Je suis accompagné du nouveau "bidel"
Chef baleinier
TEKORI (orthographe ?)
Attention on beach... sur la gauche on voit bien que le platier est à nu, le corail fut arraché lors des cyclones.
Le "bidel" son premier débarquement par baleinière sur un atoll (lui est équipé de pataugas)
Accueil par le chef de poste et sa vahine, on voit bien la montagne de coraux arrachés du platier. J'ai des pataugas (récupérées dans le caisson de mon prédécesseur)
L’équipage débarqué afin d’activer la manœuvre ,à droite en combinaison le S.M. mécan AIRIMA
Entre deux baleinières, petite pause touristique...
On distingue "la montagne" de coraux arrachés du platier
Les sacs de coprah en attente d'embarquement, normalement on ne les prend pas, ceci est réservé aux goélettes, je n'ai plus souvenir si on a pris ces sacs.....
Lors de divers ravitaillements d'atoll on m’envoyait au point de débarquement afin de servir de liaison.
Dès ma première mission, j’ai été désigné pour ce poste, «
...vous connaissez les polynésiens, ainsi que les baleiniers, vous avez déjà effectué des débarquements quand vous étiez sur le DIVES cela n’aura aucune difficulté pour vous,... » ( en effet, certains gars n’étaient pas chaud pour débarquer sur un atoll en baleinière) , J’étais équipé d’une radio.
Fréquemment une équipe de matelots et Q.M. était débarquée afin de faciliter le déchargement du matériel, ceux-ci n'ayant pas de chaussures spéciales (pataugas par exemple, il ne fallait pas y toucher car réservées au corps de débarquement...) prenaient leurs chaussures de sortie, au bout de quelques heures dans l'eau de mer elles étaient dans un triste état.
J'ai demandé que l’on rédige une demande d’habillement afin de remplacer leurs chaussures de sortie réponse négative de la part de l’O2 « Bobby » ; et que l'on délivre des pataugas pour ces corvées, non et interdiction de toucher au stock.Après ce ravitaillement on se dirige à HAO. (à suivre)
par 
matelot 
