Je suis toujours très ému en repensant à cette journée. J'étais en petit blanc, accompagné de ma femme et de mes trois enfants pour assister au départ du Victor. Nous étions les seuls vasa au milieu d'une foule dense de malgaches tous aussi émus que nous. Après le concert des coups de sirène de l'A.E. et quand il était pratiquement hors de vue, nous avons commencé lentement à nous éloigner de la statue et c'est à ce moment là que certains et certaines sont venus nous serrer dans leurs bras étonnés de notre présence.
La fin de mon séjour a été aussi fabuleuse qu'avant. J'ai continué l'apéro à l'hôtel de la Marine avec le C.C Saget qui lui était en uniforme Malgache. Et tous les jours je cassai la croûte avec des officiers malgaches qui acceptaient volontiers le whisky dont j'avais fait une bonne provision lors de la toute dernière escale de la Garonne.
Tous les lundi matin j'allais me présenter au commandant de la marine malgache avant de rejoindre mon bureau et ma fidèle secrétaire : Noeline
Mais il y aurait encore tellement de choses à raconter.
Veloma à tous
JP

Bonjour à tous,

Pour faire suite à l'article du "Képi Blanc" de mars 64 (mis en ligne par JC BAUD que je remercie), j'ai retrouvé quelques photos complémentaires dans les archives (quoi que, je n'hésite pas à "remettre" les mêmes que dans la revue, les dimensions et définition étant meilleures).

Manifestement, le reportage avait été effectué par le "labo photo" de la BAN soit en fin 63 comme donné par les archives soit en début de 64 comme le laisse présager le rédacteur de l'article.
D'autre part, dans les archives (même enveloppe, même référence, même date générique 1963) il y a peut-être eu de rajoutés, quelques vues prises plus tard, les travaux semblant avoir nettement progressé... (pour info, je les présente grossièrement dans le sens qui me semble chronologiquement le plus vraisemblable, quoi que...)

Et maintenant, ces remarques posées, entrons dans le vif du sujet...

Nous connaissons tous la rigueur de la Légion, en voici une nouvelle preuve, sommaire peut-être mais tout est "carré" dans l'installation des légionnaires pour la durée des travaux dans le hangar aviation de la Base.

Spoiler:

A suivre,

Merci Roger 56 pour tes recherches..
Les photos ont une meilleure définition

Suite MSG N° 89 - Page 9.
Quelques vues de 1963/1964 sur les travaux engagés a la BAN Andrakaka pour la création d'un parking bétonné et d'une piste d'atterrissage en " dur ".

Bonsoir,

Pour JC BAUD, les " originaux " sont toujours de meilleure qualité que des " vues " de presse. Par contre, ces extraits de journeaux sont incomparables par leur documentation sur l'événement et automatiquement par l'intérêt qu'ils suscitent - Bravo de nous en faire bénéficier.

Une deuxième série de la même source, le Service Historique de la Défense, Marine Lorient, dépositaire des archives de Diégo-Suarez (du moins ce qu'il en reste... Rien avant 1944/1945 - détruites lors de l'attaque anglaise !).

Spoiler:

A suivre,

Suite MSG 89 (page 9) & 91 (page 10).
Quelques vues datant de 1963/1964 sur les travaux engagés à la BAN Andrakaka pour la création d'un parking bétonné et d'une piste d'atterrissage en "dur".

Bonsoir,

Une troisième série de 6 vues glanées au Service Historique de la Défense - Marine Lorient.

Spoiler:

A suivre...

Roger

As-tu l'autorisation de mettre en ligne ces photos du musée ?

Voir dernier message ici : https://www.anciens-cols-bleus.net/communications-generales-f43/photos-marius-bar-et-autres-t8761.htm

Bonsoir Fanch,

Affirmatif. Attention, ce n'est pas un musée mais le Service Historique de la Défense dont un des buts est de faire "vivre ou revivre" les archives pour faire connaitre, rapeller ou préciser les actions des forces armées...
J'ai donc demandé s'il était possible de faire apparaitre des documents dans le forum ACB et dans quelles conditions.

Tous les documents présentés doivent impérativement être authentifiés comme appartenant au SHD - Marine Lorient avec leur référence (classement).
Nota : Ce qui est fait dans la trame de chaque photo avec en plus, la date (si possible), le lieu et le contexte de la prise de vue...

D'autre part, la parution de ces documents se doit d'être gratuite...

Pour te tranquiliser, lors de ma prochaine visite (début de semaine prochaine), je relancerais la question.

Roger

PS : pour mémoire, lors de la parution d'un 1er usage, un des responsables de l'accueil visiteurs s'était branché sur ACB pour vérifier le suivi des règles. Pas de remarque particulière.

Jollé Guy J'ai été affecté à Andrakaka de juillet 1962 à août 1963 comme mécano du service général .Auparavant j'ai été affecté au centre auto de Diègo-Suarez magasinier pièces détachées automobiles de juillet 1961 à 1962 .J'ai passé mon permis de conduire militaire VL et Pl durant mon séjour au centre auto .
est-ce que je pourrais savoir comment fait -on pour joindre des photos .J'ai fait un essai celà ne me parait pas concluant .Merci d'avance Guy

Suite MSG 92 (page 10).
Quelques vues datant de 1963/1984 sur les travaux engagés à la BAN Andrakaka pour la création d'un parking bétonné et d'une piste d'atterrissage en "dur".

Bonsoir,

La quatrième et dernière série de vues glanées au Service Historique de la Défense - Marine Lorient.

Spoiler:

Après ? Une superbe piste en dur et un parking spacieux (description à venir).

Bravo à la Légion. Sa réputation de "batisseurs" n'est pas surfaite.

Bonjour désolé mais il n'y avait ni dessin ni insigne sur le C47 en provenance d'Indochine à son arrivée à Andrakaka

Bonjour,
merci pour cette précision
L'appareil a du subir une "cure de jouvence" avant d'arriver à Mada ...
A +

Photo concernant l'équipage de la base d Andrakaka année 1962 1963
De la part de Jollé Guy Salut .En espérant que j'ai réussila mani (essai )

Cette fois ci c'est OK mais j'ai fait deux fois Guy

Félicitation Guy d' avoir réussi à mettre la photo de la BAN ANDRAKAKA. Domage que tu n' as pas mis les noms. Peut etre que quelques uns se reconnaitrons.

Bonjour Roland .Merci pour les félicitations La manip n'est pas compliquée je vais te l'envoyer par courriel Effectivement j'aurais dû mettre des noms au moins ceux qui me reviennent mais celà fait tellement d'années .Dommage que je n'ai pas eu l'idée de faire celà à l'époque de notre présence à l'unité marine de Diègo car cette photo est prise dans l'enceinte marine après je pense à une inspection Toi de ton côté tu as peut-être des noms grâce à ta situation familiale , moi j'étais célibataire .A deux on pourrait résoudre le pb Salut Guy

Bonsoir Pour Roussel je vais un peu raconter ma présence sur la base d'Andrakaka en 1962 /63 mais suivant les photos de Pastre Robert j'ai quand même des lacunes concernant les batiments celà a du changer en 10 ans .C'est quand même interressant de revenir pour moi à plus de 40 années en arrière . Donc voici des souvenirs .De bon matin vers les 5h30 nous prenions la barcasse à la DP pour arriver à Cap Diègo Nous rallions la base en petit camion en traversant le bouzac sur une piste . Arrivée sur site avant le boulot nous jouions au volley dans un hangar aviation près du batiment où nous logions et qui nous servait pour nous changer et aussi pour le service (Dortoir )En bout de ce batiment il y avait un petit local dans lequel se trouvait un petit groupe electrogène ( grand mot ) Si mes souvenirs sont exacts c'était un petit moteur Bernard accouplé à une génératrice .Le soir de service après avoir fait le plein d'essence du réservoir on le mettait en fonction On soupait et ensuite on tapait le carton ( tarot ) jusqu' à épuisement du carburant donc tard dans la nuit .Donc extinction des feux Les nuits étaient courtes vous pensez bien .Nous avions les provisions au frais grâce à un frigo qui marchait au Pétrole Les bières appelées Capok ( orthographe à revoir peut-être Bière en boite) étaient fraîches quand celà fonctionnait bien .Nous n'avions pas d'autre divertissement sur base naturellement comme je lisais plus haut .Nous travaillions donc le matin et ensuite vers 13 h sens inverse direction Cap Diègo , D/P et pour finir unité marine Les après midi était libres bonne vie pas vrai . Les soirées étaient mouvementées souvent fois .Rue Colbert (la taverne et ainsi de suite ) Tanambo 5 chez Jacques .Nous faisions taratas et en fin de mois on venait régler nos dettes . Drole de mine naturellement Enfin ce serait un bouquin Salut Guy

Salut Guy JOLLE, comme précisé sur un message précédent, aucun avion ne s'est posé a Andrakaka de Juillet 64 a Juillet 66, et je me pose des questions de savoir (vu la photo de groupe postée), que faisait un si important contingent de Marins a Andrakaka de 1961 a 1963 .
Ayant été rapatrié le 6 Juillet 1966 a l'issue de ma Campagne, je suis parti de Diégo d'ARACHART avec un DC3, sur Tana. et le lendemain,embarqué sur un DC6 direction Paris via Djibouti pour escale technique.
Il y avait aussi,un DC4, qui faisait les liaisons entre Tana. et Diégo pour les grands Pontes comme l'Ambassadeur,le Com.Sup de l'océan indien etc...et le rapatriement de personnels civils, mon épouse est partie avec ce zinc de Diégo d'ARACHART aussi en Juin 1965 sur Tana, puis a pris une ligne civile pour rentrer sur Paris.
Je pense etr espère que tu donneras des précisions sur votre activité a Andrakaka , de 1961 a 1963.
Bien cordialement et Amitiés a tous les TAMALOUS.

Mon départ de Diego d'ARACHART en Juillet 1966

hé oui Loulou 83 moi non plus je n'ai pas vu d'avion se poser sur la base d'Andrakaka Il se posait si je ne me trompe à Arachart D'ailleurs j'ai passé un W.E. à Tana et c'est d'Arachart que nous avons décollé Je dirais peut-être des bétises car celà fait tant d'année que l'avion en question était un Junker (Tole ondulée ) Pour te répondre sur la question du personnel qui se trouve sur la photo il a des gars de l'armée de l'air et nous du service général .On s'occupait de l'entretien de la base , des véhicules ,du garage ,du local où se trouvait un groupe électrogène ( je pense à un moteur Baudouin ) Nous le lançions pour controle toutes les semaines et il servait pour alimenter la base .Il y avait aussi une vedette marine .Tout celà est vague .Peut-être il y aura quelqu'un qui me tiendra au courant et me permettera de me rappeler des souvenirs .

Cher Guy .Sur la photo du personnel de la BAN Andrakaka que tu as mis sur le site , il y a du personnel de l' aéro naval et du service général et non de l' armée de l' air. Mais par contre il y avait 3 ou 4 personnel de l' armée de l' air à la BAN qui s' ocupaient de la station Gognio.. Du temps ou j étais à la base le seul avion que nous avion était un DC 3 et il se posait de temps en temps à Andrakaka. Mais il allait faire ses révisions à Tana. Dailleurs une fois je suis parti avec eux. A ce moment la piste n' était pas encore bitumée, ce qui fait quand l' avion décollait il y avait un nuage de poussière de terre rouge ,Avant mon arrivée il y eu également un Junker, mais hélas il s' est craché à Nosy bey lors d' un voyage de sortie de famille. Mais ce crach ne fit pas de victime.Par contre l' avion était perdu..A la fin de mon séjour il y eu les débuts des travaux pour la réfection de la piste d'envol. Ces travaux étaient effectués par la légion étrangère.Et c' est dans un camion de la légion que ma voiture a fini sa vie, une peugeot 203.Elle est restée en épave à Andrakaka. Peut etre que nos successeurs l' ont vu.Une autre fois je remettrais la photo que tu as mis , mais avec tous les noms. du moins ceux dont je me souvien. Amitié à tous les anciens de la BAN Andrakaka

Bonjour à tous,
Loulou 83 a écrit dans son MSG N° 311 (page 32) :
"Salut Guy JOLLE, comme précisé sur un message précédent, aucun avion ne s'est posé a Andrakaka de Juillet 64 a Juillet 66, et je me pose des questions de savoir (vu la photo de groupe postée), que faisait un si important contingent de Marins a Andrakaka de 1961 a 1963."

Je vais tenter de fournir quelques pistes de réponse.
Tout d'abord, des travaux très important ont été effectués sur la base de 1962 à 1965. A savoir, piste en dur avec un allongement conséquent, construction d'un parking bétonné (avec éclairage). Ceci explique l'absence de mouvement aérien à Andrakaka. Pour info, si vous allez sur les pages précédentes vous y trouverez des "vues" prises pendant les dits travaux effectués principalement par la Légion (3ème REI).

Pour la partie "important contingent de Marins à Andrakaka..."

En fonctionnement disons "habituel" à partir, approximativement, des années 58/60 de la Section Liaison Madagascar (SLM) / BAN Andrakaka, l'équipage se composait environ de + ou - 18 agents de différentes spécialités avec, en supplément, l'Officier d'Etat Major Aéro (faisant fonction de chef de la SLM et du dispositif aéronaval).
Toujours approximativement, le nombre de certains spécialistes ayant pu évoluer suivant les besoins exprimés par le Commandement ou les missions dévolues :
. 6 officiers mariniers volants
(2 Pilav, 2 Mécbo et 2 Radbo/Elbor),
pour la mise en oeuvre du C47 (liaisons, évasan, sar, etc...).

. 8/9 officiers mariniers et équipage aéro (controleur d'aéronautique, mécaniciens avion, moteur, électriciens équipements...) pour l'armement de la tour de contrôle de l'aérodrome, l'entretien du C47, l'équipe de piste (pour l'assistance technique de l'escale sans oublier le ravitaillement essence/huile), le magasin aéro (pièces détachées spécifiques), matériels sécu aéro (chaînes sar...)...

. 3/4 officier marinier et équipage SG (pompier, mécanicien, électricien...) pour l'entretien et la mise en oeuvre du parc auto (camions citernes essences, balayeuses et servitudes, matériel incendie (camions, moto-pompes...), groupe électrogène, balisage de piste, éclairages divers...

Dans les années 70/72, il y avait du boulot pour tout le monde... Entre les dépannages, les entretiens programmmés ainsi que les opérations diverses et variés, nous n'avions pas trop de temps...
Je rappelle les horaires "normaux" de travail, 6h/13h du lundi au vendredi, le samedi de 6 à 12h.

Pour info, ton départ en 66 d'Arachart s'est effectué sur un C47 de l'Armée de l'Air d'Ivato.

Pour Wojtyczka et Jollé, je vous propose de vous rendre page 27, MSG 267 ou vous retrouverez cette photo (mise là par accord du créateur photo) positionnée entre les "volants" de 1962 et 1963. Cela peut vous être une aide pour faire la liaison visage/noms (pour info, à priori, il y a 5 volants sur la photo. Ils sont identifiable grace à leur insigne métallique de poitrine).

J'espère vous avoir été de quelques utilités,

A bientôt de vous lire,

Roger

Bonne lecture.

Pour Roger 56 de la part de Jollé Guy J'avais déjà rejoint la Françe puisque j'ai quitté Diégo par mer sur Le Pierre Loti en août 1963 Autrement merci des renseignements concernant notre emploi sur base et aussi les heures de mise au travail .Je vais faire un essai pour chercher la page 27 MSG 267 A bientôt de te lire Guy

Merci a Roger 56 et a Guy JOLLE pour ces précisions relatives a ANDRAKAKA, je persiste tout de mème a dire qu'il n'y avait de Juillet 1964 a Juillet 1966, aucun Marin en poste a Cap Diégo ou sur la Base , seule la Légion était présente sur ce site, une ou deux Compagnies du Génie pour réaliser la nouvelle Piste, et le "Centre d'Instruction de Débarquement" CID de la Légion pour lequel , nous a la Direction du Port , fournissions les moyens Nautiques pour ces Entrainements et Exercices de type : "abandon de navire" , "Débarquement" ou beatching, "larguage et récupération de Commandos avec Dinghis" etc, nous avions a la DP, 4 LCM affectés a ces taches.
Certains Marins de Batiments de passage a Diégo, faisaient aussi un stage court au CID et certains se souviennent que c'était trés dur physiquement.
Quand au Zinc que j'ai pris de Diégo a TANA en 1966, si vous dites que c'était un C47 , je veux bien vous croire, l'on m'avait dit que c'était un DC3 , Voir photo plus avant sur le post.
Bien amicalement a tous.
Jean-Louis CALLES

Bonjour Loulou83.

Comme toujours, quand on est dans sa "spé" on a tendance à donner le langage "spécifique" du métier... Et cela peut amener des confusions dans l'esprit des non-initiés.

Toutes mes excuses donc. Quand je disais C47, c'est l'appellation officielle "MILITAIRE" du DC 3 qui est l'appellation normalisée "CIVILE". Souvent aussi cet appareil apparait sous la dénomination "DAKOTA".

Pour faire simple (bien qu'il y ait quelques variantes...), ces trois appellations concernent le même type d'avion, constructeur Douglas.

Pour que tout le monde comprenne, je confirme donc que tu as bien voyagé sur un "DC3-C47 DAKOTA" de l'Armée de l'Air de la BA 181 d'Ivato (Tananarive).

Quand au personnel de la SLM/BAN Andrakaka, ormis les spécialistes de l'entretien base qui étaient peut-être absents du fait de la rénovation de la BAN, les autres étaient toujours nécessaire pour la mise en service du C47 de la SLM. En subsistance à l'Unité Marine mais pour les locaux techniques occupés, j'avoue être sec, vraiment sec... Quelques pistes possibles : Arachart ? Caméléon (anciens locaux de la BAN Diégo-Suarez jusqu'au 1 janvier 54) ? Autres...
je lance un appel aux anciens. Merci d'avance

A bientôt

Roger

Bonjour,

Je viens de prendre connaissance du MSG N° 248, page 25 du post "Diégo Suarez", tome 8.

C'est un mot de notre Camarade BAVOUX (matricule 44592 T 46), présent à la BAN DIEGO SUAREZ en 1949 / 1950. Respect au "Grand Ancien".

Il me confirme :
. que la base aéro était bien dénommée BAN DIEGO SUAREZ et était cantonné à CAMELEON (locaux techniques surement, autres...),
. que les 2 Junker (JU 52) constituant l'Aéronavale dans l'Océan Indien étaient stationnés sur le terrain (civil) d'ARACHART.
. qu'il faisait fonction de mécano volant sur le Ju 52 de l'Amiral Auboyneau;

J'apprend également le doux surnom donné aux Junker "mouramoura" (orthographe à confirmer ?) du fait de leur "vitesse exceptionnelle"...

Et peut être bientôt des photos de l'époque... Pour notre grand plaisir.

Roger