Des têtes connues, Girot ici en OE1 qui a fini sa carrière sur le Berry, son fils avait embarqué comme EV2 appelé "officier de détail", et aussi Ferriol de mon BE en 65.
Et le jovial La Fauche.
Mais pour d'autres il va falloir réfléchir longtemps avant que les noms ressortent des limbes mémorielles.

Une autre particularité des Bormettes était que l'inspection des permissionnaires y était quasiment inexistante, du moins pour les cours de QM (pas de souvenir pour le BE, mais à l'époque, encore sous durée légale, les sorties étaient rarissimes).

Revu avec émotion mon camarade Bonnet, Jean-Baptiste.
J'ai malheureusement assisté aux obsèques en septembre 2019.
Ainsi va la vie.

Hé oui boboss, que l'on veuille on non, nous faisons maintenant partie des "vieux".
Quand je regarde mes anciennes photos de BE, cours de chouf et BS, je m'aperçois comme toi que nombre de ces anciens camarades et parfois amis ne sont plus là aujourd'hui.

A propos de mon BE en 61/62, voici tous les élèves de cette promo :

Aux Bormettes, BE radio 1961-1962.
En haut à droite, Nadjar un élève libanais.
A l'époque, il y avait aussi des élèves cambodgiens aux Bormettes.
Au milieu de la photo, il y a deux binoclards : je suis celui de droite.
C'est KELLE qui est sorti major de cette promo : tout en haut, 2ème à partir de la gauche (si ma mémoire est bonne).
Je l'ai revu à Kerlouan dans les années 96/99.
Il était civil et il était chargé de rédiger les notices techniques pour le nouvel émetteur MF.
Les deux élèves (ex) Sénégalais (N'Doukou et Camara ?) nous avaient expliqué qu'après l'indépendance du Sénégal, ils avaient dû choisir la nationalité française pour faire carrière dans notre Marine Nationale.
Certains de leurs camarades avaient choisi la nationalité sénégalaise pour servir leur pays et portaient donc le pompon vert.

Pas de souci, on te reconnait bien
Sur le Clemenceau, en 1967 et plus il y avait un SM radio Kelle.Je crois qu'il a débarqué pour le B.S.
Philatéliste à ses heures. Ou je confonds.... Avec le temps, il vaut mieux ne rien affirmer. Sacrée mémoire...

Plus je fouille dans mes affaires, plus je trouve des trucs-machins-choses que j'avais complètement oubliés.
Trouvaille du jour, une carte postale de l'école des radios des Bormettes.
Banal me direz vous.
Oui mais celle-ci est en liège !!

Une carte postale ... en liège. Etonnant, non ?

Face arrière de cette carte postale en liège.

Plus courant mais intéressant quand même, les abords de l'école des radios au début des années 60 :

Vous l'avez reconnue, la plage de Miramar à La Londe.
Aujourd'hui, par rapport à cette photo des années 60, le site a certainement beaucoup changé.

Avé à tous .
En 61 j'ai fais le premier cours de chiffreur aux Bormettes. (Nous étions 4, 2 secrétaires, 1 transfiliste et moi, tim, avec un bagage de chiffreur de 7 ans à Prémar IV . Je dois avouer que je n'avais pas de mal à suivre les cours, a tel point que je dormais tous les soirs à la maison au lieu de bucher . Les instructeurs étaient 3, 1 cipal, et 2 PM et un gambi qui venait de temps en temps nous donner des cours d'anglais . Nous avons failli éclater de rire quand il a prononcé le mot 'éléphant' . Pour les collègues qui manies bien la langue de "chèque expire" il y a dans le terme éléphant une syllabe qui doit être accentuée (1ière, 2ième, 3ième ?) quand on la prononce mais il ne faut pas lever la jambe comme il le faisait à chaque fois .
a mourir de rire . C'étais la saison du mimosa et en fin d'après midi nous avions un très long message a déchiffrer pendant que ces messieurs allaient dans la colline chercher du mimosa, de mon coté je déchiffrait dare-dare mon message et les rejoignais pour ramener des fleurs a ma femme .
Je n'ai pas besoin de vous dire que je suis sorti premier, vous l'avais deviné .
Demain exercice dans une ile du Frioul au large de Marseille -
A plus - Roli

Roli, ton anecdote me rappelle celle de l'aspi qui nous donnait des cours d'anglais au cours de QM: Pour la prononciation du chiffre 6, il précisait : "ne dites pas six, dites sex" en s'accompagnant d'un geste significatif de l'avant bras !
C'était par ailleurs un type sympa grâce à qui j'ai obtenu mon certificat d'interprète.

Merci pour vos souvenirs et anecdotes sur les Bormettes !

Max il me semble bien que j'avais envoyé la même carte en liège à mes parents ! Quant à la plage Miramar dans les années 60, que de changements. Tous les ans je viens passer 15 jours/3 semaines dans les immeubles devant la plage et je profite des exercices des bateaux gris et des allées et venues de la "barge" qui dessert L'Ile du Levant.

Les cartes anciennes de la plage de l'Argentière sont encore plus impressionnantes. Quand on se souvient de l'accès facile depuis l'Aubette....maintenant il faut se faufiler à travers le béton....mais on peut encore passer!!!

Avé à tous .
Vers la fin du stage de chiffreur il y a un exercice avec l'OTAN et pour finir en fanfares les pontes veulent que nous participions à l'exercice .
Au large de Marseille il y a les iles du Frioul et la veille de l'exercice nous voilà en route vers une petite ile ou il n'y a qu'un seul bâtiment . Un quai
de quelques mètres et nous débarquons avec nos bagages et deux grands coffres . Dans un coffre l'adonis et les documents et dans l'autre coffre, entre autre, il y a des rations de guerre pour quatre jours .
Le cipal qui nous accompagne nous donne les consignes et les renseignements que nous avons a connaître et il reprend le chemin des Bormettes .
Nous voilà tout seuls pour créer une station (je ne me souviens pas de l'indicatif de la station) Tout est installé et demain a 0800 début de l'exercice pour nous .
Visite des WC degueu, a nettoyer . La douche: pas de douche mais un robinet dehors, laisser couler l'eau pour la rendre potable . On range les rations....pas de vin mais il y a un robinet dehors . Je cherche une glace pour me raser: pas de glace, je cherche dehors et coup de bol,
je trouve un morceau triangulaire de 10/3 qui fera l'affaire Renard et Dron pas de rasage, Le Merec et moi: oui .
Résultats des courses la station a bien fonctionnée et nous avons déchiffré tout les messages que nous avons reçus de Premar III .
Nous étions sur une ile déserte un peu comme étaient les marins du Bounty mais sans les vahinés .
Je m'en souviendrais de ces 4 jours -
A plus - Roli

Bonjour à tous !

Je ne retrouve pas de post où l'on parle des effectifs de l'école des radios:

Quelqu'un peut-il donner des informations précises pour les années 60/70 ( sinon "à la louche") en ce qui concerne les Radios :

- Effectifs total des escouades pour un stage BE de 4 mois ( Appelés, EVDA,Inscrits maritimes)

-Effectifs pour les élèves étrangers (Algériens, Marocains, Tunisiens et autres éventuels)

-Effectifs pour les cours de Choufs et BS

-Effectifs pour les autres cours (chiffreur etc.)

Effectifs des permanents (officiers, OM, QM et matelots)

Merci d'avance!

Jean-Pierre, je possède le CD photos édité par l'Amicale des Anciens Marins de La Londe-les-Maures après le rassemblement des anciens élèves de l'école des Bormettes en mai 2004.
Je viens de le consulter : de nombreux documents intéressants retraçant l'historique complet et détaillé de l'école, les différents cours, des articles de presse, des photos, etc mais rien, absolument rien, sur les effectifs.
Tu as raison de poser cette question mais peu de gens aujourd'hui doivent être capables d'y répondre. Bonne chance !

A propos des élèves étrangers : j'ai également connu des cambodgiens et des éthiopiens.

Jean Pierre Martin, pour "des informations précises", ça me parait plutôt compliqué !
Ayant effectué mes 3 cours aux Bormettes, je pense me souvenir qu'au BE, nous devions être une trentaine, toutes origines confondues, au cours QM, environs 25 et au BS, 24.
Je n'ai pas de souvenir de stagiaires étrangers au BE et au CQM, mais au BS il y en avait 6 : 2 Tunisiens, un Libanais, 1 Mauritanien, 1 Marocain et 1 Sénégalais.
A l'époque de mon BE (fin 63-début 64) Il y avait un cours qui débutait chaque mois (sauf Juillet et Août) et le cours durait 4 mois. Certains cours ne contenaient que des engagés, en particulier celui qui commençait en Septembre et qui concernait les mousses et les maistranciers . D'autres, comme celui que j'ai raccroché le 1er Octobre pour cause de maladie, regroupaient un joyeux mélange de toutes les origines possibles ! Mais la formation était strictement identique pour tous.
En ce qui concerne le CQM (1964), il y en avait 2 par an : Janvier à Juin et Juillet à décembre. Pour le BS, c'était 1 par an, d'Octobre à Juin.
En ce qui concerne les instructeurs, Ils n'étaient pas si nombreux : Chaque BE était encadré par un maître et deux SM, le CQM et le BS par un PM. Le pool des instructeurs se divisait en 2 groupes : Les instructeurs "exploitation" et les "techniques", mais là encore assez peu nombreux (dans mes souvenirs, une dizaine de chaque).
J'espère avoir (légèrement) éclairé ta lanterne mais je ne pense pas avoir de souvenirs plus précis de cette lointaine époque !

Merci Noël ! C'est je pense une bonne appréciation à l'époque où j'y étais aussi (Oct 64/Fev 65)

Toutes les autres réponses à ce post seront les bienvenues.

Je précise que ces renseignements sont destinés à l'association Londaise qui publie périodiquement de bons ouvrages sur la Londe.
Ils permettront de participer au chapitre "école des radios" du futur Livre se rapportant aux Bormettes et au Château Vernet.
Belle soirée à tous

Bonjour à tous,

Deux informations concernant La Londe et les Bormettes que je ne sais où classer, du moins pour le moment :

1 - Le retour de la Marine Nationale (Naval group) annoncé par le Maire de La Londe les Maures, François de Canson sur le site de l'ancienne usine de torpilles dont les bâtiments à l'abandon depuis si longtemps nuisaient au paysage de la commune

https://www.facebook.com/francoisdecanson2020


le message
Une page de la réindustrialisation de la France s’écrit à La Londe les Maures
Le retour de Naval Group à La Londe les Maures, 30 ans après le triste tour de clef de 1993, est un signe fort pour notre ville, notre département et notre Région.
Accueillir le Centre européen leader du drone sous-marin, des systèmes autonomes et de l’intelligence embarquée n’est pas anodin et ne peut s’entendre que sous l’angle de l’exemplarité.
C’est donc le site vitrine de Naval Group qui trouvera ses quartiers au cœur des Bormettes, nous l’avons souhaité avec son PDG Pierre-Eric Pommelet, exemplaire en matière environnementale, technologique et industrielle.
C’est un signe fort, porteur d’emplois et d’activités à l’année pour notre commune, ancrage d’un dynamisme économique durable et complémentaire.
La Ville de La Londe Les Maures a toujours connu un développement équilibré entre viticulture, industrie et tourisme, elle retrouve désormais ce triptyque.
A une époque où l’on parle de réindustrialisation et d’optimisation des friches industrielles, le projet de La Londe apparait comme un fer de lance de la France qui innove, qui s’engage, qui se restructure.
Cela n’a échappé à personne, à l’échelle internationale nous avons changé de paradigme, la France est entrée dans une économie de guerre et nous avons besoin d’une industrie de Défense européenne beaucoup plus forte. Le maillon londais permettra de dessiner la souveraineté française en matière de drones sous-marins.
Vous me connaissez, je resterai attentif à ce que le retour de ces activités de haute technologie soit porteur de progrès et de bien-être pour notre commune et pour ses habitants. Les Londais premiers concernés par cette réimplantation pourront bénéficier d’un bassin d’emplois, d’un front de mer reconquis
et redessiné, d’infrastructures de loisirs, et d’investissements protégeant le port d’un ensablement récurrent depuis la fermeture de l’usine.
Depuis 14 ans j’y ai toujours cru. Depuis le début de mon mandat je me suis battu pour une issue favorable à la réouverture de ce site magnifiquement situé de 22 ha, éloignant systématiquement tout projet immobilier dénué de valeur ajoutée.
L’identité d’exception de notre commune est non négociable.

2 - la vente d'appartements dans notre ancien château Vernet pour les nostalgiques qui souhaiteraient "investir" sur le site des Bormettes.


Appartement à vendre2 pièces - 44,80 m2LA LONDE LES MAURES - 83
Ref : 2073
382 800 €
• Honoraires charge vendeur




•
•
•
•
Envoyer un message
Téléphoner à l'agence
Description
LA LONDE LES MAURES -Côte d'Azur Varoise- CADRE DE DEFICIT FONCIER -Promontoire exceptionnel à proximité de la plage de l'Argentière-En toile de fond un château acquis au milieu du 19ème siècle par Horace Vernet peintre militaire célèbre. Le Château Horace Vernet va faire l'objet d'une restauration minutieuse sous le contrôle de l'architecte Jacques Repiquet et de son équipe de maîtrise d'œuvre. Un soin particulier sera apporté au traitement et à la mise en valeur des éléments anciens. Le projet consiste en la restauration complète du Château et l'aménagement de 14 logements aux caractéristiques uniques dans un environnement privilégié chargé d'histoire. Le parc fera l'objet d'un aménagement paysager se mêlant à son environnement. La restauration du Château offre la possibilité de profiter du dispositif Déficit Foncier et d'acquérir un bien d'exception-Un soin particulier sera apporté au traitement et à la mise en valeur des éléments anciens. Décliné du studio au 4 pièces. La livraison du programme est prévue sous réserve pour le 4ème TR.2024. Nous proposons un deux-pièces de 44.80m2 env. au rez de chaussée complété par 2 parkings-
Selon la grille de prix actuelle 382 800 €-
nous notons isolant demi-stil avec laine minérale- sol béton armé sur plateforme compacte- Chutes d'eaux pluviales en zinc-Equipement électrique norme PROMOTELEC- visiophone à défilement nominal- cuisine aménagée-
Investissement exceptionnel! Faisons revivre l'Histoire!

Bon été à tous

Bravo au maire de la Londe pour le futur domaine de Naval Group dans l'ancienne usine à torpilles, que je n'ai pas fréquentée... mais en 72 au cours de chouf, je sortais avec une jolie petite eurasienne dont le père y travaillait !!

Pour le 2 pièces au château Vernet, faut juste avoir gagné au loto... le prix d'un manoir en Bretagne !!

Salut les "Tac Tac",
Je vous transmets une photo d'un ami des sous-marins , Jean Jacques Thibout, que certains auront peut être connu !
Sortie de BE du 7 /07/1967
Amitiés, Guéna

En faisant des recherches sur internet, j'ai lu que le cuirassé Henri IV a abrité une "école de radio" de 1920 à 1921 (après sa mise en réserve).

Merci pour l'info, Nono. Encore plus ancien, l'Amiral Tréhouart :

Extrait du CD photos réalisé par l'Amicale des anciens marins de La Londe-les-Maures en 2004 à l'occasion du rassemblement des anciens élèves de l'école des radios des Bormettes.

Pour Beuret,
A l'époque j'étais au Centrans la Possession, je crois me souvenir que Batany est décédé dans les bras de l'ami Legallo, Me Radio.
J'étais également présent en l'église du Port des Galets pour la cérémonie, lors de laquelle un amiral, je ne me souviens plus lequel était arrivé en trombe, sortant tout juste de l'avion qui l'amenait de métropole. Très émouvant. Je me rappelle de détails que m'avait raconté Legallo, que je n'exposerai pas ici.
Pour le retour en métropole, j'ai d'ailleurs pris le cotam avec Legallo, pas triste, il avait la valise attachée au poignet, dont on l'a débarassé à Djibout, en nous emmenant, pour finir de nous "démolir" à la buvette... Je ne me rappelle plus comment nous sommes remontés dans l'avion.
J'ai revu une dernière fois Legallo à l'ile du Levant, bien des années plus tard, il raccrochait la casquette et repartait s'installer définitivement à la Réunion.

Bien amicalement
TUR2

A propos de Batany
Je suis sûr à 99 % d'avoir fait le BE avec lui.

BE radio 1961-1962 aux Bormettes
J'arrive encore à mettre un nom sur certains visages mais pas tous :
Menut / Massart / Girma / Kelle, sorti 1er du cours, 2ème en haut à gauche / Nadjar, le Libanais / N'Doukou et Diallo, deux Sénégalais qui ont choisi la nationalité française au moment de l'indépendance / Mariotti, etc
Je suis au 2ème rang, presque au milieu.
Pour Batany, j'ai un doute.

Chaque matin à 10H00, nous avions une pause casse-croûte. Au menu, toujours la même chose : un morceau de pain sec avec une barre de chocolat noir ou une portion de Vache-qui-rit. De nos jours, cela peut prêter à sourire mais cette petite pause casse-croûte était pourtant très appréciée de tous. Le ciel étant (presque) toujours ensoleillé, nous allions nous installer au pied des cyprès ou au bord du terrain de foot. C'était également la pause "derniers potins de l'école".

Les affectations de sortie de cours nous furent communiquées la veille de proclamation des résultats :

4 places embarquées à Brest
5 places à terre à Brest et Lorient
4 places embarquées à Toulon
6 places à terre à Toulon ou sa région
5 places pour les sous-marins
7 places pour l'Algérie
1 place pour Tahiti
1 place pour Nouméa
1 place pour la Martinique

Pour Tahiti, Nouméa et la Martinique, il fallait s'être porté "volontaire campagne" avant la fin du cours ... mais pas pour l'Algérie !
Je suis sorti 6ème sur 34. Evidemment, les deux "volontaires campagne" placés avant moi ont choisi Tahiti et Nouméa.
Pour rappel, le cessez-le-feu en Algérie a été signé durant notre BE.

Salut Max, sympa ton cours de BE !!! J'ai connu Menut, que j'ai remplacé sur le PR Verdon quand il est passé patron, en 71. Girma, dit "P'tit Gigi" , on a fait le BS ensemble au premier BS Radio à Chalingrad ... pour Mariotti je crois que je l'ai connu sur Papeete ou il devait être au Service Ter... par contre je ne les reconnais pas sur la photo!!!

jeanpic, pour te rafraichir la mémoire :

Au milieu, les oreilles légèrement décollées, Menut.
A gauche, avec des lunettes teintées, Mariotti.

Tout en haut à gauche, Girma.
Je suis en bas à gauche.

Merci Max... excellente mémoire... que je perd doucement.
C'est vrai que tout ce petit monde était aussi plus jeune... donc moins facilement reconnaissable...ça fait du bien de revoir les copains !!!

On reprend les mêmes, trois ans plus tard au cours de chouf, toujours aux Bormettes :

29ème Cosaque
Premier semestre 1965
En bas à droite, Mariotti.
Au milieu, 2ème à droite, Menut.
Ceux de ma génération reconnaitront également Fautrel, Le Faucheur, Périn, Malléjac, Jégou, Thiriet, etc.
L'homme au képi, c'est un douanier tunisien, super sympa.

Photo Max Péron
1965 le soir, étude obligatoire.
Debout au fond de la classe, Mariotti.