir d’aller vers bâbord et dans l’une des bannettes situées le plus haut à droite. L’accès était obstrué sur presque la moitié par des canalisations. La seule façon d’y accéder, s’était d’y entrer les pieds en avant (quelle souplesse à l’époque !). J’ai appris à l’apprécier, un jour où l’on s’est fait secouer et que je me suis aperçu qu’on y était parfaitement calé.

Concernant la disposition des locaux plus à l’avant, je n’en ai plus souvenir. Par contre, je me rappelle que c’est là, que le jour de ma première visite du bord, un des nouveaux embarqués s’est fracassé le crâne sur une vanne qui se trouvait, juste au-dessus d’une échappée.

Merci d’avoir pris le temps de me lire.
Je vais maintenant m’attacher à exploiter les vieux négatifs photos que je viens de retrouver.
Quoi le numérique n’existait pas à l’époque !!!!

Bonjour à tous,

La nostalgie m’a remise en mémoire notre vie d’aventures.

Nous allions demander conseils auprès de Napoléon, puis nous partions :

Chasser le « Grand cerf »
Rechercher « L’Eldorado »
Nous partions aussi pour l’outre-mer, plus particulièrement « les Antilles », où quand notre camarade modération n’était pas avec nous, y attrapions de sacré coup de chaleur.

Si quelqu’un sait comment nettoyer de vieilles pellicules photos sans les endommager, je suis preneur.
Les images devraient être de meilleures qualités.

Les deux premiers avaient des gènes reptiliens, qui leurs permettaient de progresser avec aisance dans les « grands espaces » de nos chères batteries.
Plus particulièrement la 1, qui possédait un étage et dans la consigne, il était indiqué que si l’on avait un problème au parquet inférieur, 2 solutions :
1° Soit on sortait par nos propres moyens
2° Soit on venait nous chercher, mais auparavant, il fallait démonter des éléments (à plus de 200 kg l’unité).
A ce sujet, je crois me souvenir que les batteries avaient été déchargées en 80-81, si quelqu’un a des photos.
Où ayant une date, on pourrait en retrouver la trace dans la presse locale.

En ce qui concerne la batterie N°1 effectivement elle était disposée sur deux niveaux et donc difficile d'accès, d'ailleurs en mer nous n'y allions pas faire de rondes ni de relevés de densité car jugée trop dangereuse.
Par contre comme toute les batteries elle subissait parfois un débarquement (j'ai participé au débarquement de toutes les batteries l'été 1977 avant d'entrer au bassin pour IPER).

Il n’y avait pas que les électriciens qui avaient des problèmes d’exiguïté des locaux.
Il y avait nos camarades mécaniciens.

Anecdotes réelles ou enjolivées par le temps ?

Inspection par l’amiral Piery, amiral sortit du rang, qui avait une solide réputation.
L’amiral en grande tenue visite le bord, arrivé à la machine, il se tourne vers un officier présent et lui dit :
- « Je veux un bleu »
L’officier surpris lui répond :
- « Un bleu ? »
Et l’amiral lui rétorque :
- « Oui, un bleu, un bleu de travail, vous savez ce que c’est ? »
Touché – Coulé, c’était le style du personnage.

Le connaissant, on avait donc fait nettoyer et repeindre la cale machine.
Mais pendant le chantier, l’un des mécanos s’est retrouvé coincé.
Au début, on a pensé à une blague, mais le temps passant et malgré tous les efforts, on n’arrivait pas à le dégager.
Quelqu’un a eu l’idée de lui faire croire que nous allions démarrer la machine et qu’avec les vibrations, il pourrait s’extraire.
En entendant, les collègues prendre les mesures préparatoires, il a réussi à se dégager.
Heureusement pour lui, sinon il y serait encore.

Il va falloir maintenant vous mettre au travail, car ma mémoire fait défaut.
Quel nom et quelle spécialité ?

Notre ami qui rêve sur sa chaise, un DSM ?



Assis au premier plan, Lesueur.



Sur la photo de groupe, on aperçoit en arrière plan Moritz.
Mais devant lui, à droite, assis, barbe et tee shirt blanc, je dirai un cuistot voir même un boulanger !!!

Dans ton message 165 tu cite le Mt Mottu, je me rappelle bien de lui, il était mécanicien, je l'ai eu comme instructeur (bases en mécanique) à l'EMES puis il à embarqué sur le Gymnote en 74 je crois, et il a du réussir à y finir sa carrière.

Avant toute chose, si quelqu'un a envoyé un message et que je n'ai pas répondu, c'est que pour l'instant, je ne maitrise pas encore bien le site.

Poursuivons
Nous avons le retour du cuistot
Cliché suivant, nous retrouvons Briquet en arrière plan.
L'homme à lunettes sur la gauche pour moi c'est le LV Waechter.
Ce qui impliquerai que les deux autres étaient le second et le pacha.
J'ai bon ?





Fin de la séance de tir, pas de debriefing.

Comment s'appelait le pacha à ton époque ?

Message n° 170

Sur la première photo, le cuisto était le bordelais Louizo.
Sur la seconde, le premier à gauche c'est bien Monsieur Waechter et juste à côté le patron Mottu.
Quant à la dernière photo ce sont bien à gauche le Pacha et son second mais impossible de me souvenir de leur nom !
Si quelqu'un se souvient ce serait sympa de me rafraîchir la mémoire car 42 ans en arrière !

Souvenirs, souvenirs

Quart au PCP, sous-marin en immersion, tout est calme.
Quand soudain, on voit l’eau se déverser à travers une lumière (je ne suis pas sûr que cela soit le terme exact), une vanne de coque n’est plus étanche.
« ALARME VOIE D’EAU »
Et c’est à cet instant précis qu’est monté à bord, Albert Einstein lui-même, avec sous le bras sa théorie sur la relativité du temps.

Derrière nous, on entend les M.E.P. qui délivrent toutes leurs puissances, mais dans le même temps, Monsieur profondimètre, reste indifférent à ce qui se passe.

1 – 2 – 3 : Il va bouger
4 – 5 – 6 :- mais si, il va bouger
7 – 8 -9 : il a pas bougé là ?
10 – 11 – 12 : je pense qu’à cet instant, si quelqu’un m’avait placé une cacahouète au bon endroit, j’aurais fabriqué une magnifique huile première pression à froid. L’expression à l’époque disait : « faire d’une cacahouète, 10 litres d’huile »
Puis on ressent, une légère vibration dans la coque. Ce qui sort monsieur profondimètre de sa léthargie. Mais il ne faut pas le brusquer le bonhomme, il a le réveil lent, puis progressivement, il se décide enfin à reprendre du service.
Surface, après les vérifications d’usages, tout est OK.
Le jeune néophyte pense qu’il va rentrer au port pour vérification des systèmes, quand soudain résonne le klaxon d’alerte, on plonge.
Descente par paliers, puis après quelques essais, nous déterminons à quelle profondeur la vanne perd son étanchéité.
Nous finissons la mission à immersion limité.

A l'intention de Jean Claude, voici les clichés dont je parlais.
Pour les autres, le jour de mes mouvements de débarquement, le Gymnote faisait des essais d’étanchéité dans le port de Cherbourg.

Voici les dernières

Merci pour ces photos , te souviens tu du nom de ton pacha pour les photos précédentes ?

Bonjour à tous
Voici un document sur le Gymnote a quelle profondeur plongeait il
Amitiés A+