par † Maxi Ven 19 Avr 2013 - 16:58
Merci à tous, et particulièrement à larcher, Lulupam29 et Jobic. La cause est entendue : le Riche carburait au mazout (si tant est que les mécanos aient eu besoin d'un carburateur). Par contre, je me souviens très bien de ces corvées de charbon. On appelait ça "la bataille de fleurs". On transférait des briquettes de charbon de 5 ou 10 kg (impropres à un barbuke, même géant), depuis un train stationné sur le quai, jusqu'au bâtiment en question. Et il fallait au moins dix douches pour faire disparaître la poussière de charbon incrustée autour des ongles, des yeux et des narines. Alors, du coup, je pense que l'un de vous a raison : c'était soit pour le chaland chauffeur à couple, soit pour l'Albatros (sur lequel j'ai d'ailleurs embarqué pendant mon BE détecteur pour une virée Toulon-Ajaccio et retour).
Pour la devise, je reste donc sur 'les vents du sud". Mais je vais fouiller les forums traitant du cardinal, car je ne vois toujours pas ce que Richelieu avait à foutre des vents du sud.
Pour l'anecdote citée par Larcher, je devrais en être logiquement l'auteur, car c'est un souvenir personnel du temps où on faisait visiter le Riche aux touristes, le dimanche, à Toulon. Nous étions trois matelots détecteurs à bord, et c'est l'un des deux autres, alors que j'étais à côté de lui, qui a balancé la vanne. Je l'ai racontée sur Anciens cols bleus, dans je ne sais plus quel forum.