Vous me faites trop d'honneur, les gars !
JBY, j'apprécie beaucoup ta citation.
L'humour anglo-saxon me ravit toujours.
Mais sur le P735, je ne descendais pas au carré ; d'abord parce qu'étant simple QM2, je n'y avais pas accès ; ensuite, parce qu'il n'y avait pas de carré.
Les repas, petit déjeuner inclus, se tenaient sur le spardeck.
Au centre, le pacha et le second, servis par leur boy (j'ai honte aujourd'hui d'employer ce mot) ; à tribord, les OM, servis par leur boy (même remarque), à bâbord, l'équipage, servi par Napoléon (là, malin comme je suis, je n'ai pas utilisé le mot boy, mais Napoléon était le nôtre).
La motogodille Goyot ; que la peste l'emporte, était révisée tous les jours par les mécanos.
Tous les soirs, on partait en embuscade, bercés par le put put put du moteur, et tous les matins, on revenait à l'aviron parce que cette saleté refusait de démarrer après une nuit passée à la belle étoile.
JBY, j'apprécie beaucoup ta citation.
L'humour anglo-saxon me ravit toujours.
Mais sur le P735, je ne descendais pas au carré ; d'abord parce qu'étant simple QM2, je n'y avais pas accès ; ensuite, parce qu'il n'y avait pas de carré.
Les repas, petit déjeuner inclus, se tenaient sur le spardeck.
Au centre, le pacha et le second, servis par leur boy (j'ai honte aujourd'hui d'employer ce mot) ; à tribord, les OM, servis par leur boy (même remarque), à bâbord, l'équipage, servi par Napoléon (là, malin comme je suis, je n'ai pas utilisé le mot boy, mais Napoléon était le nôtre).
La motogodille Goyot ; que la peste l'emporte, était révisée tous les jours par les mécanos.
Tous les soirs, on partait en embuscade, bercés par le put put put du moteur, et tous les matins, on revenait à l'aviron parce que cette saleté refusait de démarrer après une nuit passée à la belle étoile.