par 3eme ligne Mar 22 Avr 2008 - 18:01
Des infos en provenance d'un cercle Parisien de réflexions, dont je suis en contacts étroits, je ne m'étends pas plus. Je vous fais donc profiter de ces infos que j'ai mis ci après un tant soit peu en ordre.
Ceci n'est qu'un scénario de discussions âpres et disputées, mais comme il est patent que les hautes sphères s'attardent dessus, le fait de reculer pour mieux sauter, je n'y crois pas, donc à vous de comprendre entre les lignes.
Sur le 2ème PA :
- Devant le prix croissant en augmentation du carburant, l'intérêt d'un navire à propulsion classique est très compromis, donc celui ci serait décalé probablement dans le temps, pour être prévu "éventuellement ?" en remplacement du CdeG... Si nécessité fait Loi.
- Devant la nécessité, d'avoir un parc aérien conséquent, mais aussi les équipages qui vont avec lorsque les 2 Pa naviguent, il est évident que le 2ème serait employé comme PH, mais investir autant pour avoir un PH de plus, il est dit que pour le même prix, il peut se faire de 2 à 4 BPC type Mistral, avec une bonne 15aine d'hélicoptères armés ou de transports. Sachant de surcroit que 4 BPC ont besoin de moins de personnel qu'un porte avions.
- Devant le fait, que les avions d'armes intervenant sur des conflits dans le monde, pouvant être prédisposés, la présence d'une plate forme opérationnelle en permanence n'est plus indispensable stratégiquement et tactiquement, pour exemple les Rafales du CdeG n'ont passé que 20' en moyenne sur zone en AFG, avec de longs transits en vol 4 à 6h et plusieurs ravitaillements aériens faisant que cette présence opérationnelle était hors de prix, les disposer sur une base aérienne proche du théâtre d'ops aurait été moins couteux et moins contraignant pour les machines et les hommes.
- Nos intérêts actuels ne nous obligent plus à avoir un PA dans des zones de conflits larvés, la présence d'une ou plusieurs frégates, d'un SNA et d'un ou plusieurs BPC sont suffisants pour sécuriser une zone de détroits ainsi que nos routes commerciales stratégiques et nos territoires d'outre mer.
- En cas de conflit majeur, mettant en péril les intérêts nationaux et Européens, le CdeG plus le ou les PA Brittaniques seraient à même de gérer la situation, sachant que faisant partie de l'OTAN, nous ne serions qu'intégrés dans une force interalliée, quitte à en avoir le commandement.
Voilà, je suis sûr que d'aucuns m'en voudront de relayer ceci, mais les infos étant ce qu'elles sont, il y en a de bonnes comme il y en a de mauvaises, c'est ainsi dans la vie.