par Joël Chandelier Sam 3 Aoû 2019 - 17:36
C'est vrai que pour la Gendarmerie Maritime que je qualifierait de "naviguante" tout dépens quel moyen est mis en œuvre. Par exemple pour un patrouilleur de gendarmerie maritime il y a du monde à bord et à part le Pacha qui doit avoir sa chambre personnelle je doute que pour le reste de l'équipage chacun ait une cabine perso du coup ce qu’écrit l'ami Petunia a tout son sens et ma réponse à Françis17 est à revoir sauf nouvelle construction de patrouilleur féminisée
11 personnes arme les Patrouilleurs : 1 officier, 8 gendarmes de carrières et 2 gendarmes auxiliaires
Ce type de bâtiment va jusqu'a 200 nautiques comme il est noté ci dessous (Note en provenance du journal numérique Cols Bleus de Mars 2019)
Les VCSM peuvent également quitter leur base mais pas plus de 4 jours
8 gendarmes pour des missions pouvant durer quatre jours.
Vu sur le Net un commentaire sur la vie à bord de ces vedettes
Comme nous l’avons vu précédemment, le gendarme maritime navigant est un être à part, qui se déplace avec son lieu de travail qui est également l’endroit où il vit, mange et dort. Le bateau devient sa deuxième maison dans laquelle il cherche à recréer son univers. Son quotidien, lorsqu’il est en mer pour plusieurs jours, consiste à vivre en collectivité dans un espace réduit se résumant à quelques dizaines de mètres carrés et isolé sur un élément qui n’est pas toujours favorable à un bien-être physiologique.
Bien que chaque membre d’équipage dispose de sa bannette qui constitue son « coin à lui », il est difficile, voire impossible pour lui de trouver l’isolement. A bord, il n’y a pas de coupure, sans cesse on se croise et on se recroise. Dans la promiscuité les caractères se révèlent et rien ne peut être dissimulé. Pour les missions de plusieurs jours, la configuration d’un équipage de cinq hommes est idéale. Au-delà de cet effectif, l’espace vital de la VCSM devient réduit.
Pour conclure sans répondre à la "féminisation" des vedettes ou patrouilleurs de gendarmerie maritime
"Dans la frange côtière, jusqu’à 6 nautiques, elles interviennent aux côtés des unités nautiques de la gendarmerie départementale. La coordination est assurée par le préfet maritime (ou, outre-mer, le délégué du gouvernement pour l’action de l’État en mer), le préfet de région ou de département pour les missions relevant de leurs compétences. Côté gendarmerie maritime, ce sont les embarcations semi-rigides des brigades de sûreté du littoral [/b]qui effectuent ces missions. Leur action est complétée, en s’éloignant de la côte, par l’emploi de [b]vedettes côtières de surveillance maritimes (VCSM, jusqu’à 20 nautiques) et, au-delà, de patrouilleurs (jusqu’à 200 nautiques, aux limites de notre zone économique exclusive"