Cela se passe en 74, je servais (malheureusement pas assez longtemps) sur l'E E VAUQUELIN, et nous étions en soutien aux SNLE de la FOST.
En février nous faisions escale à Las Palmas du 11 au 18, il ne s'est pas passé grand chose de palpitant, si ce n'est que nous avions dragué deux suédoises, super mignonnes, et pas farouches si vous voyez ce que je veux dire, mais nous n'avons jamais réussi à conclure, mais nous nous étions bien rincé l’œil, quelques passages en boite de nuit et c'est tout.
Par contre l'escale à Vigo (Espagne) les 16, 17, et 18 mai, mortelle.
En effet nous avons fais une excursion à Saint Jacques de Compostelle.
Très belle la ville enfin d’après ce que j'ai pu en voire et surtout je me souviens, car je me suis pris la cuite de ma vie.
En effet c'était le 18 mai 74, le jour de mon anniversaire.
Lorsque nous sommes entrés à bord dans un de ces états, nous devions appareiller le soir même.
St Jacques de Compostelle.
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Là ont commencés les ennuis pour moi.
Oui j'étais de quart de 20 à 24, et ce à la passerelle.
Je m'y suis trainé comme j'ai pu et je me suis installé sur l'aileron bâbord, histoire de passer inaperçu de me faire oublier et surtout de prendre l'air.
Mais voilà le chef de quart, m'avait repéré et m'avait ordonner d'aller me coucher.
J'ai refusé cet ordre car j'avais décidé que coûte que coûte je ferais mon quart.
Bien mal m'en a pris, le chef de quart à demandé à deux copains de me ramener dans mon poste et de me coucher.
Le lendemain, j'ai été convoqué chez mon copain le bidel, j'avais la gueule dans le c.. et il m'a annoncé, qu'il fallait que j'aille me mettre en tenue de sortie par ce que j'étais "invité" chez le Pacha en second.
Il paraît qu'il avait des choses à me dire.
Résultat de cette conversation, j'ai pris 15 pins.
Comme on avait tous à bord dans nos placards des boutanches (vous vous souvenez comme ils étaient grands ?), et bien on arrivait quand même à les y planquer, on c'est dit qu’après cette histoire, il valait mieux les jeter avant que les flics mar montent à bord lors de notre arrivée à Brest.
Donc lorsque nous sommes entrés dans le Goulet de Brest, nous sommes tous sortis sur la plage arrière avec nos bouteilles, que nous cassions le long de la coque.
Nous le faisions, mais je peux vous dire que nous avions mal au cœur de les casser.
Tout cela pour ne pas se faire prendre.
Arrivé à Brest les flics mar étaient là, ils sont montés à bord, on visité tous nos placards et bien sûr n'ont rien trouvé (nous l'avions senti).
Voilà comment c'est passée cette escale mémorable pour moi et pour certains de mes potes Photos de l'époque suivent.
En février nous faisions escale à Las Palmas du 11 au 18, il ne s'est pas passé grand chose de palpitant, si ce n'est que nous avions dragué deux suédoises, super mignonnes, et pas farouches si vous voyez ce que je veux dire, mais nous n'avons jamais réussi à conclure, mais nous nous étions bien rincé l’œil, quelques passages en boite de nuit et c'est tout.
Par contre l'escale à Vigo (Espagne) les 16, 17, et 18 mai, mortelle.
En effet nous avons fais une excursion à Saint Jacques de Compostelle.
Très belle la ville enfin d’après ce que j'ai pu en voire et surtout je me souviens, car je me suis pris la cuite de ma vie.
En effet c'était le 18 mai 74, le jour de mon anniversaire.
Lorsque nous sommes entrés à bord dans un de ces états, nous devions appareiller le soir même.
St Jacques de Compostelle.
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Là ont commencés les ennuis pour moi.
Oui j'étais de quart de 20 à 24, et ce à la passerelle.
Je m'y suis trainé comme j'ai pu et je me suis installé sur l'aileron bâbord, histoire de passer inaperçu de me faire oublier et surtout de prendre l'air.
Mais voilà le chef de quart, m'avait repéré et m'avait ordonner d'aller me coucher.
J'ai refusé cet ordre car j'avais décidé que coûte que coûte je ferais mon quart.
Bien mal m'en a pris, le chef de quart à demandé à deux copains de me ramener dans mon poste et de me coucher.
Le lendemain, j'ai été convoqué chez mon copain le bidel, j'avais la gueule dans le c.. et il m'a annoncé, qu'il fallait que j'aille me mettre en tenue de sortie par ce que j'étais "invité" chez le Pacha en second.
Il paraît qu'il avait des choses à me dire.
Résultat de cette conversation, j'ai pris 15 pins.
Comme on avait tous à bord dans nos placards des boutanches (vous vous souvenez comme ils étaient grands ?), et bien on arrivait quand même à les y planquer, on c'est dit qu’après cette histoire, il valait mieux les jeter avant que les flics mar montent à bord lors de notre arrivée à Brest.
Donc lorsque nous sommes entrés dans le Goulet de Brest, nous sommes tous sortis sur la plage arrière avec nos bouteilles, que nous cassions le long de la coque.
Nous le faisions, mais je peux vous dire que nous avions mal au cœur de les casser.
Tout cela pour ne pas se faire prendre.
Arrivé à Brest les flics mar étaient là, ils sont montés à bord, on visité tous nos placards et bien sûr n'ont rien trouvé (nous l'avions senti).
Voilà comment c'est passée cette escale mémorable pour moi et pour certains de mes potes Photos de l'époque suivent.