Merci,
Pomie, de tes précisions faites et peut-être à venir pour le laborieux cheminement des pontus en sous-sol...
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Pour l'accès à la chaufferie, j'ai eu le doute sur son côté de la petite coursive après avoir posté car je vois encore le panneau toujours ouvert avec une plaque en métal, perforée sur toute sa surface il me semble, toujours rabattue elle, il valait mieux ...
..., pour accéder à l'échelle qui descendait à la chaufferie, là, pareil, c'est comme cela dans mes souvenirs mais la mémoire fait parfois défaut ou est trompeuse...
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A Michel Pinçon,Après le feu au piano, heureusement qu'il n'y avait pas de frites en mer car cuites au fuel lourd, elles auraient été difficiles à digérer...
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Par contre, aucun souvenir d'une machine à laver car pour l'équipage à l'arrière, on lavait les blancs et les bleus de travail à l'eau froide dans les lavabos ...
... quand l'eau n'était pas coupée à cause d'avaries sur les bouilleurs pendant la mission de 6 mois en ZMOI, ce qui n'était pas rare ...
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Nous avions donc apprécié la présence des "boys" lors de notre séjour de 3 mois sur Diégo-Suarez, même si ce terme, rappelant d'autres époques pas si lointaines, pouvait déjà choquer à l'époque, des civils comoriens pour la plupart qui lavaient tout le linge de notre poste (il devait y en avoir un "boy" par poste et à la cafétéria sur certains bateaux) et leur travail était toujours nickel en ce qui me concerne et à des prix défiants toute concurrence...
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En fait, chaque membre du poste équipage lui versait la même somme en francs FMG mensuellement, je crois.
Ils couchaient à bord dans les postes équipage et descendaient à terre comme nous, avec l'inspection des permissionnaires en moins...
..., lors des escales aux Comores d'où ils étaient originaires, mais peut-être lors d'autres escales également, je ne m'en souviens plus, situation impensable de nos jours...
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