par Je sautais en parachute avec ce lourd appareil sanglé dans une gaine EL 32 (si je me souviens de la référence) tout comme les accessoires, câbles et brins d'antenne que je larguais en l'air et cette gaine assez lourde pendait sous moi car rattachée à mon harnais par une drisse de 7,5 à 8m, quand le colis touchait le sol il faisait office d'ancre et dans la seconde suivante je touchais le sol d'une manière toujours bien souvent différente qu'un saut dit d’aumônier.
Les autres fardeaux, la gégène GNT, son trépied et quelques piles de rechange pour les C10 de la compagnie étaient répartis avec les autres gars de la section de commandement, dont même le pacha et le second souvent m'en prenait une. Sachant que ces piles là, on en aurait bien besoin et démontreraient ainsi que les transmissions sont nécessaires, avec un bon matériel servi par un excellent opérateur (je me balance des fleurs, ça ne peut me faire de mal) pourraient à l'occasion rendre de bien grands services.
J'ai souvent crapahuté avec, avant qu'on ne passe à du matériel plus sophistiqué, j'en ai toujours assuré les liaisons en A1 ou A3 plus ou moins distantes, et ce sans PB, c'est comme tout, une fois qu'on sait l'utiliser, on en tire la quintessence. J'avais récupéré une lampe néon et lors des réglages avant liaisons elle s'éclairait, aussi je voyais une légère satisfaction dans les yeux de nos cocoyes.
Les autres fardeaux, la gégène GNT, son trépied et quelques piles de rechange pour les C10 de la compagnie étaient répartis avec les autres gars de la section de commandement, dont même le pacha et le second souvent m'en prenait une. Sachant que ces piles là, on en aurait bien besoin et démontreraient ainsi que les transmissions sont nécessaires, avec un bon matériel servi par un excellent opérateur (je me balance des fleurs, ça ne peut me faire de mal) pourraient à l'occasion rendre de bien grands services.
J'ai souvent crapahuté avec, avant qu'on ne passe à du matériel plus sophistiqué, j'en ai toujours assuré les liaisons en A1 ou A3 plus ou moins distantes, et ce sans PB, c'est comme tout, une fois qu'on sait l'utiliser, on en tire la quintessence. J'avais récupéré une lampe néon et lors des réglages avant liaisons elle s'éclairait, aussi je voyais une légère satisfaction dans les yeux de nos cocoyes.
Dernière édition par 3eme ligne le Sam 16 Mai 2015 - 23:22, édité 1 fois
en tant que Radio, j'ai piqué, brossé, peint, escaladé, participé aux corvées de vivres, été investigateur de pointe avec fenzy et tout le toutim. Ben un peu comme tout le monde. Mais, c'est selon les affectations. Il faut dire que sur un PA, par exemple, nous avions tellement de locaux répartis dans tout le bord, qu'on était pratiquement toujours concernés par des inspections de tranche, les antennes et leurs boites, même tabac, tu te rappelles les antennes fouet dans la mature ? Et la graisse verte 
? Le lino du sol, les taches de peinture, les boulons grippés, c'est fou ce qu'on apprend dans la marine en matière de nettoyage et d'entretien, du sol au plafond, le bois, les métaux et autres moleskines chères à nos postérieurs, on est capable de tout nettoyer, même quand on est radio ! Des vraies fées du logis 
