par Smpacha Lun 19 Déc 2011 - 14:26
Salut Claude. Toujours à l'air libre ? Quand tu tenais la coopérative, tu n'étais pas à l'air libre, derrière ton comptoir. Mais dis-moi comment un boum boum comme toi avait obtenu ce poste, sans doute aussi stratégique que celui de SM au Bureau militaire ou SM du Pacha ? Normalement un tel poste relevait de l'équipe du commissaire !!!Bon j'espère que quelques souvenirs de ton expérience de magasinier coopérateur vont te revenir à l'esprit.
Au fait, afin de pouvoir me raviver plus facilement ma mémoire et la votre, les mousquetaires, j"ai lancé un appel pour trouver un plan des différents ponts du BB, mais je doute fort avoir une réponse, sauf à aller faire un tour aux archives de la Royale, avant qu'elles déménagent de la Place de la Concorde.
En ce qui me concerne, pour le mal de mer, moi qui suis sujet au mal des transports (en particulier à l'arrière des DS), je m'en suis bien tiré. Une seule et unique fois, je l'ai eu mais alors carabiné. Quelques jours après avoir embarqué sur le BB, nous voilà sortis pour un exercice. Mon tour de quart à la passerelle arrive. Cela remuait un peu bord sur bord, comme savais le faire le BB, cet ex-coque de croiseur sur laquelle, on avait "quillé" (oui cela image bien quiller) un immense hangar et dessus un pont d'envol, avec ces 4 cheminées bien excentrées, à tribord au dessus de la mer, tout comme la passerelle. Donc cela roule et moi, mes écouteurs sur la tête, c'est dans l'estomac que cela commence à rouler. Le Pacha, bien quillé droit devant moi donne ses ordres. D'un seul coup, c'en est trop. Cela remonte. Juste le temps de prendre le mouchoir (eh oui il y en avait encore à cette époque-là) et de le mettre devant ma bouche. Notez le Pacha est toujours devant moi,, ne se doutant pas des risques qu'il prend !! Je serre désespérément les mâchoires, et cela redescend, sauf ce qui me passe par les narines ! Heureusement que j'avais positionné le mouchoir. Je devais être blanc cadavérique ! J'ai terminé le quart tant bien que mal. Et ensuite illico presto la banette.
Je n'ai jamais plus eu le mal de mer.
Tchao