de gegot joseph il n' y à qu 'à la porte NORD que durant le quart de nuit en hiver il y avait le bidon de thé légéremt allongé de tafia bonsoir à vous

Salut à tous, anciens mousses ou pas
comme arme ''défensive'' il me semble qu'on avait droit à une matraque en bois...
Et toujours sur le qui vive, car il y avait quelques CS plus ou moins vicieux, ou nostalgiques de l'Algérie, qui se faisait un plaisir de nous surprendre...
Et les sommations réglementaires. Je crois qu'il y en avait trois:
Halte,
Halte, qui va là,
Avance au ralliement
Quelle époque....

Dommage que mon messages est été effaçé,je n'ai pas la réponse pour la comparaison des sommations avec Boboss,messase n°575.Et c'était une simple comparaison de gardes ,avec le message n°572 de Joël.(mais CER Rochefort) des jeunes de 16,17 ans avec une responsabilitté qui les dépassait quelquefois!Mais soyons bon joueur.Salutations .Dalioli.

Salut DALIOLI,
Ben tu sais, les sommations ça n'avait rien à voir avec les diffèrentes écoles, c'était les mêmes partout. Même sur les bases ou les bâteaux.
Donc la comparaison est vite faite.
Quand aux gardes à comparer, je crois que rien ne ressemble plus à une guérite qu'une autre guérite, la seule chose effectivement c'est qu'on avait le même âge, du moins avec ceux des arpettes.
Mais c'est vrai que ces gardes de nuit, avec les instructeurs qui venaient nous jouer des tours de temps à autre, c'était pas le plus marant aux mousses. Et il est vrai aussi, du moins moi, qu'on avait surement un peu la trouille, tout seul dans notre coin, la nuit.
Quelcun a t il eu comme moi le privilège de faire quelques jours au trou, sans lacet ni autre ? ça non plus c'était pas marant.
@micalement
Robert

Je crois me rappeler qu'aux mousses j'ai eu le droit à une nuit dans ces locaux car je n'avais pas voulu "dénoncer" un camarade qui avait fait une bêtise futile.
Si on parle Robert du même "trou" il se situait à droite en rentrant (face au Bureau des Mouvements) par l'escalier central du bâtiment Armorique.
Et de nos jours sais tu qui a son bureau dans cet emplacement rénové.......le proviseur adjoint du Lycée Naval et dans l'ancien Bureau des Mouvements c'est le CF Directeur de l'Ecole de Maistrance. Par contre on ne peut plus accéder par ce hall aux étages c'est maintenant muré

Dans la "prison" des mousses, bien située par Joël, j'ai fait comme tout le monde des quarts de garde dans ce petit réduit. De mémoire il devait y avoir 4 ou 6 cellules. Pour la garde on devait porter des chaussons en toile kaki pour ne pas faire de bruit dans le couloir qui ne devait pas faire plus de 8 à 10 mètres de long.
Un soir que j'étais de garde (le premier soir de garde, d'ailleurs), au bout de quelques temps à faire les 100 pas, je m'adosse contre une paroi, dos à la porte, et je me mets à bouquiner une BD genre Blek le Roc ou ânerie du même genre. A un moment je recois une gifle monumentale, de force 7 sur l'échelle de Richter, par le QM1, chef de la garde., un "chouf" de 30 ou 35 ans. L'affaire n'a pas eu de suite, mais je n'ai plus jamais relu par la suite.

Salut Joël,
Je ne peu te dire où il se trouvait, mais je me souviens d'un couloir étroit, avec d'un côté des portes métaliques derrières lesquels on allait le soir après les cours. Je crois même me souvenir que quand on rentrait par la porte , le couloir était sur notre droite et les portes des cellules à gauche.
Pour des gamins c'était un peu dur, mais il fallait bien aprendre.
Quelcun disait "pour être un bon militaire il faut avoir fait du trou", eh bien moi j'ai commencé par ça , comme ça y avait plus besoin d'y revenir par la suite
Pas plus dans mes souvenirs
@+

Bonjour Joseph concernant les chaussures et le peigne pour le plis du pantalon je n'en souvient et la salle de repassage!!!
je me suis retrouvé sur l'aviso Cdt BORY de 1963 à 1966 nous étions en campagne en C FA avec 4 anciens mousses de la même escouade la 12ème tu te souvient surement de leur visage ALAIN LEMOAL, LEMOIGNE, LEGUERN et moi;
Bien à toi
et bon vent
Edouard OLLIVIER

de gegot joseph salut à vous tous . bonjour EDOUARD .Merci d.e me rappeler quelques noms je. me .rappelle bien de ALAIN MOAL nous etions ensemble au cours de BE MANŒUVRIER . .il est vrai qu' apres quelques mois aux mousses nous etions des vrai fees du logis ..lavagedu linge re passa.ge couture et l'entretien des locaux la bonne ecole en tous voila pour aujourd'hui Bonne soiree. bonweek end atous JOSE

Bonsoir à tous,
pour les anciens mousses de la 2 (avril 1962 à avril 1963)
Je suis toujours en contact avec certains; notamment Michel Chanvert (qui a fait maistrance à l'issue) Il habite pas bien loin de chez moi, et nous avons des petits enfants qui fréquentent la même école, ce qui que parfois on se retrouve à la sortie.
Egalement Louis Dars, qui a fait sa carrière dans la sous-marinade. Il a regagné sa région d'origine.
Et de temps en temps Germain Barbey, qui habite également dans la région.
Bon week-end à vous.

Pour Boboss, Chanvert, le major détecteur ???

Petite question : Est-que les Mousses du CIN portait la tenue de travail gris souris comme nous au Dourdy ?

Cette renue était plus sayante et solide que celle que nous avions ensuite .

A+

Bonjour FRANCO,
Lors de mon admission aux Mousses au CIN en 1967, de mémoire, nous recevions 4 tenues :
- une tenue de sortie en serge
- une tenue identique mais en espèce de laine épaisse
- une tenue gris clair en toile fine avec col intégré
- un survêtement bleu marine.
Lors des périodes de grand froid je me souviens que nous mettions la tenue en laine épaisse sous le tenue grise.
Ci-dessous, me voici avec chacune d'elle.
Bon dimanche à tous (en ce moment sur la Côte d'Azur l'on pourrait mettre les 2 tenues l'une sur l'autre !),
Patrice Biron[img][/img][img][/img][img][/img][img][/img]

Bonjour à tous,
pour CMBIL22, affirmatif, il a terminé sa carrière, je crois, au Levant.
Vu la météo locale, je n'ose vous souhaiter un bon dimanche....

Salut Noel
Réponse au post 529

Dans les sous-sols il y avaient les douches en 1974/1975 sur la partie droite.
2 fois par semaine, 5 minutes d'eau chaude.
Au début nous sortions encore savonnés pour laisser la place à l'escouade suivante.

Bonjour Bobosse
réponse au post 511

En 74/75, rien n'avait changé pour les heures d'aviron ou de godille.
Perso j'aimais bien, sauf en hiver quand nous avions le soir, les mains recroquevillées.
A l'heure de la soupe, on mangeait sans les couverts: on arrivait pas à les tenir!
j'en ai conservé un durillon dans la main gauche, encore aujourd'hui...

Salut Joel
Réponse au post 499

Je passais aussi dans le même coin en 74/75.
Mais il y avaint un sous-off qui habitait dans le rue qu'il fallait remonter.
Une fois, il nous a coursé en voiture...on a eu chaud et nous sommes rentrés fissa, juste à temps pour l'appel surprise de comptage!

Par contre j'ai été au trou une autre fois pour avoir été en retard à l'un de ces appels nocturnes. J'étais là où on va de son plein gré et dont on ne sort qu'une fois la tâche accomplie.
Donc la nuit en prison, je ne sais pas non plus le nombre de cellule.
Comme il n'y avait pas de garde prévue (pas de prisonnier) j'étais réveillé par un maistrancier de ronde toute les 2 heures (je crois) et j'allais signer le livre de nuit au BSI, puis retour au pieu. Par chance, il n'y a pas eu d'évasion cette nuit-là...

Salut Dominique
Réponse au post 443

Lorsque le contrat était signé (il fallait avoir 16 ans,ce qui n'était pas mon cas au début) nous avions un pécule de 20F par mois financé par la Marine. Si Mossieur!!!!

Si la famille était généreuse, nous pouvions les prendre en une seule fois. Je me rappelle de ce beau billet de 20F tout neuf (Curie je crois) en février 1975, mon premier trésor.

Par contre, nous avions les gauloises 'troupes' gratos. 1 paquet de 20 par semaine, ce qui provoquait un troc assez fabuleux le soir même.

Bonjour Patrice,alain et Jobic
Réponse au post 466 et suite

1 La loooooongue piste en canard: Variante pour notre escouade, matelas roulé et fermé par le ceinturon, au dessus de la tête, bras tendus.
"Bras tendus", ai-je dit: un tour de rab.
Le pire, c'était la pluie et le matelas mouillé...

2 Derrière le bunker: Bon j'étais le cadet, 15ans et demi pile poil! j'y suis allé aussi mais j'ai pas pu règler mes comptes, y'avait un vieux d'au moins 17 ans qui a pris ma place. Par contre le "vert" nous a mis au trou tous ensemble, sans exception...

3 La salle d'arme était dans un gymnase à babord sur la photo. Du moins il existait en 74/75. Le Maître était également super gentil. Il nous a fait participer à quelques compètes en Bretagne et Marine.

Pour les pompes, Jobic, en 74/75 c'était pareil, le fusil entre les doigts et la paume de la main. Les SM *** et *** aimait bien mettre le pied sur le fusil et n'hésitait pas à appuyer si nous faiblissions. J'ai gardé les cicatrices laissées par les gravillons sur les phalanges.
En souvenir, le jour de la quille ils ont eu une patate dans le pot de leurs caisses. J'ai les noms, mais parole de mousse, jamais ils ne sauront.

Bonjour Joel et Armorique
Réponse au post 572

La 2eme arme le sifflet, sans bille.
Il y avait un maistrancier qui dormait dans le poste et je crois bien que c'est lui qui enlevait la bille pour avoir la paix.
Il n'y avait aucune cartouche, nulle part.
En 74/75 nous avions le MAS36 avec chargeur de 10 je crois.
Dans l'escouade, nous avions 2 cartouches récupérées lors d'un exercice de tir, et la location coutait 1 clope pièce pour le quart. On était C** ...

Bonjour Franco et Patrice
Réponse au post 586

En 74/75 nous étions plus habillés

2 bachis

2 tenues de serge bleues (sortie et service)
la galère c'était le froissement des guêtres blanches sur le bas du pantalon apèrs le service.
2 cols bleu et blanc
2 rayés
1 cravatte noire (trafalg...merci les rosb...)
1 paire de chaussure noire
1 caban bleu (en laine et ???, chaud et indestructible)
3 tenues en coton gris-bleu col gris (travail)
3 coloniales
1 paire de brodequin marron que nous teignons au cirage noir
1 paire de guêtre en cuir noir et un ceinturon en cuir marron
1pull bleu marine (increvable)
1 survêtement bleu, short gris, tee shirt rouge (1ere cie) ou vert (2eme cie) ou bleu (3eme cie)
1 paire de tennis en toile bleu, semelle caoutchou blanc
2 pyjamas nylon marron (hyper sexy...)
1 sac marin
1 valise métal bleue marine
1 cadenas (ne fermant pas)

j'ai un doute, mais le tee shirt bleu était peut-être pour maistrance.
Il y avait un blanc et un jaune...
et j'en oublie probablement, mémoire...


Cordialement
Dom
7500030

Merci MaillardD pour ces précisions concernant la tenue que nous avons perçue au CIN. Cela nous rajeunit. Une précision, car j'ai un trou de mémoire, je ne me rappelle plus ce qu'est la coloniale ?
Tu m'as devancé de peu dans cette école. En effet, je suis arrivé le 7 avril 1975, donc à la 2ème cie.
Amitiés Marine.

Salut Jean Luc
La "coloniale".......ni plus ni moins que la chemisette grise......la même que la blanche mais en gris

Bonjour Jean Luc et Joel
Réponse au post 597 598.

oui pour la coloniale grise, mais nous n'en avions pas de blanche à Brest.
C'est lors de l'école de spé sous la ligne (de la Loire) que nous touchions la tenue blanche.
Enfin touchée voulait dire débitée de notre livret d'habillement, donc payée avec nos soldes (sans stock option).

Jean Luc, le bleu, j'étais à la 1ere cie, 9eme escouade en 1975.

Amicalement
Dom
7500030

Salut maillard,
j'étais également à la 1ère Cie le 1 septembre 1975, mais je n'y suis pas resté longtemps, je suis parti à la 4 èmè Cie afin de faire Maistrance l'année suivante.

Bonjour Kermit
Nous n'étions donc pas dans la même fournée.
Amicalement
Dom

Salut, et personne ne parle du magnifique slip de bain en laine tricoté ????? ni des deux planchettes servant de gabarit pour le pliage 25/25 et ensuite pour tenir tous le barda dans le sac marin.
Concernant le paiement du trousseau, puisque c'est comme ça que ça s'appelait, il n'était pas prélevé sur la solde mais déduit de la prime d'habillement tout les ans en fin d'année. Ce qui fait que les gens soigneux pouvaient toucher un petit treizième mois pas négligeable lorsqu'il n'avaient pas trop abimés leurs fringues et donc pas remplacés.
Corrigez moi, si je me trompe.

Pour Robert .. oui tu as tout à fait raison.....

Salut
Effectivement le paiement du trousseau venait en déduction de la fameuse prime.
Mais avec les servitues, les treillis se dégradaient vite.

Pour le maillot de bain que j'imagine particulièredment sexy, nous n'y avons pas eu droit.
Si il était en laine tricottée, bonjour la sortie du bain...

MDR

Pour les 2 planches, j'en avait achetée 2 de plus au foyer, et j'avais fait un trou à chaques coins.
4 lacets de 25 entre les planches du haut et du bas, et le colis était toujours au carré.
Dom
7500030

Ah heureusement que les "anciens" se décarcassent et que le sécuritard à défaut de connaitre toutes les coursives du navire à Fanch en connait quand même quelques unes
Donc pour le slip de bain en laine