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par 5ème et dernier épisode: Le MONROGO UTA
Nous sommes toujours en 1956 et Thor Heyerdahl avec son équipe commencent les fouilles cherchant des liens entre les deux Rapa.
Tous les autres sommets portaient aussi des ruines de villages fortifiés du même type que celles de Morongo Uta. Les habitants les appelaient pare.La curieuse société de Rapa Iti avait donc élu domicile sur les sommets les plus élevés, et tous les jours les habitants avaient dû descendre les pentes escarpées, par des sentiers taillés en plein roc, pour aller cultiver du taro dans les vallées, ou prendre des poissons et des coquillages dans les baies.
Qu’avaient donc craint les hommes pour se réfugier ainsi sur les hauteurs ? Les habitants d’un sommet redoutaient-ils ceux des autres sommets ?
Ce n’est guère probable.
Les villages, reliés le long des crêtes par une suite de maisons, formaient en fait une SEULE GRANDE FORTIFICATION en face de la mer infinie. S’étaient-ils établis là-haut parce qu’ils auraient craint des affaissements du fond marin ? Ce n’est guère probable non plus.
LA SOLUTION EST ASSEZ SIMPLE, les habitants de Rapa Iti avaient eu peur d’un ENNEMI PUISSANT venu de l’extérieur, un ennemi qu’ils connaissaient; et dont les navires de guerre pouvaient surgir à tout moment au dessus de l’horizon.
Et si c’étaient des femmes avec des enfants qui avaient fondé cette civilisation, elles avaient plutôt pensé aux maisons, aux vivres et à la sécurité qu’à des monuments impressionnants et à des guerres. Elles avaient construits des maisons de jonc ovales et des fours de pierre carrés, comme sur l’île de Pâques, au lieu des maisons rectilignes et de fours ronds comme sur les autres îles du voisinage. Elles avaient préféré des ouvrages de défense à des expéditions guerrières chez les autres. Et si elles étaient venues de l’île de Pâques , on comprend qu ‘elles aient eu assez de courage et d’initiative pour transformer la masse rocheuse .
IL EST FRAPPANT QU’ENCORE AUJOURD’HUI LES FEMMES SOIENT A RAPA ITI ,LES SOUTIENS DE LA SOCIETE, tandis que les hommes sont plutôt soignés et traités comme des petits garçons qui auraient grandis trop vite.
La réponse n’as pas encore été trouvée et cela fait partie des énigmes à résoudre au même titre que celles de RAPA NUI d’ailleurs.
Et maintenant place aux images d’époque tirées du livre de Thor Heyerdahl
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les montagnes verdoyantes de Rapa Iti sont remplies de terrasses et de pyramides mystiques qui ne peuvent pas être l'oeuvre de la nature la photo est un peu floue dommage
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Vers le sommet, avec tous les hommesdu village qui devaient prendre part aux fouilles, des 12 sommets, nous avions choisis le Morongo Uta
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Le sommet du Morongo Uta
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les femmes sortant des maisons vont remplacer les hommes qui n'avaient jamais eu de travail payé auparavant, à peine se furent-ils mis en route qu'ils déposèrent leurs pioches
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De joyeuses vahinés en route vers la montagne pour se charger du travail des hommes. Léa, mi-tahitienne, mi-corse, institutrice les conduisait
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les femmes travaillaient mieux que les hommes, elles voulaient se procurer à bord des vivres et des vêtements pour elles et pour leurs enfants
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des ruines de murs, de terrasses et de tours se montrèrent quand les bois et l'herbe eurent disparu.
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Le poi-poi était le pain quotidien de Rapa Iti. Sur les terrasses irriguées de la vallée, poussait le taro qui était cuit, pétri, suspendu dans des feuilles et mangé comme une pâte fermentée
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les femmes travaillaient et les hommes dormaient à Rapa, ici 2 femmes enfermant des taros dans de l'herbe pour les porter au village. les hommes faisaient un petit tour de pêche le samedi.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le Morongo Uta semble un chateau de conte de fées
Nous sommes toujours en 1956 et Thor Heyerdahl avec son équipe commencent les fouilles cherchant des liens entre les deux Rapa.
Tous les autres sommets portaient aussi des ruines de villages fortifiés du même type que celles de Morongo Uta. Les habitants les appelaient pare.La curieuse société de Rapa Iti avait donc élu domicile sur les sommets les plus élevés, et tous les jours les habitants avaient dû descendre les pentes escarpées, par des sentiers taillés en plein roc, pour aller cultiver du taro dans les vallées, ou prendre des poissons et des coquillages dans les baies.
Qu’avaient donc craint les hommes pour se réfugier ainsi sur les hauteurs ? Les habitants d’un sommet redoutaient-ils ceux des autres sommets ?
Ce n’est guère probable.
Les villages, reliés le long des crêtes par une suite de maisons, formaient en fait une SEULE GRANDE FORTIFICATION en face de la mer infinie. S’étaient-ils établis là-haut parce qu’ils auraient craint des affaissements du fond marin ? Ce n’est guère probable non plus.
LA SOLUTION EST ASSEZ SIMPLE, les habitants de Rapa Iti avaient eu peur d’un ENNEMI PUISSANT venu de l’extérieur, un ennemi qu’ils connaissaient; et dont les navires de guerre pouvaient surgir à tout moment au dessus de l’horizon.
Et si c’étaient des femmes avec des enfants qui avaient fondé cette civilisation, elles avaient plutôt pensé aux maisons, aux vivres et à la sécurité qu’à des monuments impressionnants et à des guerres. Elles avaient construits des maisons de jonc ovales et des fours de pierre carrés, comme sur l’île de Pâques, au lieu des maisons rectilignes et de fours ronds comme sur les autres îles du voisinage. Elles avaient préféré des ouvrages de défense à des expéditions guerrières chez les autres. Et si elles étaient venues de l’île de Pâques , on comprend qu ‘elles aient eu assez de courage et d’initiative pour transformer la masse rocheuse .
IL EST FRAPPANT QU’ENCORE AUJOURD’HUI LES FEMMES SOIENT A RAPA ITI ,LES SOUTIENS DE LA SOCIETE, tandis que les hommes sont plutôt soignés et traités comme des petits garçons qui auraient grandis trop vite.
La réponse n’as pas encore été trouvée et cela fait partie des énigmes à résoudre au même titre que celles de RAPA NUI d’ailleurs.
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les montagnes verdoyantes de Rapa Iti sont remplies de terrasses et de pyramides mystiques qui ne peuvent pas être l'oeuvre de la nature la photo est un peu floue dommage
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Vers le sommet, avec tous les hommesdu village qui devaient prendre part aux fouilles, des 12 sommets, nous avions choisis le Morongo Uta
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les femmes sortant des maisons vont remplacer les hommes qui n'avaient jamais eu de travail payé auparavant, à peine se furent-ils mis en route qu'ils déposèrent leurs pioches
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De joyeuses vahinés en route vers la montagne pour se charger du travail des hommes. Léa, mi-tahitienne, mi-corse, institutrice les conduisait
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Le poi-poi était le pain quotidien de Rapa Iti. Sur les terrasses irriguées de la vallée, poussait le taro qui était cuit, pétri, suspendu dans des feuilles et mangé comme une pâte fermentée
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les femmes travaillaient et les hommes dormaient à Rapa, ici 2 femmes enfermant des taros dans de l'herbe pour les porter au village. les hommes faisaient un petit tour de pêche le samedi.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le Morongo Uta semble un chateau de conte de fées
