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CLEMENCEAU - TOME 1
trimadek- Résident à l'étranger : Belgique
Age : 67
- Message n°201
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
Haddock, tu es un devin. Ce matin, aux infos, le Clemenceau revient en France. Pourrais-tu me dire quand je vais gagner au lotto ? :D
† Fanch 56- FONDATEUR
- Age : 75
- Message n°202
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
Voici texte envoyé au Télégramme de Brest et Ouest France par mes soins ce jour :
Citation
Je vous demande d' aller voir ce lien http://ancienscolbleus.forumactif.com/viewtopic.forum?t=185&postdays=0&postorder=asc&start=0
vous y verrez ce que pense les anciens marins du feuilleton Clemenceau
Merci
Fin de citation
Citation
Je vous demande d' aller voir ce lien http://ancienscolbleus.forumactif.com/viewtopic.forum?t=185&postdays=0&postorder=asc&start=0
vous y verrez ce que pense les anciens marins du feuilleton Clemenceau
Merci
Fin de citation
† Fanch 56- FONDATEUR
- Age : 75
- Message n°203
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
Voici la réponse du Télégramme de Brest :
Citation
Bonjour,
Et merci pour cet envoi.
Vous pouvez réagir et déposer votre lien au sujet du Clem sur notre Forum :
http://debats.letelegramme.com//list.php?bn=debat_clem
Bien cordialement,
Le Télégramme
Service documentation / multimédia
BP 67243
29672 Morlaix cedex
Fin de citation
Vous pouvez réagir sur leur forum, en citant ce forum. Merci
Citation
Bonjour,
Et merci pour cet envoi.
Vous pouvez réagir et déposer votre lien au sujet du Clem sur notre Forum :
http://debats.letelegramme.com//list.php?bn=debat_clem
Bien cordialement,
Le Télégramme
Service documentation / multimédia
BP 67243
29672 Morlaix cedex
Fin de citation
Vous pouvez réagir sur leur forum, en citant ce forum. Merci
Invité- Invité
- Message n°204
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
Au moins le maire de BREST lui, il intervient !!!! cça regarde sa SA VILLE..et ses administrés.....
† queffeulou- QM 1
- Age : 77
- Message n°205
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
Michel47 a écrit:J'ai entendu l'info hier soir. J'étais mort de rire ... tout le monde (sauf nous) veux s'en débarrasser mais "Le Bougre" il fait de la résistance. A croire que "L'Esprit de Clemenceau" est venu le soutenir :lol:
oui LE CLEM a toujours ses griffes
René03- MAJOR
- Age : 79
- Message n°206
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
Et maintenant ce sont les bretons qui n'en veulent pas ?? :shock:
Invité- Invité
- Message n°207
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
Moi le Bidel je vous dis que le Clem, n'est pas encore coulé, et encore moins découpé en rondelle. Faut que l'on réagisse, et comme dit le proverbe, tant qu'il y a de la vie il y a de l'espoir. La preuve notre CLEM EST TOUJOURS LA :cheers:
Invité- Invité
- Message n°208
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
jeudi 16 février 2006, 11h26
Vidéo: Michèle Alliot-Marie s'explique sur le Clemenceau
PARIS (AFP) - Extraits de la conférence de presse de la ministre de la Défense Michèle Alliot-Marie. Le porte-avion Clemenceau va être rapatrié à Brest, après la décision du Conseil d'Etat de suspendre son transfert vers l'Inde pour y être désamianté et celle du chef de l'Etat de le ramener en France. C'est ce qu'a tenu à expliquer Michèle Alliot-Marie qui continue à penser "qu'un partenariat France-Inde pour le désamiantage du navire était une bonne solution". Elle a également annoncé la création d'une mission interministérielle chargée de traiter le problème des navires civils et militaires en fin de vie.
Durée: 1mn59
Cliquez ici pour voir la vidéo
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Vidéo: Michèle Alliot-Marie s'explique sur le Clemenceau
PARIS (AFP) - Extraits de la conférence de presse de la ministre de la Défense Michèle Alliot-Marie. Le porte-avion Clemenceau va être rapatrié à Brest, après la décision du Conseil d'Etat de suspendre son transfert vers l'Inde pour y être désamianté et celle du chef de l'Etat de le ramener en France. C'est ce qu'a tenu à expliquer Michèle Alliot-Marie qui continue à penser "qu'un partenariat France-Inde pour le désamiantage du navire était une bonne solution". Elle a également annoncé la création d'une mission interministérielle chargée de traiter le problème des navires civils et militaires en fin de vie.
Durée: 1mn59
Cliquez ici pour voir la vidéo
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fle jp- QM 1
- Age : 76
- Message n°209
le clem de retour cette fois pour brest
salut a tous camarades et le fiasco du clem continu.(comme je vous l´avais dejas annoncé ulterieurement) :affraid: :affraid: :affraid:
crédits : Marine nationale
Jacques Chirac fait rapatrier le Clemenceau à Brest : Et après ?
16/02/2006
L’odyssée du vieux navire vers l’Inde se termine en fiasco général. La Cour suprême indienne n’aura pas à statuer sur la légalité du transfert de la coque en Inde, Jacques Chirac ayant ordonné au convoi, hier, de faire demi tour. Face à la pression politique et diplomatique, le président, qui s’envolera ce week-end pour New Delhi, a préféré faire machine arrière, rebondissant sur la décision du Conseil d’Etat. Quelques minutes avant le communiqué de l’Elysée, la haute juridiction avait annoncé qu’elle suspendait le transfert de l’ex porte-avions vers le chantier de démantèlement d’Alang, arguant du fait que le bâtiment est un « déchet dangereux ». Cette requalification de la coque aurait entraîné une violation de la Convention de Bâle en cas de poursuite du voyage vers l’Inde. Après cette décision, Matignon a annoncé la création d’une mission interministérielle pour étudier le devenir des navires en fin de vie : « Prenant acte de la requalification d'un matériel de guerre en déchet par le Conseil d'Etat, c'est l'ensemble des procédures applicables à l'exportation de ce type de produits qui doivent être réformées. Un groupe d'enquête interministériel composé de membres de l'Inspection générale des Finances, du Contrôle général des armées et du Conseil général des Mines va être chargé de conduire cette mission». En attendant, le Clemenceau, à la remorque du Sumatras, va rentrer en France, via le cap de Bonne Espérance, ce qui permettra d’éviter un second transit par le canal de Suez. Le convoi ralliera Brest au lieu de Toulon, la base varoise manquant de place. La durée du transit est estimée à trois mois.
Un tour d’Afrique à 10.000 euros par jour
La facture totale de l'affaire Clemenceau devrait dépasser 10 millions d’euros. Initialement, la destruction du Q 790 devait être une opération blanche. Les Domaines donnaient la coque à la société Ship Decomissioning Industry et cette dernière, assurant le coût des travaux et du remorquage, se remboursait sur la vente de l’acier en Asie. Le contrat étant rompu, il serait étonnant que SDI ne demande pas le remboursement de ses frais. L’entreprise évalue la facture à 10 millions d’euros, dont 4 millions pour le désamiantage partiel opéré à Toulon entre 2004 et 2005. A cela, il faut rajouter les 2 millions d’euros de remorquage et de franchissement du canal de Suez, majoré pour l’occasion de 200.000 dollars. A partir d’aujourd’hui, l’Etat prend à sa charge les frais de remorquage. L’affrètement quotidien du Sumatras s’élève à 10.000 euros, ce qui fait grimper la note, sur environ trois mois, à 1 M€. Economiquement, le désastre se situe surtout en Inde où les messages de déception et de colère se multiplie dans le Gujarat. Confrontée à une situation difficile en raison de la concurrence acharnée des ferrailleurs du Bengladesh, du Pakistan et de Chine, la baie d’Alang et ses 40.000 employés voyaient dans le Clemenceau un possible espoir. Outre ses 22.000 tonnes d’acier, le bâtiment devait inaugurer un nouveau marché de démantèlement surveillé des bateaux contenant des déchets toxiques. Si des doutes subsistent sur la capacité, ou la volonté, de certaines entreprises locales à assurer la sécurité de leurs employés, le ministère de la Défense et la Marine nationale affirment depuis des mois avoir retenu un chantier répondant à toutes les garanties en matière sanitaire. Paris, qui avait débuté en 2005 la formation de cadres indiens, avait prévu l’envoi des équipements autonomes et collectifs pour mener à bien le chantier aux normes françaises, proposé la nomination d’experts indépendants pour le contrôle des travaux et avancé la possibilité d’un retour en France des produits toxiques. Suite à la tempête politico-médiatique déclenchée par le transfert du « Clem », le chantier Shree Ram Vessel Scrap Ltd s’est transformé en véritable camp retranché, erreur de communication évidente car les télévisions n’avaient d’autre choix que d’aller filmer les entreprises voisines, dont certaines étaient manifestement loin des critères annoncés par le ministère de la Défense.
Aucune solution à court terme
En France, le dossier a pris ces derniers jours une importance politique considérable, la gauche tirant à boulets rouge sur le gouvernement et sa gestion de la crise. Attaquée directement, Michèle Alliot-Marie a répliqué hier, accusant l’opposition de « contrevérités » et même de « malveillance organisée ». Sans aller jusque là, certains élus ne maîtrisaient, à l’évidence, pas franchement leur dossier. Ainsi, dans une mêlée aussi subite que générale, Laurent Fabius a appelé à « faire d'un mal un bien et prévoir en Europe un grand chantier où l'on puisse désamianter ces bateaux et ensuite, le cas échéant, les envoyer à la casse si on le veut dans d'autres pays». L’idée est intéressante, à ceci près que pour désamianter totalement un navire, il faut accéder à sa structure et donc, le découper sur place... Pour les associations, qui se battent depuis plus d’un an contre le démantèlement du Q 790 en Inde, le revirement de l’Etat est célébré comme une « grande victoire ». Selon Yannick Jadot, directeur des campagnes de Greenpeace France : « C’est la victoire d’une coalition d’organisations travaillant sur l’amiante, la défense des droits fondamentaux de la personne humaine et la protection de l’environnement ». Pendant des mois, l’Andeva, Ban Abestos et le Comité anti-amiante Jussieu se sont investis sur le terrain judiciaire qui leur a, au final donné raison. Le problème reste pourtant entier. Le ministère de la Défense n’a cessé de marteler qu’il n’existait, en Europe, aucune filière de démantèlement des navires amiantés. Pour les grands bâtiments, comme les porte-avions ou les paquebots, les problèmes sont d’ordre technique, le Clemenceau mesurant, à titre d’exemple, 265 mètres et le Norway 313 mètres. Comme il n’est évidemment pas question de « plager » les navires sur le littoral français, allemand, britannique ou italien, la découpe des épaves doit être opérée en bassin. Dans l'Hexagone, les seules cales sèches de plus de 300 mètres sont utilisées par les ports autonomes ou les chantiers navals. Les formes de La Seyne-sur-Mer et de La Ciotat font quant à elles l’objet de vastes plans de réhabilitation. Le second problème est d’ordre économique. Toutes les tentatives d’installation d’entreprises spécialisées ont échoué. Les Pays-Bas, qui avait confié la démolition du navire-citerne Sandrien au chantier Amsterdam Ship Repair BV se retrouvent avec la moitié de la carcasse sur les bras, la société ayant fait faillite en mai 2005. De son côté, la Royal Navy a consulté en 2004 une quarantaine de prestataires pour le ferraillage de l’Intrepid (158 mètres, 11.000 tonnes). Elle n’a reçu que 9 offres, dont 6 britanniques. Aucune n’a été jugée satisfaisante au regard des critères de protection de l’environnement.
Une filière européenne ?
C’est dans ce contexte que le ministère de la Défense a décidé, en 2002, d’initier la création d’une « filière propre », en partenariat avec un chantier espagnol puis, après le détournement du Clemenceau pendant son remorquage à Gijon, en 2003, avec un démolisseur indien. Sur les 150 entreprises de la baie d’Alang, SDI, titulaire du contrat, a choisi l’une des rares structures certifiées ISO et OHSAS, normes internationales relatives au management, à l’environnement et à la sécurité des employés. Michèle Alliot-Marie a affirmé, hier, que la France avait agit « dans la transparence (…) avec le double souci de la sécurité des hommes et de la préservation de l'environnement. Je continue de penser que cette solution était la bonne solution ». MAM a rappelé que des dizaines de milliers de navires seraient envoyés à la casse dans les vingt prochaines années. Après l’échec du démantèlement en Inde, le groupe de travail interministériel chargé d’étudier les modalités de destruction des navires en fin de vie se mettra en rapport avec les instances européennes et les autres pays de l’Union. Devant les sénateurs, le 8 février dernier, le chef d’Etat Major de la Marine résumait la situation : « Au-delà de la difficulté à identifier un autre chantier potentiellement capable de déconstruire une coque de cette taille dans de bonnes conditions ailleurs qu’en Asie, il est essentiel de noter que cette solution se heurterait à l’absence d’une filière d’écoulement des produits issus de la démolition des navires en Europe ou aux Etats-Unis. Les prix des métaux de récupération dans ces pays sont en effet de l’ordre du tiers de ceux pratiqués couramment sur les marchés asiatiques où la demande est forte ». Et l’amiral Oudot de Dainville d’ajouter : « En résumé, si la solution de démantèlement à l’étranger devait être remise en cause, seule une déconstruction dans une filière française ou européenne, aujourd’hui inexistante et donc à créer ab initio, serait susceptible de répondre au besoin. Le coût d’une telle déconstruction avait été évalué, il y trois ans, à un minimum de 45 M €. Cette évaluation semble aujourd’hui largement sous-estimée. Le coût serait probablement beaucoup plus élevé compte tenu de l’ampleur du processus à créer et à rendre opérationnel ».
Un problème majeur mais une opinion publique peu favorable
L’installation d’un tel chantier coûterait donc une fortune, surtout si l’on doit y ajouter des infrastructures dédiées. De fait, la France n’a pas les moyens d’investir seule dans un tel projet et en appelle donc à l’Europe pour trouver une solution. En cela, le combat des associations sera peut être déterminant car la médiatisation de l’évènement aura fait prendre conscience du problème, contraignant probablement Bruxelles à se saisir du dossier. La création de cette filière pourrait nécessiter, en plus des investissements initiaux, un soutien public destiné à aider économiquement cette activité. Le projet se heurte toutefois à un autre écueil, celui de l’opinion publique et de nombre d’élus locaux, peu disposés à voir s’installer une industrie de manipulation de l’amiante. Dans des pays comme la France, particulièrement touchés par les maladies liées à l’isolant cancérigène, le produit fait figure de véritable épouvantail. La Grande-Bretagne a été récemment confrontée à ce rejet de l’opinion. En novembre 2003, quatre anciennes unités de l’US Navy ont été envoyées pour démolition au chantier Able UK de Hartlepool. Les travaux ont été presque immédiatement interrompus à la suite de procédures lancées par des associations écologistes. L’agence de l’environnement britannique, qui avait initialement donné son feu vert au démantèlement, a finalement retiré son agrément. Pourtant, il faudra bien trouver une solution car les bateaux construits avant les années 80 partent de plus en plus nombreux à la casse. Les ports et cimetières de navires se remplissent rapidement d’épaves rouillées, que l’on compte par dizaines, voire centaines, en Europe. Le problème est mondial et a été abordé, le 15 décembre dernier, par l’Organisation maritime internationale (OMI) l’Organisation internationale du travail (OIT) et le secrétariat de la Convention de Bâle. Le Comité de protection de l’environnement marin de l’OMI a été chargé de préparer, d’ici 2009, un projet de traité couvrant l’ensemble du cycle de vie des navires, de leur construction à leur démantèlement. En attendant qu’un cadre juridique clair soit mis en place, l’attente des vétérans des marines marchandes et militaires risque de se poursuivre. Le Clemenceau, lui, va retrouver le port où ses premières tôles ont été assemblées. C’était en novembre 1955. Dans les années 70, les Brestois avaient ressenti, comme un crève cœur, le départ des porte-avions vers Toulon. Cette fois, le vieux Tigre aura le temps de faire ses adieux.
crédits : Marine nationale
Jacques Chirac fait rapatrier le Clemenceau à Brest : Et après ?
16/02/2006
L’odyssée du vieux navire vers l’Inde se termine en fiasco général. La Cour suprême indienne n’aura pas à statuer sur la légalité du transfert de la coque en Inde, Jacques Chirac ayant ordonné au convoi, hier, de faire demi tour. Face à la pression politique et diplomatique, le président, qui s’envolera ce week-end pour New Delhi, a préféré faire machine arrière, rebondissant sur la décision du Conseil d’Etat. Quelques minutes avant le communiqué de l’Elysée, la haute juridiction avait annoncé qu’elle suspendait le transfert de l’ex porte-avions vers le chantier de démantèlement d’Alang, arguant du fait que le bâtiment est un « déchet dangereux ». Cette requalification de la coque aurait entraîné une violation de la Convention de Bâle en cas de poursuite du voyage vers l’Inde. Après cette décision, Matignon a annoncé la création d’une mission interministérielle pour étudier le devenir des navires en fin de vie : « Prenant acte de la requalification d'un matériel de guerre en déchet par le Conseil d'Etat, c'est l'ensemble des procédures applicables à l'exportation de ce type de produits qui doivent être réformées. Un groupe d'enquête interministériel composé de membres de l'Inspection générale des Finances, du Contrôle général des armées et du Conseil général des Mines va être chargé de conduire cette mission». En attendant, le Clemenceau, à la remorque du Sumatras, va rentrer en France, via le cap de Bonne Espérance, ce qui permettra d’éviter un second transit par le canal de Suez. Le convoi ralliera Brest au lieu de Toulon, la base varoise manquant de place. La durée du transit est estimée à trois mois.
Un tour d’Afrique à 10.000 euros par jour
La facture totale de l'affaire Clemenceau devrait dépasser 10 millions d’euros. Initialement, la destruction du Q 790 devait être une opération blanche. Les Domaines donnaient la coque à la société Ship Decomissioning Industry et cette dernière, assurant le coût des travaux et du remorquage, se remboursait sur la vente de l’acier en Asie. Le contrat étant rompu, il serait étonnant que SDI ne demande pas le remboursement de ses frais. L’entreprise évalue la facture à 10 millions d’euros, dont 4 millions pour le désamiantage partiel opéré à Toulon entre 2004 et 2005. A cela, il faut rajouter les 2 millions d’euros de remorquage et de franchissement du canal de Suez, majoré pour l’occasion de 200.000 dollars. A partir d’aujourd’hui, l’Etat prend à sa charge les frais de remorquage. L’affrètement quotidien du Sumatras s’élève à 10.000 euros, ce qui fait grimper la note, sur environ trois mois, à 1 M€. Economiquement, le désastre se situe surtout en Inde où les messages de déception et de colère se multiplie dans le Gujarat. Confrontée à une situation difficile en raison de la concurrence acharnée des ferrailleurs du Bengladesh, du Pakistan et de Chine, la baie d’Alang et ses 40.000 employés voyaient dans le Clemenceau un possible espoir. Outre ses 22.000 tonnes d’acier, le bâtiment devait inaugurer un nouveau marché de démantèlement surveillé des bateaux contenant des déchets toxiques. Si des doutes subsistent sur la capacité, ou la volonté, de certaines entreprises locales à assurer la sécurité de leurs employés, le ministère de la Défense et la Marine nationale affirment depuis des mois avoir retenu un chantier répondant à toutes les garanties en matière sanitaire. Paris, qui avait débuté en 2005 la formation de cadres indiens, avait prévu l’envoi des équipements autonomes et collectifs pour mener à bien le chantier aux normes françaises, proposé la nomination d’experts indépendants pour le contrôle des travaux et avancé la possibilité d’un retour en France des produits toxiques. Suite à la tempête politico-médiatique déclenchée par le transfert du « Clem », le chantier Shree Ram Vessel Scrap Ltd s’est transformé en véritable camp retranché, erreur de communication évidente car les télévisions n’avaient d’autre choix que d’aller filmer les entreprises voisines, dont certaines étaient manifestement loin des critères annoncés par le ministère de la Défense.
Aucune solution à court terme
En France, le dossier a pris ces derniers jours une importance politique considérable, la gauche tirant à boulets rouge sur le gouvernement et sa gestion de la crise. Attaquée directement, Michèle Alliot-Marie a répliqué hier, accusant l’opposition de « contrevérités » et même de « malveillance organisée ». Sans aller jusque là, certains élus ne maîtrisaient, à l’évidence, pas franchement leur dossier. Ainsi, dans une mêlée aussi subite que générale, Laurent Fabius a appelé à « faire d'un mal un bien et prévoir en Europe un grand chantier où l'on puisse désamianter ces bateaux et ensuite, le cas échéant, les envoyer à la casse si on le veut dans d'autres pays». L’idée est intéressante, à ceci près que pour désamianter totalement un navire, il faut accéder à sa structure et donc, le découper sur place... Pour les associations, qui se battent depuis plus d’un an contre le démantèlement du Q 790 en Inde, le revirement de l’Etat est célébré comme une « grande victoire ». Selon Yannick Jadot, directeur des campagnes de Greenpeace France : « C’est la victoire d’une coalition d’organisations travaillant sur l’amiante, la défense des droits fondamentaux de la personne humaine et la protection de l’environnement ». Pendant des mois, l’Andeva, Ban Abestos et le Comité anti-amiante Jussieu se sont investis sur le terrain judiciaire qui leur a, au final donné raison. Le problème reste pourtant entier. Le ministère de la Défense n’a cessé de marteler qu’il n’existait, en Europe, aucune filière de démantèlement des navires amiantés. Pour les grands bâtiments, comme les porte-avions ou les paquebots, les problèmes sont d’ordre technique, le Clemenceau mesurant, à titre d’exemple, 265 mètres et le Norway 313 mètres. Comme il n’est évidemment pas question de « plager » les navires sur le littoral français, allemand, britannique ou italien, la découpe des épaves doit être opérée en bassin. Dans l'Hexagone, les seules cales sèches de plus de 300 mètres sont utilisées par les ports autonomes ou les chantiers navals. Les formes de La Seyne-sur-Mer et de La Ciotat font quant à elles l’objet de vastes plans de réhabilitation. Le second problème est d’ordre économique. Toutes les tentatives d’installation d’entreprises spécialisées ont échoué. Les Pays-Bas, qui avait confié la démolition du navire-citerne Sandrien au chantier Amsterdam Ship Repair BV se retrouvent avec la moitié de la carcasse sur les bras, la société ayant fait faillite en mai 2005. De son côté, la Royal Navy a consulté en 2004 une quarantaine de prestataires pour le ferraillage de l’Intrepid (158 mètres, 11.000 tonnes). Elle n’a reçu que 9 offres, dont 6 britanniques. Aucune n’a été jugée satisfaisante au regard des critères de protection de l’environnement.
Une filière européenne ?
C’est dans ce contexte que le ministère de la Défense a décidé, en 2002, d’initier la création d’une « filière propre », en partenariat avec un chantier espagnol puis, après le détournement du Clemenceau pendant son remorquage à Gijon, en 2003, avec un démolisseur indien. Sur les 150 entreprises de la baie d’Alang, SDI, titulaire du contrat, a choisi l’une des rares structures certifiées ISO et OHSAS, normes internationales relatives au management, à l’environnement et à la sécurité des employés. Michèle Alliot-Marie a affirmé, hier, que la France avait agit « dans la transparence (…) avec le double souci de la sécurité des hommes et de la préservation de l'environnement. Je continue de penser que cette solution était la bonne solution ». MAM a rappelé que des dizaines de milliers de navires seraient envoyés à la casse dans les vingt prochaines années. Après l’échec du démantèlement en Inde, le groupe de travail interministériel chargé d’étudier les modalités de destruction des navires en fin de vie se mettra en rapport avec les instances européennes et les autres pays de l’Union. Devant les sénateurs, le 8 février dernier, le chef d’Etat Major de la Marine résumait la situation : « Au-delà de la difficulté à identifier un autre chantier potentiellement capable de déconstruire une coque de cette taille dans de bonnes conditions ailleurs qu’en Asie, il est essentiel de noter que cette solution se heurterait à l’absence d’une filière d’écoulement des produits issus de la démolition des navires en Europe ou aux Etats-Unis. Les prix des métaux de récupération dans ces pays sont en effet de l’ordre du tiers de ceux pratiqués couramment sur les marchés asiatiques où la demande est forte ». Et l’amiral Oudot de Dainville d’ajouter : « En résumé, si la solution de démantèlement à l’étranger devait être remise en cause, seule une déconstruction dans une filière française ou européenne, aujourd’hui inexistante et donc à créer ab initio, serait susceptible de répondre au besoin. Le coût d’une telle déconstruction avait été évalué, il y trois ans, à un minimum de 45 M €. Cette évaluation semble aujourd’hui largement sous-estimée. Le coût serait probablement beaucoup plus élevé compte tenu de l’ampleur du processus à créer et à rendre opérationnel ».
Un problème majeur mais une opinion publique peu favorable
L’installation d’un tel chantier coûterait donc une fortune, surtout si l’on doit y ajouter des infrastructures dédiées. De fait, la France n’a pas les moyens d’investir seule dans un tel projet et en appelle donc à l’Europe pour trouver une solution. En cela, le combat des associations sera peut être déterminant car la médiatisation de l’évènement aura fait prendre conscience du problème, contraignant probablement Bruxelles à se saisir du dossier. La création de cette filière pourrait nécessiter, en plus des investissements initiaux, un soutien public destiné à aider économiquement cette activité. Le projet se heurte toutefois à un autre écueil, celui de l’opinion publique et de nombre d’élus locaux, peu disposés à voir s’installer une industrie de manipulation de l’amiante. Dans des pays comme la France, particulièrement touchés par les maladies liées à l’isolant cancérigène, le produit fait figure de véritable épouvantail. La Grande-Bretagne a été récemment confrontée à ce rejet de l’opinion. En novembre 2003, quatre anciennes unités de l’US Navy ont été envoyées pour démolition au chantier Able UK de Hartlepool. Les travaux ont été presque immédiatement interrompus à la suite de procédures lancées par des associations écologistes. L’agence de l’environnement britannique, qui avait initialement donné son feu vert au démantèlement, a finalement retiré son agrément. Pourtant, il faudra bien trouver une solution car les bateaux construits avant les années 80 partent de plus en plus nombreux à la casse. Les ports et cimetières de navires se remplissent rapidement d’épaves rouillées, que l’on compte par dizaines, voire centaines, en Europe. Le problème est mondial et a été abordé, le 15 décembre dernier, par l’Organisation maritime internationale (OMI) l’Organisation internationale du travail (OIT) et le secrétariat de la Convention de Bâle. Le Comité de protection de l’environnement marin de l’OMI a été chargé de préparer, d’ici 2009, un projet de traité couvrant l’ensemble du cycle de vie des navires, de leur construction à leur démantèlement. En attendant qu’un cadre juridique clair soit mis en place, l’attente des vétérans des marines marchandes et militaires risque de se poursuivre. Le Clemenceau, lui, va retrouver le port où ses premières tôles ont été assemblées. C’était en novembre 1955. Dans les années 70, les Brestois avaient ressenti, comme un crève cœur, le départ des porte-avions vers Toulon. Cette fois, le vieux Tigre aura le temps de faire ses adieux.
fle jp- QM 1
- Age : 76
- Message n°210
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
merci haddock de ce compliment mais comme tous je prefairerais parler d´autres choses que de l´agonie de clem .(ca fais mal) :twisted: :twisted: :( :( :( :Star: :Star: :study: :Star: :Star:
fle jp- QM 1
- Age : 76
- Message n°211
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
les indes (ils ne vont pas prendre de sous marins ni d´avions dasseau) A+
Invité- Invité
- Message n°212
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
le tout c'est d'y croire, et moi j'y crois. Par contre je pense aux copains qui sont sur les remorqueurs, ça doit pas être la joie pour eux :affraid: :pale:
Invité- Invité
- Message n°213
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
Jeudi 16 février 2006, 15h53
La polémique rebondit sur la facture du retour du Clemenceau
PARIS (Reuters) - L'imbroglio diplomatico-judiciaire du Clemenceau à peine terminé, la polémique rebondit sur le coût du rapatriement de l'ancien porte-avions vers Brest.
La CGT des marins de Brest affirme que le remorquage du Clemenceau coûtera quatre millions d'euros, soit quatre fois plus que la facture estimée par le ministère de la Défense.
"Depuis le 2 janvier, le remorqueur Sumatra est affrété pour un montant de 45.000 euros par jour", a déclaré à Reuters Jean-Paul Hellequin, représentant de la CGT des marins de Brest et président de l'association "Mor Glaz".
Le voyage retour de l'ancien fleuron de la marine française, qui doublera le cap de Bonne-Espérance plutôt que de franchir le très onéreux canal de Suez, doit durer trois mois.
A raison de 45.000 euros par jour, ce remorquage de 90 jours se chiffrera donc à un peu plus de quatre millions d'euros.
Le porte-parole du ministère de la Défense, Jean-François Bureau, a quant à lui réaffirmé que le remorquage de la coque "Q 790" coûterait 15.000 euros par jour, à la charge de l'Etat.
Jacques Chirac a ordonné mercredi le rapatriement du porte-avions après la décision du Conseil d'Etat de suspendre le transfert vers l'Inde. L'instance administrative estime que le Clemenceau n'est plus un navire de guerre mais un déchet dangereux dont l'exportation est interdite hors de l'OCDE.
Au Parti socialiste, on dénonce les "zones d'ombre" du dossier. "Il faut qu'on nous dise exactement ce que ça va coûter. Le gouvernement avance un million d'euros, des associations parlent de 5 à 7 millions d'euros", a déclaré Bruno Le Roux, porte-parole du PS.
"BREST A UNE CHANCE A SAISIR"
"On fait une demande globale de transparence", a-t-il ajouté. "Il existe de nombreuses zones d'ombre sur la chaîne de prise de décisions, sur la réalité des travaux qui ont été effectués, sur la disparition de tonnes d'amiante."
A l'Assemblée nationale, le groupe communiste et républicain est allé un cran plus loin en réclamant la création d'une commission d'enquête parlementaire.
De son côté, la commission de la Défense de l'Assemblée a annoncé qu'elle entendrait Michèle Alliot-Marie, à sa demande, le 22 février.
Le ministère de la Défense a expliqué jeudi le choix du port de Brest pour accueillir le Clemenceau par un manque de place à Toulon, d'où l'ancien porte-avions était parti fin décembre.
Le port varois doit accueillir fin février le bâtiment de projection et de commandement Mistral et son "sistership", le Tonnerre, avant la fin 2006. Ces deux navires mesurent près de 200 mètres de long, ce qui laisse peu de place à quai pour d'autres gros bâtiments.
L'image d'un Clemenceau esseulé au milieu de la rade est un risque médiatique que les autorités françaises ne semblent pas prêtes à reprendre.
La décision de rapatrier le navire vers son berceau breton ne préjuge pas de son avenir industriel - désamiantage et démantèlement, a souligné Jean-François Bureau, rappelant que l'expertise sur les quantités d'amiante durerait plusieurs mois.
Pour Jean-Paul Hellequin, Brest a donc "une chance à saisir".
A ses yeux, le port du Finistère peut devenir un chantier de référence pour la démolition des navires en fin de vie surtout que plusieurs centaines de bateaux attendent d'être déconstruits partout dans le monde.
"On demande des aides à Bruxelles pour créer un chantier de déconstruction à Brest qui aurait un label européen", a-t-il dit. "Brest a été capable de construire le Clemenceau puis d'assurer son suivi technique. Il doit être capable de le déconstruire."
Source: Reuters
La polémique rebondit sur la facture du retour du Clemenceau
PARIS (Reuters) - L'imbroglio diplomatico-judiciaire du Clemenceau à peine terminé, la polémique rebondit sur le coût du rapatriement de l'ancien porte-avions vers Brest.
La CGT des marins de Brest affirme que le remorquage du Clemenceau coûtera quatre millions d'euros, soit quatre fois plus que la facture estimée par le ministère de la Défense.
"Depuis le 2 janvier, le remorqueur Sumatra est affrété pour un montant de 45.000 euros par jour", a déclaré à Reuters Jean-Paul Hellequin, représentant de la CGT des marins de Brest et président de l'association "Mor Glaz".
Le voyage retour de l'ancien fleuron de la marine française, qui doublera le cap de Bonne-Espérance plutôt que de franchir le très onéreux canal de Suez, doit durer trois mois.
A raison de 45.000 euros par jour, ce remorquage de 90 jours se chiffrera donc à un peu plus de quatre millions d'euros.
Le porte-parole du ministère de la Défense, Jean-François Bureau, a quant à lui réaffirmé que le remorquage de la coque "Q 790" coûterait 15.000 euros par jour, à la charge de l'Etat.
Jacques Chirac a ordonné mercredi le rapatriement du porte-avions après la décision du Conseil d'Etat de suspendre le transfert vers l'Inde. L'instance administrative estime que le Clemenceau n'est plus un navire de guerre mais un déchet dangereux dont l'exportation est interdite hors de l'OCDE.
Au Parti socialiste, on dénonce les "zones d'ombre" du dossier. "Il faut qu'on nous dise exactement ce que ça va coûter. Le gouvernement avance un million d'euros, des associations parlent de 5 à 7 millions d'euros", a déclaré Bruno Le Roux, porte-parole du PS.
"BREST A UNE CHANCE A SAISIR"
"On fait une demande globale de transparence", a-t-il ajouté. "Il existe de nombreuses zones d'ombre sur la chaîne de prise de décisions, sur la réalité des travaux qui ont été effectués, sur la disparition de tonnes d'amiante."
A l'Assemblée nationale, le groupe communiste et républicain est allé un cran plus loin en réclamant la création d'une commission d'enquête parlementaire.
De son côté, la commission de la Défense de l'Assemblée a annoncé qu'elle entendrait Michèle Alliot-Marie, à sa demande, le 22 février.
Le ministère de la Défense a expliqué jeudi le choix du port de Brest pour accueillir le Clemenceau par un manque de place à Toulon, d'où l'ancien porte-avions était parti fin décembre.
Le port varois doit accueillir fin février le bâtiment de projection et de commandement Mistral et son "sistership", le Tonnerre, avant la fin 2006. Ces deux navires mesurent près de 200 mètres de long, ce qui laisse peu de place à quai pour d'autres gros bâtiments.
L'image d'un Clemenceau esseulé au milieu de la rade est un risque médiatique que les autorités françaises ne semblent pas prêtes à reprendre.
La décision de rapatrier le navire vers son berceau breton ne préjuge pas de son avenir industriel - désamiantage et démantèlement, a souligné Jean-François Bureau, rappelant que l'expertise sur les quantités d'amiante durerait plusieurs mois.
Pour Jean-Paul Hellequin, Brest a donc "une chance à saisir".
A ses yeux, le port du Finistère peut devenir un chantier de référence pour la démolition des navires en fin de vie surtout que plusieurs centaines de bateaux attendent d'être déconstruits partout dans le monde.
"On demande des aides à Bruxelles pour créer un chantier de déconstruction à Brest qui aurait un label européen", a-t-il dit. "Brest a été capable de construire le Clemenceau puis d'assurer son suivi technique. Il doit être capable de le déconstruire."
Source: Reuters
Bernard ( nanar )- MATELOT
- Age : 75
- Message n°214
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
Ha! les enfants quelle histoire ...je pense que son arrivée à Brest sera salué par les sirènes des autres raffiots ...
" et fluctua nec mergitur "
" et fluctua nec mergitur "
fle jp- QM 1
- Age : 76
- Message n°215
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
et que sa continue voila le reste
ex porte-avions Clemenceau
L'ex porte-avions Clemenceau en passe de devenir une « affaire d’Etat »
15/02/2006
crédits : Sirpa marine
Le dossier du démantèlement de l’ancien fleuron de la Royale devient incontrôlable. L’ampleur de la polémique est telle que Jacques Chirac a repris le dossier en main. L’avenir du vieux Clemenceau a même rattrapé Dominique de Villepin en voyage officiel à Moscou. Sous les yeux médusés de la presse russe, le premier ministre a été questionné, hier, sur le sort de l’ex porte-avions. Le chef du gouvernement a souhaité que « le feuilleton prenne fin rapidement ». Si l’issue parait proche, son dénouement reste des plus incertains, au point que le président « s’est saisi directement du dossier », a déclaré hier l’Elysée. Jacques Chirac est attendu dimanche en Inde pour une visite de deux jours et, s’il était sans doute prévu d’aborder des sujets de défense avec New Delhi, l’omniprésence du dossier Clemenceau n’était pas à l’ordre du jour. Le voyage risque donc d’être mouvementé, d’autant que les organisations écologistes, Greenpeace en tête, multiplient les manifestations pour protester contre le transfert de la coque vers les chantiers de démolition d’Alang. Sur place, les intérêts environnementaux et sanitaires se doublent d’oppositions politiques entre l’Etat communiste du Gujarat et le pouvoir central. Pour compliquer le tout, la presse locale a évoqué ces derniers jours des allégations sur la vente des sous-marins Scorpene. Lundi, la Cour suprême indienne a demandé une nouvelle expertise pour connaître la quantité d’amiante encore présente dans la coque du navire. La juridiction a réclamé l’avis d’officiers de marine et de spécialistes de la construction navale. La Cour suprême doit se réunir à nouveau vendredi et prendra, peut être, une décision. D’ici là, le « Clem » et son remorqueur ont interdiction de pénétrer dans les eaux territoriales du pays.
Michèle Alliot-Marie saisi le parquet de Marseille
Pendant ce temps, en France, les investigations se poursuivent pour savoir ce que sont devenues les 30 tonnes d’amiante qui se seraient volatilisées entre Toulon et le centre d’enfouissement de Bellegarde. Hier, le ministre de la Défense a annoncé avoir saisi le procureur de la République de Marseille pour mener une enquête sur le volume exact d'amiante retiré par Technopure. La société, qui avait procédé au désamiantage partiel de l’ancien porte-avions, avant d’être remplacée par Pestocid, devra s’expliquer sur le cheminement des produits toxiques extraits par ses soins. Une enquête administrative, menée ces derniers jours par le Contrôleur général des Armées, parle de soupçons d’irrégularités pendant les travaux : « Ce ne sont pas les bordereaux de Pestocid mais ceux de Technopure qui posent problème. Il y a une différence entre ce que l’entreprise dit avoir enlevé et ce qui est arrivé au centre d’enfouissement de Bellegarde », explique-t-on au ministère de la Défense. L’Armée disposerait des bordereaux de départ, confirmant l’extraction de 115 tonnes de produits amianté. Or, la pesée réalisée à Bellegarde montre la perte d’une partie de ces produits. Sauf erreur administrative, hypothèse également soulevée par le ministère, la piste d’un détournement est étudiée. Les 30 tonnes évanouies dans la nature ne sont pas de l’amiante pure mais des produits contenant cet isolant, petits matériels et équipements susceptibles d’être recyclés. Le dirigeant de Technopure a déclaré hier ne rien avoir à se reprocher.
Dans l’attente de la décision du Conseil d’Etat, la gauche appelle au rapatriement
Lundi, le gouvernement a subi un premier revers. Le commissaire au gouvernement du Conseil d'Etat a recommandé la suspension du transfert du Clemenceau en Inde, en attendant le jugement de l’affaire sur le fond. Le magistrat, dont l’avis est d’ordinaire suivi, estime que le Q 790 est un déchet dangereux. Si le Conseil d’Etat accède à la requête, le tribunal administratif, qui s’était déclaré incompétent, devra réexaminer la demande des plaignants. Or, les associations réclamaient l’interdiction du départ du Clemenceau. Aujourd’hui, le bâtiment est en pleine mer, au sud-est de la péninsule arabique, ce qui soulève un certain nombre d’interrogations sur la portée d’un éventuel jugement. En attendant une décision de la haute juridiction, attendue à 14 heures, la mise en difficulté du gouvernement est logiquement exploitée par l’opposition. La gauche réclame le retour du navire et somme Michèle Alliot-Marie de s’expliquer à l'Assemblée nationale sur la disparition des 30 tonnes d’amiante. Dans un communiqué, le parti socialiste, qui parle « d'affaire d'Etat », demande au chef de l’Etat de mettre « un terme à cette affaire indigne pour la France en organisant le rapatriement du Clemenceau ». Si telle devait être la décision finale, ce qui n'est plus exclu devant l'ampleur prise par la polémique, se poserait alors une question très simple : Que faire du navire ? En Europe, toutes les tentatives pour installer un chantier de désamiantage se sont soldées par des échecs. La dernière entreprise en activité, encore citée ces dernières semaines comme une solution par certains spécialistes mal renseignés, était néerlandaise. Amsterdam Ship Repair BV, a fait faillite... en mai 2005. « Le chantier sera réalisé aux normes françaises, on transfère les équipements pour assurer la séurité des ouvriers, on extrait toute l’amiante friable avant le départ et on forme les cadres indiens… On essaye de trouver une solution novatrice qui doit permettre de créer une filière de démantèlement contrôlée et on se fait tirer dessus à boulets rouges », tempête un officier, avant d’ajouter, écoeuré : « Si nous n’avions rien fait et qu’on l’avait laissé croupir à Toulon, il n’y aurait eu aucun problème ». Faute de destruction en Inde, le retour de la coque à Toulon ne devrait pas connaître d’autre sort. Une longue attente à se désagréger lentement dans les eaux du port. Les poissons de la rade apprécieront.
ex porte-avions Clemenceau
L'ex porte-avions Clemenceau en passe de devenir une « affaire d’Etat »
15/02/2006
crédits : Sirpa marine
Le dossier du démantèlement de l’ancien fleuron de la Royale devient incontrôlable. L’ampleur de la polémique est telle que Jacques Chirac a repris le dossier en main. L’avenir du vieux Clemenceau a même rattrapé Dominique de Villepin en voyage officiel à Moscou. Sous les yeux médusés de la presse russe, le premier ministre a été questionné, hier, sur le sort de l’ex porte-avions. Le chef du gouvernement a souhaité que « le feuilleton prenne fin rapidement ». Si l’issue parait proche, son dénouement reste des plus incertains, au point que le président « s’est saisi directement du dossier », a déclaré hier l’Elysée. Jacques Chirac est attendu dimanche en Inde pour une visite de deux jours et, s’il était sans doute prévu d’aborder des sujets de défense avec New Delhi, l’omniprésence du dossier Clemenceau n’était pas à l’ordre du jour. Le voyage risque donc d’être mouvementé, d’autant que les organisations écologistes, Greenpeace en tête, multiplient les manifestations pour protester contre le transfert de la coque vers les chantiers de démolition d’Alang. Sur place, les intérêts environnementaux et sanitaires se doublent d’oppositions politiques entre l’Etat communiste du Gujarat et le pouvoir central. Pour compliquer le tout, la presse locale a évoqué ces derniers jours des allégations sur la vente des sous-marins Scorpene. Lundi, la Cour suprême indienne a demandé une nouvelle expertise pour connaître la quantité d’amiante encore présente dans la coque du navire. La juridiction a réclamé l’avis d’officiers de marine et de spécialistes de la construction navale. La Cour suprême doit se réunir à nouveau vendredi et prendra, peut être, une décision. D’ici là, le « Clem » et son remorqueur ont interdiction de pénétrer dans les eaux territoriales du pays.
Michèle Alliot-Marie saisi le parquet de Marseille
Pendant ce temps, en France, les investigations se poursuivent pour savoir ce que sont devenues les 30 tonnes d’amiante qui se seraient volatilisées entre Toulon et le centre d’enfouissement de Bellegarde. Hier, le ministre de la Défense a annoncé avoir saisi le procureur de la République de Marseille pour mener une enquête sur le volume exact d'amiante retiré par Technopure. La société, qui avait procédé au désamiantage partiel de l’ancien porte-avions, avant d’être remplacée par Pestocid, devra s’expliquer sur le cheminement des produits toxiques extraits par ses soins. Une enquête administrative, menée ces derniers jours par le Contrôleur général des Armées, parle de soupçons d’irrégularités pendant les travaux : « Ce ne sont pas les bordereaux de Pestocid mais ceux de Technopure qui posent problème. Il y a une différence entre ce que l’entreprise dit avoir enlevé et ce qui est arrivé au centre d’enfouissement de Bellegarde », explique-t-on au ministère de la Défense. L’Armée disposerait des bordereaux de départ, confirmant l’extraction de 115 tonnes de produits amianté. Or, la pesée réalisée à Bellegarde montre la perte d’une partie de ces produits. Sauf erreur administrative, hypothèse également soulevée par le ministère, la piste d’un détournement est étudiée. Les 30 tonnes évanouies dans la nature ne sont pas de l’amiante pure mais des produits contenant cet isolant, petits matériels et équipements susceptibles d’être recyclés. Le dirigeant de Technopure a déclaré hier ne rien avoir à se reprocher.
Dans l’attente de la décision du Conseil d’Etat, la gauche appelle au rapatriement
Lundi, le gouvernement a subi un premier revers. Le commissaire au gouvernement du Conseil d'Etat a recommandé la suspension du transfert du Clemenceau en Inde, en attendant le jugement de l’affaire sur le fond. Le magistrat, dont l’avis est d’ordinaire suivi, estime que le Q 790 est un déchet dangereux. Si le Conseil d’Etat accède à la requête, le tribunal administratif, qui s’était déclaré incompétent, devra réexaminer la demande des plaignants. Or, les associations réclamaient l’interdiction du départ du Clemenceau. Aujourd’hui, le bâtiment est en pleine mer, au sud-est de la péninsule arabique, ce qui soulève un certain nombre d’interrogations sur la portée d’un éventuel jugement. En attendant une décision de la haute juridiction, attendue à 14 heures, la mise en difficulté du gouvernement est logiquement exploitée par l’opposition. La gauche réclame le retour du navire et somme Michèle Alliot-Marie de s’expliquer à l'Assemblée nationale sur la disparition des 30 tonnes d’amiante. Dans un communiqué, le parti socialiste, qui parle « d'affaire d'Etat », demande au chef de l’Etat de mettre « un terme à cette affaire indigne pour la France en organisant le rapatriement du Clemenceau ». Si telle devait être la décision finale, ce qui n'est plus exclu devant l'ampleur prise par la polémique, se poserait alors une question très simple : Que faire du navire ? En Europe, toutes les tentatives pour installer un chantier de désamiantage se sont soldées par des échecs. La dernière entreprise en activité, encore citée ces dernières semaines comme une solution par certains spécialistes mal renseignés, était néerlandaise. Amsterdam Ship Repair BV, a fait faillite... en mai 2005. « Le chantier sera réalisé aux normes françaises, on transfère les équipements pour assurer la séurité des ouvriers, on extrait toute l’amiante friable avant le départ et on forme les cadres indiens… On essaye de trouver une solution novatrice qui doit permettre de créer une filière de démantèlement contrôlée et on se fait tirer dessus à boulets rouges », tempête un officier, avant d’ajouter, écoeuré : « Si nous n’avions rien fait et qu’on l’avait laissé croupir à Toulon, il n’y aurait eu aucun problème ». Faute de destruction en Inde, le retour de la coque à Toulon ne devrait pas connaître d’autre sort. Une longue attente à se désagréger lentement dans les eaux du port. Les poissons de la rade apprécieront.
Invité- Invité
- Message n°216
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
tu as raison nanar il mérite bien ça notre Clem :cheers:
fle jp- QM 1
- Age : 76
- Message n°217
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
je pense plutot que la nationale vas se tenir tranquille :Star: :Star: :suspect: :Star: :Star:
Invité- Invité
- Message n°218
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
Jeudi 16 février 2006, 16h52
Vidéo: Clemenceau, le coût du retour forcé
PARIS (AFP) - Explications de Jean-François Bureau, porte-parole du ministère de la Défense. Combien coûtera le retour forcé du Clemenceau en France ? L'ex porte-avions, parti en Inde pour y être désamianté, va finalement faire demi-tour via le Cap de Bonne-Espérance, pour rejoindre en trois mois le port militaire de Brest (Finistère).Le ministère de la Défense parle d'un coût du retour de 1 million d'euros, à la charge de l'Etat.
Durée: 1mn13
Cliquez ici pour voir la vidéo
Vidéo: Clemenceau, le coût du retour forcé
PARIS (AFP) - Explications de Jean-François Bureau, porte-parole du ministère de la Défense. Combien coûtera le retour forcé du Clemenceau en France ? L'ex porte-avions, parti en Inde pour y être désamianté, va finalement faire demi-tour via le Cap de Bonne-Espérance, pour rejoindre en trois mois le port militaire de Brest (Finistère).Le ministère de la Défense parle d'un coût du retour de 1 million d'euros, à la charge de l'Etat.
Durée: 1mn13
Cliquez ici pour voir la vidéo
fle jp- QM 1
- Age : 76
- Message n°219
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
et oui voila pour l´instant le resultat. :affraid: je pense qu´il (le clem) ne vas pas a toulon :evil: :evil: car là il y a trop de militant :afro: :afro: :flower: :study: :sleep: :pirat: :pirat: sa peu gener :twisted: :twisted: . donc va a brest là le maire n´a aucunes idee de la royale :evil: :evil: et du rest :affraid: :affraid: :affraid:
† Fanch 56- FONDATEUR
- Age : 75
- Message n°220
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
Peut-être qu' un ESPRIT l' habite ! ! ! :affraid:
Invité- Invité
- Message n°221
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
oui et c'est l'esprit de tout les marins qui ont été affectés à bord, et celui de ceux qui pensent comme nous que le Clem doit VIVRE....
René03- MAJOR
- Age : 79
- Message n°222
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
Je pense que notre Clem national n'a pas fini de faire parler de lui, n'oublions pas que ce n'ai plus qu'une coque vide très haute sur l'eau donc une prise au vent phénoménale . Le passage du cap de bonne espérance risque d'être difficile , il y a souvent du vent dans ces parages, vent contraire en plus.. :pale:
Bernard ( nanar )- MATELOT
- Age : 75
- Message n°223
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
peut-être le but de la manoeuvre ...
fle jp- QM 1
- Age : 76
- Message n°225
Re: CLEMENCEAU - TOME 1
René03 a écrit:C'est exactement ce à quoi je pensais
je ne rajoute rien :evil: :evil: