par Les désarmements antérieurs se faisaient de façon succinte et à vrai dire à minima. Exemple de l'ex Rhône qui , désarmé à Lorient, a été remorqué à Brest, près de la Loire pour récupérer les rechanges encore à bord au profit des navires en service.
A présent,depuis la sinistre affaire du Q 790 la conduite des désarmements se fait de manière très stricte tant sur le plan environnemental que de celui de la valorisation des rechanges et autres matériels. Nous n'avons plus les moyens de nous permettre de gaspiller, alors nous poussons très loin cette valorisation. A Brest, sous les ordres d' Alfan, nous appliquons une méthodologie rôdée sur l'ex "d'Entrecasteaux" et enlevons tous les matériels ou installations récupérables ou qui entraineront à moyenne échéance des risques pour le personnel ( les mâts et les antennes se dégradent vite sans entretien et parfois tombent, pouvant provoquer des accidents mais aussi des percages de pont d'ou entrée d'eau).Le second volet consiste à étancher de manière pérenne la coque, c'est facile pour les oeuvres vives, un peu plus compliqué pour les superstructures. Enfin, à présent les coques doivent être présentables pour la vente future et ne plus être les "poubelles" que l'on a connu; les prélèvements sont faits sous contrôle serré de la base navale et il n'est plus question de transformer les navires en fin de vie en exhutoire de défoulement. C'est une forme de respect du à des navires qui ont servi et sur lesquels beaucoup de marins ont oeuvré
A présent,depuis la sinistre affaire du Q 790 la conduite des désarmements se fait de manière très stricte tant sur le plan environnemental que de celui de la valorisation des rechanges et autres matériels. Nous n'avons plus les moyens de nous permettre de gaspiller, alors nous poussons très loin cette valorisation. A Brest, sous les ordres d' Alfan, nous appliquons une méthodologie rôdée sur l'ex "d'Entrecasteaux" et enlevons tous les matériels ou installations récupérables ou qui entraineront à moyenne échéance des risques pour le personnel ( les mâts et les antennes se dégradent vite sans entretien et parfois tombent, pouvant provoquer des accidents mais aussi des percages de pont d'ou entrée d'eau).Le second volet consiste à étancher de manière pérenne la coque, c'est facile pour les oeuvres vives, un peu plus compliqué pour les superstructures. Enfin, à présent les coques doivent être présentables pour la vente future et ne plus être les "poubelles" que l'on a connu; les prélèvements sont faits sous contrôle serré de la base navale et il n'est plus question de transformer les navires en fin de vie en exhutoire de défoulement. C'est une forme de respect du à des navires qui ont servi et sur lesquels beaucoup de marins ont oeuvré
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Ceci fera sans doute le bonheur des brestois, mais du point de vue de la rentabilité et de la gestion opérationnelle à moindre coût, c'est une autre paire de manches..... 
